ven 19 décembre 2025 - 08:12
Accueil Blog Page 740

Autour du « Croire »

0

Besoin et désir

CROIRE. Toutes nos actions sont basées sur ce verbe, de la croyance en soi et aux autres, aux croyances religieuses. Et aussi du théisme à l’athéisme, quand on croit que l’on ne croit pas! La croyance – en tant que conviction, foi, confiance, certitude – est une œuvre de notre esprit.

Sur le plan philosophique, une différence est à faire et à explorer entre deux particularités très humaines : Le besoin de croire et le désir de croire. Ce qui n’est pas la même chose.

Le besoin de croire est physiologique, donc inné et reçu avec le lait maternel. Notre premier dieu est liquide et se confond avec le sein, cette fontaine miraculeuse! Notre première croyance est de croire à la têtée suivante ! Nous avons besoin de croire ensuite en nos semblables, de la même façon…au risque d’être déçu : C’est la condition humaine !

Le désir de croire est sociologique, donc acquis. Cette envie “d’en savoir plus”, par exemple, sur le mystère de l’univers, c’est elle, née de l’éducation et de l’information, qui nous entraîne, entre autres, vers l’astronomie, l’astrophysique. Vers l’astrologie et la divination aussi ! Et nous fait croire en Dieu ou pas! C’est ce même désir qui nous conduit librement, vers une religion personnelle, à l’église, dans une société philosophique, en franc-maçonnerie, etc. 

Le désir de croire est caractéristique en ce qu’il peut “élargir” notre pensée et notre vision du monde, donc nos savoirs (l’appris) et nos connaissances (l’acquis). Comme tout désir, il peut s’éteindre certes. L’important est de pouvoir changer de désir. Le désir est comme le fer, il faut toujours en avoir un au feu! Celui qui s’arrête de fumer a besoin d’un autre désir de substitution (manger, boire, créer, etc). Parce que nous sommes des êtres de désirs! Le désir, c’est le manque à combler. Et être désirant, c’est être vivant!

Attendre et s’occuper

Par définition, nous n’avons plus à croire quand la chose ou le fait attendu est là ! Ainsi en va-t-il de la croyance au Père Noël, par exemple!

Il n’en est pas de même pour Dieu (une invention utile des hommes). La raison incline à penser que le Messie (libérateur envoyé par Dieu) ne viendra pas mais les « fidèles » continuent de croire qu’il peut venir ! Ceux qui croient par l’intermédiaire d’une “religion-concessionnaire” ont même l’obligation dogmatique de croire! De la sorte, croire c’est attendre! Nous sommes renvoyés ici au bébé qui réclame sa tétée : il est bien dans la croyance qu’elle va venir! La réclamation est une croyance! Parce que désirer, c’est croire. Et donc, nous sommes bien tous des êtres désirants !

De la sorte, nous pouvons même dire que la conscience humaine est caractérisée par l’attente. La conscience, c’est l’attente même! A l’état de veille, nous attendons toujours quelque chose, toujours mieux, toujours plus, mais aussi (consciemment ou inconsciemment) le moment de notre mort ! D’où l’angoisse de l’homme qui doit occuper son temps pour oublier son triste sort. D’où l’existence du travail! De la guerre! D’où, aussi, l’existence des religions qui lui apportent un « consolatum ». Et des sociétés philosophiques. Et de la Franc-maçonnerie. Et des distractions en tous genres, sports compris !

Nous avons le choix pour tromper notre ennui, en attendant le grand passage, l’ultime initiation. La meilleure occupation du temps, parmi les autres, est à mes yeux l’Amour, preuve de notre croyance en l’Homme ! Et c’est bien l’Amour (avec ou sans majuscule) qui assure la perpétuité de l’espèce humaine! Semer, essaimer et s’aimer. Croire en l’Homme, toutefois, c’est croire que nous sommes perfectibles, parce qu’inachevés. Nous sommes encore dans l’enfance de l’esprit : il convient d’en avoir conscience et de nous méfier de nous-mêmes, pour nous corriger et tenter, encore et toujours, de vraiment “grandir” dans notre tête ! En ce sens, j’aime bien cette réflexion philosophique :

Prends garde à tes pensées,

Elles deviendront des paroles,

Prends garde à tes paroles,

Elles deviendront des actes,

Prends garde à tes actes,

Ils deviendront des habitudes,

Prends garde à tes habitudes,

Elles deviendront ton caractère,

Prends garde à ton caractère,

Il deviendra ton destin

              (Franck Outlaw)

 Pendant ce travail sur nous-mêmes, et avant la grande échéance – seule certitude – il est urgent de prendre le temps de vivre !

À la recherche de JAKIN & BOAZ

0

Biblio Pierre Noël

  • Guide des maçons écossais –  Éd. A l’Orient, 2006
  • La pierre, matériau du passé et de l’avenir – Éd. SEBTP, 2012
  • Mondialisation, violence & religion (dir.) – Éd. Fides, Coll. Héritage et projet, 2010

L’auteur

Docteur en médecine, professeur de neurologie à l’Université Libre de Bruxelles, CBCS, 33e du REAA, installé KT à Londres, promu au Royal Order of Scotland à Édimbourg, PIERRE NOEL a édité pendant trente ans la revue d’Études de la Grande Loge Régulière de Belgique = ACTA MACIONICA.  Dans l’ouvrage « À la recherche de Jakin & Boaz », il analyse les premiers documents écossais et anglais qui ont donné naissance à la Franc-Maçonnerie moderne. Car celle-ci est née dans les îles Britanniques et nulle part ailleurs.

L’ouvrage

Les vieux auteurs écossais, anglais, belges et français ont traité du passé de l’institution maçonnique. Ces auteurs en tracent une image différente de celle à laquelle nous sommes habitués. Une image qui embrasse le Moyen Âge tardif, l’âge baroque, puis le siècle des Lumières. L’ouvrage se veut outil de recherche mais aussi, promenade bucolique au fil d’un monde perdu.

(VIDEO) Histoires et Lieux Sacrés

En compagnie de notre ami Pierre-Alexandre nous découvrons les lieux secrets et sacrés de l’antique cité du dieu Lug, Lugdunum, qui deviendra par la suite Lyon.

En fin connaisseur de l’histoire souterraine de cette ville d’ombres et de Lumière, Pierre-Alexandre nous livre quelques clés de compréhension de nombreux édifices et lieux chargés de symboles comme la cathédrale Saint-Jean ou le sanctuaire fédéral des Trois Gaules.

Une visite passionnante faite par un guide expérimenté.

Visiter le site Vertical Project

USA : Les francs-maçons de l’île rebaptisent la loge en l’honneur de Dean LeClare Quigley

De notre confrère américain mi-reporter.com – Par Andy Nystrom

Des larmes ont coulé des yeux de Patty Quigley lorsqu’elle a appris que la Mercer Island Masonic Lodge #297 F & AM de Washington allait être renommée en l’honneur de son père, Dean LeClare Quigley.

Patty a déclaré qu’elle avait pratiquement grandi dans le bâtiment VFW Post #5760, où les francs-maçons se sont rencontrés depuis 1966, lorsqu’elle y est retournée le soir du 2 décembre pour la cérémonie de réinauguration. Les francs-maçons locaux ont formé leur chapitre en 1953.

Dean, qui a été franc-maçon pendant 73 ans, est décédé le 17 février à l’âge de 97 ans.

« C’était l’un des hommes les plus honorables que j’aie jamais rencontrés de toute ma vie. Sa loyauté, son amour pour les gens. Ses soins sont allés bien au-delà de ce que vous voyez souvent », a déclaré Patty, dont les frères et sœurs Alan et Linda ont également assisté à l’événement.

Dean était un franc-maçon dévoué qui était impliqué dans les services communautaires pour les jeunes, les clubs garçons et filles, les programmes Junior Achievement et plus encore. Il était un ancien combattant, membre de VFW et a travaillé pour Boeing pendant 43 ans.

« C’est vraiment un gros problème », a déclaré Patty à propos de la cérémonie de changement de nom, ajoutant que la loge devait soumettre une demande et la faire approuver par la Grande Loge de Washington. Le grand maître de Washington a reconstitué la loge pour honorer Dean lors de la cérémonie.

Alors que les membres de la loge se préparaient pour la cérémonie, ils ont salué Patty et ses frères et sœurs et se sont souvenus de leur père.

Patty s’est souvenue de l’un des dictons préférés de son père : « C’est le ‘grésillement’ quand vous vendez quelque chose », lorsqu’il a dû prouver aux militaires qu’ils avaient besoin d’acheter des avions commerciaux à l’époque de Boeing.

John Gebhart, membre depuis 13 ans des francs-maçons locaux, a déclaré que Dean était resté un membre actif – avec un A majuscule – jusqu’à sa mort. Il a été le maître à deux reprises, secrétaire pendant 30 ans, adjoint de district du grand maître du district 7, et ils lui ont créé un poste de mentor après avoir appris le rôle lors de la visite de Gebhart dans une loge de Londres.

« Du point de vue de la personnalité, n ° 1, il saluait toujours tout le monde avec une sorte de blague. Son brise-glace était qu’il voulait commencer la relation avec un sourire et un rire », a déclaré Gebhart, ajoutant que Dean a distribué des « pinces à billets pour personnes âgées », qui consistaient en un sou collé sur le capuchon d’une canette de soda.

Dean a également distribué des livres et des articles intéressants et des notes d’autres réunions de francs-maçons auxquelles il a assisté pour générer des idées à mettre en œuvre dans le rituel de la loge locale.

« C’était son engagement à nous aider à apprendre et à comprendre notre métier (de la franc-maçonnerie) », a déclaré Gebhart, notant que leur rituel est similaire au symbole des apôtres de la messe catholique, lorsque les fidèles expriment leurs croyances et leur foi.

Selon le site Web de la loge, «les francs-maçons de Washington seront reconnus comme une fraternité pertinente et respectée, engagée à attirer et à retenir tous les hommes de haute qualité qui s’efforcent de s’améliorer et d’avoir la possibilité de faire une différence positive dans leur communauté.» La franc-maçonnerie moderne remonte à la formation de la Grande Loge d’Angleterre en 1717, à partir de laquelle les premières loges des États-Unis ont été affrétées.

Gebhart a déclaré que Dean était comme une encyclopédie ambulante concernant les nombreuses et profondes leçons du rituel de la loge.

De gauche à droite lors de la réunion des francs-maçons de Mercer Island le 2 décembre : Scott Anderson, John Gebhart, Patty Quigley, Doug Stamper, Dan Taylor, Alan Quigley, Paul Hoeffer et Linda Quigley Sneff. 
Andy Nystrom/ photo du personnel

« Vous commencez à parler de Dean et il ne s’arrêterait pas. Il avait en quelque sorte une connaissance vivante de ce genre de choses. C’était un peu écrasant », a déclaré Gebhart, qui a ajouté que Dean avait joué un rôle déterminant en l’aidant à progresser dans ses diplômes de franc-maçon.

De gauche à droite lors de la réunion des francs-maçons de Mercer Island le 2 décembre : Scott Anderson, John Gebhart, Patty Quigley, Doug Stamper, Dan Taylor, Alan Quigley, Paul Hoeffer et Linda Quigley Sneff. Andy Nystrom/ photo du personnel

TBF : La Françafrique est-elle morte ?

Les Conférenciers :

  • Norbert NAVARRO, journaliste à RFI ;
  • Antoine GLASER, ancien fondateur de la lettre du Continent

Le lieu : mardi 7 décembre 2021 à 19 h 00

Temple n° 1 Arthur Groussier.

Compte tenu de la crise sanitaire, l’inscription ainsi que le passe sanitaire sont obligatoires,  l’accueil de Cadet va demander également le passeport maçonnique, ci-joint l’affiche pour la publication, tenue ouverte aux sœurs et frères des Obédiences amies.

Présumé coupable !

0

L’installation dans le droit commun de dispositifs d’exception ou de surveillance généralisée a renversé le paradigme de présomption d’innocence. Chaque acte du quotidien est marqué par ce paradigme: ce n’est plus à l’accusateur d’apporter la preuve de la culpabilité de l’accusé mais désormais à l’accusé de porter la preuve de son innocence. N’importe quel quidam est désormais un criminel en puissance.

Pour des raisons purement professionnelles, j’ai dû prendre l’avion. J’avais en effet un voyage à accomplir. Mon lieu d’arrivée étant un peu loin de mon lieu de départ (près de 1083 km), j’ai eu à me faire violence pour prendre l’avion. C’est un moyen de locomotion que je n’aime guère pour les trajets courts. Non pas en raison de l’aspect très polluant qui fait de moi une mauvaise personne qui contribue à une économie destructrice, non pas à cause des turbulences et autres phénomènes d’altitude qui perturbent mon oreille interne et encore moins à cause des transports en commun inexistants entre l’aéroport et mon domicile. Certes, je ne suis pas fan des activités aéronautiques, mais mon vrai problème est que j’en viens à détester les aéroports, et plus précisément les trop nombreux contrôles que je dois subir en tant que voyageur depuis des années, peut-être même avant 2001.

Déjà, j’arrive, et je dois moi-même éditer ma carte d’embarquement à une borne d’accueil. Ca commence bien. Par chance, la collègue qui m’accompagnait et moi-même avons réussi à en trouver une qui fonctionnait. Et, gloire au Grand Architecte de l’Univers, nous n’avions pas de bagages à enregistrer ! Est arrivé ensuite le grand moment du franchissement de la porte de la zone d’embarquement. Et vas-y que je te fais ouvrir ton sac, et vas-y que je te contrôle ta trousse de toilette, et vas-y que je te fais enlever tes chaussures (véridique : il y avait une armature métallique dedans…). Heureusement, en homme prévoyant, j’avais laissé mon stylo-plume et mon encrier chez moi, en prévision de ce genre de formalités très désagréables ! Le tout avec des agents moins aimables que les bornes d’accueil sur lesquelles j’avais procédé à mon enregistrement.
Après un moment d’attente dans la zone d’embarquement, nous pouvons enfin embarquer. Et là, rebelote : carte d’embarquement, passeport, passe sanitaire etc. J’en ai retiré une sensation très désagréable. Me sont alors revenues deux choses : d’abord une lecture d’un article de l’ethnopsychiatre Tobie Nathan, dans lequel il expliquait que la gestion des files dans les aéroports était dérivée du système de tri des déportés des camps de concentration et d’extermination de la Shoah. D’où peut-être mon malaise. Ensuite, un recoupement. En effet, depuis des années (en fait, 1995, si ma mémoire ne me joue pas de tours), nous vivons dans la crainte permanente -justifiée- d’attentats, incitant les pouvoirs publics à prendre des précautions, notamment le renforcement de la surveillance. Ainsi, tout accès à un bâtiment public ou un établissement recevant du public est conditionné à une fouille avec ouverture des sacs, pour vérifier qu’on n’a rien de suspect avec soi ou qu’on n’est pas un dangereux terroriste. Mesures efficaces ? Ca n’a malheureusement pas empêché l’attentat de décembre 2019 à la Préfecture de Police de Paris…

Dans le même ordre idée, quelques jours après mon voyage, j’ai failli me faire refouler d’un grand Temple maçonnique parce que le cerbère (profane, il faut le préciser) ne reconnaissait pas mes Mots de Semestre… Fraternité ? Mon œil ! Heureusement qu’un Frère m’a fait rentrer, sinon, je serais resté sur les parvis.

En attendant, depuis l’instauration des différents états d’urgence et autres dispositifs, j’ai l’impression que la base même du droit, le fait que « tout prévenu [soit] présumé innocent jusqu’à ce qu’ait été apportée la preuve de sa culpabilité », a été renversée. Entre les sacs qui ne doivent rien contenir de suspect, et maintenant le fait de disposer d’un passe sanitaire, autrement dit une preuve de non contamination de la maladie, ce n’est plus à l’accusateur de démontrer que l’accusé est bien coupable, mais bien à l’accusé d’apporter la preuve de son innocence. Autrement dit, « tout prévenu est présumé coupable jusqu’à qu’il ait apporté la preuve de son innocence ». Ce qui constitue un renversement très grave de notre paradigme juridique.

Aux yeux de la personne publique, j’ai ainsi l’impression que nous sommes tous des suspects, voire des coupables qui s’ignorent et que c’est à nous d’être en mesure d’apporter la preuve du contraire. Nous devons exhiber un certificat de pureté, en fait ! C’est peut-être un peu archaïque, comme manière de penser, non ?

Je ne suis pas sûr qu’il soit très sain de conserver une telle mentalité. Et pourtant, cette mentalité se généralise ! Ainsi, les conditions d’accès aux assurances sociales ou aux droits sociaux se durcissent, parce que l’assuré est forcément suspect, donc coupable, de ne pas vouloir contribuer à la société en travaillant par exemple (quand on est chômeur, c’est qu’on le veut bien, c’est bien connu…). La moindre demande de valorisation de ses droits devient un parcours du combattant, soi-disant pour un objectif de respect du droit ou toute autre fadaise équivalente, mais qui dissimule une réalité : la personne publique considère désormais un usager comme un suspect et c’est à lui de prouver sa bonne foi ou son innocence.

A force de se sentir suspecté par l’autorité juste par question de principe, on peut développer un certain ressentiment contre la figure de l’autorité, qui va du mépris ou de la perte de confiance jusqu’à des formes de violences. Un Etat dont les citoyens sont tous suspects au nom d’un impératif de sécurité ou de santé est-il viable ? Sûrement, mais pas sous une forme d’État de droit. En attendant, il m’est de plus en plus déplaisant de montrer mes preuves d’honorabilité, que ce soit dans les transports, à mon bureau, au musée, au théâtre, au restaurant ou au cinéma, en devant exhiber le contenu de mon sac ou en montrant une donnée purement médicale avec mon identité à des personnes qui ne m’inspirent aucunement confiance.

Certes, en Loge, nous devrions avoir l’habitude des checkpoints avec nos mots de semestre et autres Schibolleths qui nous donnent l’accès aux lieux qui nous permettent de nous retrouver entre nous. Mais au lieu de considérer n’importe quel individu comme un suspect potentiel, nous cherchons avant tout à nous retrouver entre personnes ayant vécu une expérience commune, avec nos codes, signes, paroles et attouchements, ceux-là même qui nous permettent d’accéder à la Loge. Ce qui ne fait pas de nous des communautaristes quelconques, loin s’en faut. Nous ne cherchons pas à exclure et encore moins à condamner, mais plutôt à partager notre vécu, ce qui constitue l’énorme différence avec la surveillance d’État. La preuve d’appartenance à la société maçonnique ne constitue pas une preuve d’honorabilité, loin de là. Elle est un passeport, qui donne accès à un lieu fermé et soumis à des règles strictes. Mais quand le passeport devient nécessaire pour accéder à un lieu en principe public ou libre, au-delà du filtre de la crise sanitaire, ou plus généralement, quand on doit apporter par défaut la preuve de son innocence ou de son honorabilité, c’est bien le signe d’un dangereux basculement de valeurs, dont nous sommes tous les complices involontaires.

Je vous embrasse.

ARGENTINE : Le Grand Maître de la Maçonnerie féminine arrive à Neuquén

De notre confrère argentin lmneuquen.com – Par Santiago Rosa

María Elena Castillo de la Gran Logia Femenina Argentina donnera une conférence au Musée Paraje Confluencia.

Ceux qui se sont toujours interrogés sur le sujet de la Franc – Maçonnerie et les mystères des Loges et de leurs fondateurs, auront l’occasion ce samedi à 20h d’assister à la conférence sur « La Franc-Maçonnerie Féminine » donnée par le Grand Maître María Elena Castillo de la Grande Loge Argentine Féminine au Musée de la Confluence, de l’ Indépendance et des Héros des Malvinas.

La maçonnerie est une institution civile née dans des temps immémoriaux et vouée à l’exaltation et à l’amélioration des vertus humaines. Présent dans notre pays depuis la fin du XVIIIe siècle, il comptait parmi ses membres diverses personnalités telles que le général José de San Martín et d’autres architectes de la liberté américaine.

Dans la ville de Neuquén, de nombreuses autorités ayant appartenu à la franc-maçonnerie exerçaient des fonctions publiques, à tel point que la conception même de la capitale de Neuquén correspond à la conception maçonnique fidèle à certains symboles qui contiennent des secrets éternels qui pourraient passer inaperçus aux yeux de tout profane (dénomination reçue par ceux qui ne sont pas affiliés ou n’appartiennent pas à l’Ordre de la Maçonnerie).

« En ce qui concerne la franc-maçonnerie, ma position est aujourd’hui la plus haute autorité de la Grande Loge des femmes argentines, qui a une trajectoire institutionnelle impeccable, basée sur des années de travail conjoint et conjoint. Ainsi, en comptant sur la reconnaissance, tant au niveau national qu’international. , de tous les «* obédiences» en Amérique latine ainsi qu’en Europe, en Asie et en Afrique, ainsi que les organisations de la société civile dont les liens leur ont permis de nous connaître et de voir le sérieux avec lequel nous travaillons », a déclaré María Elena Castillo dans un entretien avec LM Neuquén.

« Notre juridiction couvre à la fois la République argentine et la République du Paraguay. Personnellement, depuis le 6 mars 2021, j’ai l’honneur de représenter la plus grande et la plus prestigieuse Obédience féminine du pays en maçonnerie féminine », a-t-il ajouté.

– Quelle est l’histoire de la Grande Loge Féminine d’Argentine par rapport à la première Loge Féminine créée dans le monde ?

Il y a une différence approximative de 120 ans car la première Loge que l’on connaît exclusivement composée de femmes date de 1880, c’est la Grande Loge Féminine de France . Bien que ce n’était pas quelque chose de spasmodique, mais un processus qui a eu lieu dans le monde entier et qui a à voir avec la lutte des femmes à la recherche de l’égalité et de l’exercice de leurs droits. L’histoire de la Grande Loge des Femmes Argentines est aussi un processus qui a commencé dans les années 1990 et s’est terminé avec sa naissance en tant qu’institution le 6 juillet 2002. Nous sommes sur le point de célébrer 20 ans de vie institutionnelle et trois décennies de travail constant. consolider la Maçonnerie Féminine dans notre République.Notre Grande Loge Argentine est née de la main de la Grande Loge du Chili, qui est l’un des fondateurs et promoteurs d’autres « * Orientes » sur le continent.

– Quelles sont les différences avec les Loges masculines ?

Les différences entre les espaces masculins et féminins, au-delà du fait que nous n’utilisons pas tous le même Rite (parlant dans le monde entier), je pense que c’est l’ancienneté et la condition d’admissibilité puisque certains permettent l’entrée des masculinités et l’autre celle de la féminité . En réalité, il n’y a pas de différences entre l’essentiel et le symbolique. La plus grande antiquité des Loges masculines, d’autre part, est le produit des processus historiques et des décisions politiques et sociales du contexte dans lequel elles sont nées.

– Quelles prémisses spécifiques aux femmes sont revendiquées dans la Women’s Lodge et comment s’articulent-elles avec les revendications des différents secteurs de l’activisme féministe ?

Les Loges Féminines œuvrent toutes pour les Droits des Femmes et pour leur meilleur positionnement intellectuel, culturel, social et économique des subjectivités féminines dans toutes leurs juridictions. Incontestablement, l’existence de la franc-maçonnerie féminine est un acquis du féminisme, cela ne fait aucun doute et si l’on étudie ou analyse comment s’est déroulé le processus d’incorporation des femmes et qui en ont été les architectes, c’est le combat du féminisme qui permet avoir un espace initiatique dans l’orbite de la Maçonnerie. En même temps, au sein de notre « univers » (en tant que Loge Féminine) nous avons une tranche d’âge très diversifiée, avec une multiplicité de points de vue et de positions différentes qui nous permettent de dire que nous sommes une organisation qui rassemble différents points de vue concernant l’être féminin.

Il y a celles qui conservent encore un look plus « victorien » et d’autres, qui ont un look plus radicalisé, mais surtout nous hissons tous les drapeaux du respect et du progrès dans le positionnement de l’Egalité pour toutes les femmes dans tous les domaines.

– Dans quelle mesure sont-elles similaires à d’autres organisations, qu’elles soient spirituelles, religieuses ou philosophiques, dans lesquelles les femmes jouent un rôle différencié voire reléguée ?

La possibilité d’accorder des espaces pour le développement des subjectivités féminines selon la finalité qu’ont les institutions et, d’autre part, le travail pour la reconnaissance des droits qui ont été interdits aux femmes du simple fait d’être des femmes. Plus tard, il y a d’autres différences, mais il faudrait en parler comme la face et l’autre face des aspects de chaque institution pour pouvoir s’y référer précisément. Notre émancipation en tant que femmes se produit à partir d’un travail dans leur progression intellectuelle et spirituelle, avec un engagement social, en plus d’une recherche de plein épanouissement dans leur temps historique et dans leur géographie.

– Y a-t-il une Loge des Femmes à Neuquén ?

Spécifiquement à Neuquén, il n’y a encore personne composé uniquement de femmes membres de cette belle province. Actuellement, de nombreux membres continuent d’appartenir à la  » Respectable Hypatia Lodge« Qui est notre Loge Itinérante. Ceci est basé sur le fait que l’institutionnalisme demande inexorablement du temps, de l’engagement et de la formation pour garantir la stabilité et la continuité temporelle. Élever des Loges de manière spasmodique, sans garantir ces processus, nous semble peu sérieux au regard de la responsabilité que nous avons assumée en tant qu’institution de prestige national et international. Beaucoup de femmes attendent d’entrer non seulement dans la Province de Neuquén, mais aussi dans toute la Patagonie, mais c’est un travail que nous faisons progressivement, progressivement et fondamentalement de manière consciente.

– Quel est selon vous le rôle le plus important joué par les femmes au sein de la franc-maçonnerie en termes de société ?

La maçonnerie en tant qu’institution qui tend au développement et à l’amélioration de l’être humain, le nourrissant de valeurs et de vertus, hissant des drapeaux universellement connus tels que la liberté, l’égalité et la fraternité en fait une institution qui constitue le tissu social. Que les femmes participent à l’espace maçonnique ajoute leurs regards, leurs connaissances et leurs sentiments dans des réponses globales, ouvrant des processus d’inclusion et d’intégration.

Le rôle prépondérant de la participation des femmes tend au développement de l’humanité en tant que diversité, pluralité, flexibilité et adaptabilité pour les nouveaux temps sociaux qui arrivent dans le pays et dans le monde. Les femmes qui participent à la Maçonnerie s’intègrent sans fragmenter inutilement les institutions, mais recherchent plutôt une assemblée équitable pour obtenir une société plus libre, égalitaire et progressiste.

– A votre avis, quelles femmes dans l’histoire avaient des traits ou un profil maçonnique sans appartenir à la Loge ?

Je crois qu’il y a eu beaucoup de femmes sans tablier qui ont pu appartenir à une loge maçonnique. Je pense à tous les irrévérencieux, ceux qui ont osé remettre en cause les mandats, changer les mœurs et se libérer des préjugés. Celles qui ont osé et qui ont lutté avec leur vie pour être meilleures, laissant leur empreinte non seulement en écrivant l’histoire mais en inspirant d’autres femmes à réaliser leurs rêves. En particulier, je vais en citer quelques-uns qui m’impactent, je citerais Cecilia Grierson (premier médecin national argentin), Julieta Lanteri (médecin italo-argentine, politicienne et féministe), Lola Mora (sculpteur argentin), Alicia Moreau de Justo (médecin et homme politique argentin), María Elena Walsh (musicienne et écrivaine), Victoria Ocampo (écrivaine) et Eva Duarte (homme politique et actrice) parmi tant d’autres.

– Quelle est l’importance et pourquoi de savoir garder secrète une certaine partie des enseignements ?

Toutes les institutions conservent un mode de fonctionnalité qui leur est propre sans le faire connaître au reste de la communauté. Le fait est que la Maçonnerie, parce qu’elle se définit comme discrète et peut-être parce qu’elle a été secrète à un moment donné de l’histoire et que beaucoup de ses membres ont été persécutés, souffre d’une stigmatisation au détriment de son prestige et est due à l’ignorance.

La franc-maçonnerie ouvre les portes à la communauté pour montrer ce qu’elle fait à travers ses vêtements blancs, ses conférences et expositions, mais il y a des enjeux inhérents et particuliers au niveau d’intérêt de ses membres qu’il n’aurait aucun sens de leur donner savoir « toute voix ». Cela se produit également dans les instances gouvernementales, comme les pourparlers avant le début d’un dossier qui ne sont connus que de ceux qui ont participé à cette réunion. Même avec les mêmes fichiers dont les résultats sont connus par un décret ou une résolution, mais pas comme ça, toute l’accumulation d’informations que le fichier avait. Cependant, ces activités ne sont pas stigmatisées.

La référence locale maximale dont le nom symbolique est Felipe de Senillosa qui occupe le poste de Vénérable Maître de la Respectable Loge de Vérité 341 et Respectable Frère Grand Hospitalier de Patagonie Argentine, a commenté à LM Neuquén qu’ils sont très heureux de l’arrivée du Grand Maître .

« Nous sommes très heureuses d’apporter tout le soutien à nos sœurs, qui pour la première fois commencent à construire physiquement et opérationnellement la Maçonnerie Féminine dans la Province de Neuquén. Il y a beaucoup d’attentes, rien qu’en nommant l’arrivée de la Serene María Elena Castillo, ils m’ont dit que de nombreuses demandes d’initiations commençaient à arriver pour la Grande Loge Féminine », a-t-il déclaré.

María Elena Castillo a 57 ans et est originaire de Mendoza. Mariée depuis 37 ans, sa famille est également composée de trois enfants, deux beaux-parents et trois petites-filles . En tant qu’avocate, elle se spécialise en droit constitutionnel, administratif et public. Elle a pratiqué le droit libéralement pendant plusieurs années et en tant que fonctionnaire, étant chef du département de conseil juridique du ministère de l’agro-industrie et de la technologie de Mendoza et également conseillère juridique dans cette province. En outre, elle a occupé le poste de conseillère juridique ad honorem auprès du ministère public de la Défense et de l’élève. Ce dernier espace a été créé et dirigé par des femmes.

* L’obéissance consiste en une structure hiérarchique et un ordre de priorité pour son fonctionnement. C’est un mode d’organisation vertical et hiérarchique et un autre mode d’organisation transversale par rapport aux modes de fonctionnement et aux compétences de ses membres. Les postes sont électifs, mais pas temporaires.

* Est : c’est la plus haute autorité ou Grande Loge existant dans une certaine juridiction. La Grande Loge Féminine d’Argentine ou de l’Est de l’Argentine est en charge à la fois de la juridiction de l’Argentine et de celle du Paraguay. Quand on parle d’institutions fédérées, on parle d’institutions qui appartiennent à différents Orients qui peuvent être masculins, féminins et/ou mixtes.

BRESIL : Franc-maçonnerie et religion

De notre confrère brésilien folhadolitoral.com.br

Il y a quelques semaines nous expliquions que parmi les règles de fonctionnement d’une institution maçonnique (et par conséquent les maçons qui la composent) peuvent être considérées comme régulières se trouve la « croyance en un être supérieur »

Il y a quelques semaines nous expliquions que parmi les règles de fonctionnement d’une institution maçonnique (et par conséquent les maçons qui la composent) peuvent être considérées comme régulières se trouve la « croyance en un être supérieur ». Cet aspect, parmi d’autres, et le fait que les francs-maçons se réunissent dans un lieu qu’ils appellent « temple », amènent les laïcs à comprendre que la franc-maçonnerie est une religion. C’est vrai? 

Sans entrer dans une philosophie plus profonde, nous voyons par définition que la « religion » est la « faculté ou le sentiment qui nous porte à croire à l’existence d’un être suprême comme cause, fin ou loi universelle », ou encore, c’est « un lien qui unit l’homme à Dieu comme source de son existence », ou plutôt, est le « système de croyances invérifiables existant pour une ou plusieurs divinités, et les pratiques qui l’accompagnent, principalement l’adoration et le sacrifice (de soi ou des autres) ».

Ainsi, on peut dire que la « religion » est « la croyance en un être supérieur », qui est alors la condition requise pour le fonctionnement de la franc-maçonnerie, mais pas la franc-maçonnerie elle-même. 

La franc-maçonnerie n’est donc pas une religion. Elle n’est rien de plus qu’une association qui vise à promouvoir l’union réciproque des hommes, au sens le plus large et le plus élevé du terme, et à cet effet elle admet les personnes de toutes croyances religieuses, sans aucune distinction.

En ce sens, il est également possible d’affirmer que, bien que n’étant pas une religion, la Franc-Maçonnerie est religieuse, car elle reconnaît l’existence d’un seul principe créateur, régulateur, absolu, suprême et infini, Dieu, considéré comme le GRAND ARCHITECTE DE L’UNIVERS, une entité spiritualiste qui s’oppose à la prédominance du matérialisme. Ces facteurs, qui sont essentiels et indispensables pour l’interprétation vraiment religieuse et logique de l’UNIVERS, forment la base et les grandes lignes directrices de toute idéologie et activité maçonniques.

De cette façon, aucun franc-maçon n’est jamais obligé d’apostasier, c’est-à-dire de renoncer à sa religion ou à sa foi religieuse, quelle qu’elle soit. La franc-maçonnerie accueille les hommes de n’importe quelle religion, tant qu’ils croient en un seul Principe Créateur, Dieu. C’est une exigence, une condition individuelle indispensable d’appartenir à la Franc-Maçonnerie, tout comme c’est une exigence d’être un homme libre de bonnes mœurs ; être conscient de vos devoirs envers votre patrie, vos semblables et vous-même ; exercer une profession ou une fonction légitime et honorable qui leur permet de subvenir à leurs besoins personnels et familiaux et de soutenir les travaux de l’Institution.

Et de même que la franc-maçonnerie n’est pas une « Église » (religion), son temple n’est pas non plus une « église » (lieu de rencontre religieux). Le temple maçonnique est simplement le lieu approprié où les francs-maçons se réunissent périodiquement pour pratiquer les cérémonies rituelles qui leur sont autorisées (sans aucun caractère d’adoration à la divinité), dans un environnement fraternel et propice à concentrer l’attention et les efforts pour améliorer le caractère et la vie spirituelle, et développer leur sens des responsabilités, leur apporter la tranquillité pour méditer sur la mission de l’homme dans la vie, leur rappeler constamment les valeurs éternelles dont la culture leur permettra d’approcher la vérité.

La franc-maçonnerie est, et les francs-maçons doivent être, absolument tolérante. La franc-maçonnerie combat l’ignorance, la superstition et le fanatisme et exige donc de ses membres la plus large tolérance et le respect de toutes les opinions, qu’elles soient politiques ou religieuses. Il reconnaît que toutes les religions et tous les idéaux politiques sont également respectables et rejette toute prétention d’accorder des situations de domination ou de privilège à l’un d’entre eux en particulier.

D’après des informations provenant de GOB-PR, du dictionnaire en ligne Michaelis et du dictionnaire de philosophie en ligne, organisés par Sérgio Biagi Gregório.

Responsable : Perseverance Store ( store159@fgsia.com ) – Jorn. Fernando Gerlach (DRT-PR n°2327)

Le TRF Jean-Pierre ROLLET réélu Grand Maître de la GLNF

0

Samedi 4 décembre 2021, à l’Espace Grande Arche, Parvis de la Défense à Puteaux se tenait la Tenue Solennelle annuelle de la Grande Loge Nationale Française.

Comme tous les trois ans, les Frères votants, c’est-à-dire les membres du Souverain Grand Comité (SGC), les Vénérables Maîtres et Premiers Surveillants des Respectables Loges, ont procédé à l’élection du Grand Maître, du Grand Trésorier et du Député Grand Trésorier, conformément à l’Article 4 du Règlement Général.

TRF Jean-Pierre ROLLET

Le Très Respectable Frère Jean-Pierre ROLLET a été réélu Grand Maître de la Grande Loge Nationale Française.

USA : Temples maçonniques à travers Staten Island – Hier et aujourd’hui

De notre confrère américain silive.com – Par Jan Somma-Hammel

Les bâtiments qui abritaient les maçons à Staten Island étaient souvent polyvalents ou réaménagés, comme celui de West Brighton sur Post Avenue, qui était utilisé pour les cours de ballet dans les années 1960. De plus, actuellement, le CYO est hébergé dans le temple maçonnique de Port Richmond.

Le bâtiment de Tottenville sur Main Street abrite encore aujourd’hui les réunions du club huguenot ainsi que la fraternité Great Kills. Des réunions ont également lieu dans le temple maçonnique de Stapleton sur Bay Street.

Le temple maçonnique de la loge huguenote n°381 sur Main Street, Tottenville, a organisé une grande célébration alors que la pierre angulaire du bâtiment a été posée le 12 juin 1909, selon le site Web de Forgotten NY, avec des fanfares, des discours et de la pompe.

Les architectes Charles Thrall et Charles Schmeiser ont achevé le temple en 1910. Thrall était surintendant et concepteur en chef pour Atlantic Terra Cotta Works à Tottenville, et la terre cuite est présente sur tout l’extérieur du bâtiment.

Les membres des six loges maçonniques de Staten Island collectent des fonds pour des bourses et des cadeaux pour de nombreuses organisations caritatives locales et nationales. Ils organisent également des collectes de nourriture et de vêtements qui viennent en aide aux nécessiteux du district.

Selon son site Web , les nombreux événements annuels des districts, notamment le bal de charité, le dîner de la fraternité maçonnique, le pique-nique RMA, la fête des fêtes et la fête des enfants, collectent tous des fonds pour les organisations caritatives qu’il soutient.

Jetez un coup d’œil à ces beaux bâtiments classiques encore debout, dont le style va du roman à l’ italien et au néo-classique.

Temples maçonniques
Le bâtiment de la loge maçonnique au 514 Bay St. à Stapleton est situé dans le corridor de la rue Bay. 5 novembre 2015. (Staten Island Advance) Tom Wrobleski/Staten Island Advance
Temples maçonniques
L’arrière et le côté du 514 Bay St., Temple maçonnique, sont montrés en 2006. Il abrite actuellement Project Hospitality aux étages inférieurs. (Staten Island Advance) Tom Wrobleski/Staten Island Advance
Temples maçonniques
Le temple maçonnique au 514 Bay St. Stapleton, 2004. (Staten Island Advance) Tom Wrobleski/Staten Island Advance
Temples maçonniques
L’historique Tompkins Masonic Lodge, dans la zone de rezonage du corridor de la rue Bay, se trouve à cet endroit depuis 1901. Photo 2019. (Staten Island Advance) Tom Wrobleski/Staten Island Advance
Temples maçonniques
La salle de loge ornée du temple maçonnique Tompkins sur Bay Street, Stapleton, en 2004. Toutes les réunions officielles de la loge, y compris les cérémonies d’initiation secrètes du groupe, ont eu lieu ici. (Staten Island Advance) Tom Wrobleski/Staten Island Advance
Temples maçonniques
La première loge maçonnique moderne a été créée à Londres en 1717, mais le groupe remonte en fait au Moyen Âge. Ce panneau est accroché au bâtiment de la rue Bay à Stapleton en 2004. (Staten Island Advance) Tom Wrobleski/Staten Island Advance
Temples maçonniques
Le Tompkins Masonic Lodge à Stapleton présente un plafond en forme de dôme en vitrail de 1902. Il est montré en 2006. (Staten Island Advance) Tom Wrobleski/Staten Island Advance
Temples maçonniques
Temple maçonnique et bureau de poste, rue principale, Tottenville, sans date. (Staten Island Advance) Tom Wrobleski/Staten Island Advance
Temples maçonniques
Le temple maçonnique sur Main Street, Tottenville. 2021. (Staten Island Advance)
Temples maçonniques
Le temple maçonnique sur Main Street, Tottenville. 2021. (Staten Island Advance)
Temples maçonniques
La pierre angulaire du 514 Bay St. Masonic Temple, Stapleton, est montrée en 2006 (Staten Island Advance)
Temples maçonniques
Le temple maçonnique sur Main Street, Tottenville, est montré en 2021. (Staten Island Advance)
Temples maçonniques
Le grand temple maçonnique orné de 1910 se trouve à proximité d’Amboy Road sur la rue principale, Tottenville. Il est diffusé le 16 mai 2016. (Staten Island Advance)
Temples maçonniques
Un monument de Staten Island, le temple maçonnique Great Kills est montré en 1993. (Staten Island Advance)
Temples maçonniques
Assis sur Amboy Road, le temple maçonnique Great Kills est montré en 1995. (Staten Island Advance)
Temples maçonniques
Temple maçonnique Great Kills, Amboy Rd, Great Kills. (NYPL.Collections numériques)
Temples maçonniques
Le Centre CYO de Port Richmond était autrefois un temple maçonnique. Pendant la Seconde Guerre mondiale, un canon anti-aérien de l’armée a été monté sur son toit. Aujourd’hui, l’Organisation catholique de la jeunesse occupe le bâtiment. 1966 (Staten Island Advance)
Temples maçonniques
Le Masonic Hall sur Post Avenue à West Brighton a été utilisé comme studio de danse et est devenu plus tard une salle de restauration. Il est montré ici en 2013. (Staten Island Advance)
Temples maçonniques
Le Masonic Hall sur Post Avenue à West Brighton a été utilisé comme studio de danse et est devenu plus tard une salle de restauration. Il est montré ici en 2021. (Staten Island Advance)