Le Grand Architecte de l’Univers : un casse-tête maçonnique !
Certains Francs-maçons, malins comme des renards, brandissent le Grand Architecte de l’Univers (GADLU pour les intimes) comme un joker divin, une sorte de « Dieu 2.0 » pour narguer le clergé avec un sourire en coin : « Regardez, on a notre propre patron cosmique, pas besoin de vos sermons ! » D’autres, plus pieux dans leur genre, le vénèrent comme le saint patron des Francs-maçons, un chef spirituel qui guide leurs travaux avec une équerre et un compas célestes…

…Et puis, il y a les sceptiques, ceux qui jurent que le GADLU n’existe pas… mais qui passent leur temps à bouder contre lui, comme s’il leur avait fait une crasse personnelle – un comble pour un être imaginaire ! Entre les provocateurs, les dévots et les râleurs, on se demande bien comment s’y retrouver dans ce chantier métaphysique. Peut-être que le vrai secret du GADLU, c’est qu’il construit plus de confusion que de temples !
Chacun son interpretation 🙂
Le GADLU n’est pas plus imaginaire que la Franc-Maçonnerie Universelle. Ici, tout est symbole m’a-t-on dit un jour. Pourquoi pas le GADLU ?
En l’occurrence, les seuls confus dans l’histoire sont ceux qui ont tout voulut contrôler et ce sont posée mille et une question, plutôt que de simplement observer, comme ce fut le cas partout ailleurs. Les confus ne représentent qu’un grain de sable de l’univers, ou n’y retrouve que des égocentriques et des égoistes.
Heureusements, ils ne sont pas l’image du Monde.
En faite, il ya ceux qui ne se pose pas trop de question, qui prennent la vie comme telle. Il y a ceux qui se font une conviction, il y a ceux qui n’y croivent pas et pour qui celà ne pose pas de problèmes, et il y a ceux qui assume ne pas savoir et accete de vivre ainsi.
Les confus n’entrent pas dans ces catégories : ce sont ceux qui ne savent pas et plutôt que de l’admettre et de l’accepter, vont s’obtiner à vouloir prétendre savoir ce qu’ils savent au font d’eux et chercher à comprendre ce qu’ils ne parviennent pas à comprendre. Pour ce faire ils vont élaborer mille et une hypothése, qu’ils vont ériger en certitude évolutif avec le temps. Comme au fond d’eux, ils ne savent pas et ne comprennent pas, leurs hypotghèse vont surtout avoir pour but de les rassurer, de les conforter dans leurs certitudes et convictions déjà acquises, mais sans jamais parvenir à les rasassier et à leurs permettre d’obtenir des réponses à leurs questions.
Ils veulent savoir et pour ce faire ils doivent savoir déjà, avant même le début de la réflexion, car il n’y a rien de pire pour eux que de s’admerttre ignorant. Pourtant le savoir débute toujours par un « Je ne sais pas! ».
Les confus sont les seuls responsables de leurs confusions. Etre confus, c’est uniquement être pris au piège de son propre égo et de son propre orgueil.
Parfois on en apprend et on en découvre beaucoup plu, sans s’y attendre, ni s’y préparer… seulement en ne se posant pas de question et en laissant la connaissance venir à soi.