Source de notre confrère Jeune Afrique
Le décès du Grand maître David Mignonsin, quatre mois après celui d’Hamed Bakayoko, est un nouveau coup dur pour la GLCI. Et il provoque une nouvelle bataille fratricide.
Moins de quatre mois après la perte du Grand maître Hamed Bakayoko, le professeur de médecine David Mignonsin, l’un des piliers de la GLCI, est décédé fin juin à Abidjan. Il avait le statut de Grand maître et présidait le Suprême Conseil maçonnique, lequel gère les rites et les hauts grades. Le défunt occupait donc l’une des fonctions décisionnaires de la Grande loge, dont il avait gravi tous les échelons.