dim 14 décembre 2025 - 07:12
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USA : Miami : Le gala de la Franc-Maçonnerie francophone se déroule dans quelques jours

De notre confrère courrierdesameriques.com

L’association « Fraternité Universelle de Floride » affiliée à la Grande Loge Traditionnelle de France, première loge francophone maçonnique de Floride informe que son gala d’anniversaire se tiendra le 17 Novembre à 20h à Villa Azur à Miami.

« Nous serons de nombreux frères avec nos épouses et nombreux sympathisants à y participer. N’hésitez pas à nous rejoindre pour cette soirée festive inoubliable, comme chaque année. Notre leitmotiv est Tolérance Travail et Transmission avec l’espoir d’améliorer un tout petit peu notre société. » Le responsable pour les USA est Christian Guerin. Pour réservations et infos floridafm17@gmail.com

Photo du gala qui s'était déroulé en 2017
Photo du gala qui s’était déroulé en 2017
Gala franc-maçon à MIami

Le Grand Maître du GODF au micro de France Culture (17mn)

Le 7 novembre dernier, Georges Sérignac le Grand Maître du GODF était au micro de France Culture pour évoquer le convent 2021 de Montpellier.

Cliquez sur la photo ci-dessous pour accéder au streaming

Ni lire, ni écrire. Vers un illettrisme global ?

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Les militants de tout bord souhaitent imposer leur cause par la force. Ils disposent pour ce faire d’un outil: l’écriture inclusive. Cet artifice vise à imposer la vision et les règles d’une minorité agissante au nom de causes proclamées justes par leurs militants.

En joueur de Scrabble et enfant d’enseignant devenu intégriste de la grammaire et de l’orthographe, j’ai approfondi mes réflexions sur l’écriture inclusive que je vois un peu trop dans des courriers officiels et des ouvrages récents. Pour les chanceux qui ne la connaissent pas encore, l’écriture inclusive est un artifice de langage consistant à faire apparaître simultanément les genres féminin et masculin des noms communs, adjectifs et pronoms. Ainsi, pour parler des Francs-maçons, on doit écrire Franc-maçon.ne. L’idée est de faire apparaître le féminin, considéré comme invisible par les militants divers et variés. Bien que rendant les textes illisibles, cet artifice est très à la mode dans les documents officiels. Ca fait défenseur des minorités opprimées (j’ignorais que les femmes étaient en minorité, mais bon, que suis-je pour me faire un avis par moi-même?). L’utilisation de l’écriture inclusive va avec l’apparition de militants plus radicaux, défenseurs des minorités, avides de justice mais surtout d’auto-promotion sur les réseaux sociaux.
Fort justement, à l’occasion d’un billet sur les réseaux sociaux, un linguiste membre de l’Observatoire du Décolonialisme alertait sur un danger subtil et profond de l’écriture inclusive.

Avant d’aller plus loin, il faut d’abord comprendre le rôle de l’administration, qui est d’éditer des normes et de les faire respecter dans le cadre juridique de la loi. De facto, le langage administratif doit être univoque et conceptuel, car il engage la responsabilité juridique de l’administration. C’est ainsi qu’on a ce jargon, qui est une source intarissable de gags (surtout dans l’Education Nationale). On se souvient du « référentiel bondissant » pour un ballon, ou du « milieu aquatique fermé » pour une piscine… A cause de ce principe de responsabilité, les fonctionnaires doivent être très prudents dans leurs écrits, la responsabilité juridique de l’Administration étant engagée au moindre courriel…
A l’instar du langage juridique, le langage administratif est donc un langage normé et univoque.

Venons-en maintenant à l’écriture inclusive. Il faut comprendre que l’écriture inclusive n’est tout simplement pas un langage normé.

Il s’agit d’un usage, sans norme réelle ni code ni règle, comme l’inclusion revendiquée par les militants. D’ailleurs, l’Académie Française n’inclut cet usage ni dans les règles de grammaire, ni dans le dictionnaire. On serait plutôt proche d’un langage codé communautaire, à l’instar de l’argot des voleurs, du louchébem des bouchers parisiens, du javanais, ou du langage SMS. Or, on ne peut concevoir un écrit administratif écrit en louchébem, sauf au théâtre… A ce propos, l’humoriste et Franc-maçon Pierre Dac avait réécrit les rituels du Rite Ecossais Ancien et Accepté en argot des voleurs. Il est question de cabane pour la Loge, de Frangin taulier pour le Vénérable, de Mec des Mecs pour le Grand Architecte de l’Univers, de larfeuille de la Vioque pour le tronc de la Veuve, etc. Mais même le texte de Pierre Dac garde cet aspect normé et univoque.

Si j’en reviens à mon problème d’écriture inclusive, on peut considérer qu’il s’agit d’un argot. Moins poétique que celui de Frédéric Dard, mais argot quand même. Ou, comme les règles de l’écriture inclusive ne sont pas écrites ou codifiées, d’un dialecte. Imagine-t-on un document administratif écrit en arguche ou en alsacieni ? Que peut-on dire de sa validité administrative ?
De manière plus caricaturale, sommes-nous en train de faire comme en Allemagne, où tout le monde parle allemand, mais chacun le sienii ?

La langue administrative est normée et univoque, car issue du droit. Si chacun se sent fondé à changer la langue officielle et juridique au nom de telle ou telle cause ou de l’application de ce qu’il croit être son droit, le risque est de générer des monceaux de documents, sans réelle validité, puisque leur langue n’est pas la langue officielle. Sans compter la perte du sens des mots (ce qui est une horreur pour le Franc-maçon que je suis) et la prédominance de règles individuelles sur les règles communes.

Or, que se passe-t-il si l’engagement individuel ou l’idéologie associée prédominent sur la langue et l‘usage communs ? Ce peut être ravageur, surtout dans l’enseignement ou la formation ! Imaginez un prof d’histoire-géo platiste refusant d’enseigner la géographie au nom de son droit et de ses convictions ou un prof de SVT anti-IVG refusant d’enseigner l’éducation sexuelle et la contraception au nom de ses convictions et croyances, ou des militants du développement durable expliquer en formation que l’informatique est moins polluante que l’usage de la voiture… Même principe : refus de la règle commune au profit de croyances ou d’usages militants, et transmission d’idées fausses au service d’une vision d’un ordre du monde mensonger.

On en revient à ce danger : imposition d’une croyance ou d’une règle d’exception d’une minorité sur le droit et les règles communes, relatives à la majorité. Toujours ce bon vieux prêtre ascétique Nietzschéen…

Un Franc-maçon se doit de toujours chercher l’esprit derrière la lettre et de ne pas se payer de mots. Je perçois donc derrière cet artifice chaotique de plus sombres desseins. Le danger que je vois, c’est donc ce refus des règles communes (Meus meumque jus…) au nom de l’affirmation d’une individualité que l’on prend pour une liberté. La même que la liberté de fumer que prennent les fumeurs dans un espace non fumeur…

Les tenants de l’écriture inclusive véhiculent l’idée que les règles de grammaire et d’orthographe, on s’en fout, que l’intelligibilité et l’univocité du texte juridique ou administratif, on s’en tamponne le coquillard, et que le respect de l’usager est désormais secondaire. Seule doit compter la cause, qui est forcément juste.

La langue française, par la rigueur de ses règles et la richesse de son vocabulaire est la langue idéale du droit et de la diplomatie. D’ailleurs, les constitutionnalistes français sont souvent sollicités à l’étranger pour rédiger des constitutions. A ce titre, le travail de sape de la langue par les démagogues inclusifs et autres militants woke est une véritable catastrophe puisque nous perdons notre langue ou la rendons inintelligible. Une véritable démarche orwellienne…

Et pendant que nous glosons sur l’écriture inclusive, une femme reste payée 30 % de moins qu’un homme à travail égal. Mais ça, visiblement, ça dépasse les militant.e.s divers.e.s et varié.e.s.

Je vous embrasse.

iContrairement au provençal, qui est une langue parlée et écrite, disposant d’une grammaire, l’alsacien est un dialecte, parlé sans règles codifiées.

iiSituation vécue : l’allemand officiel est celui parlé sur Arte, le Hochdeutsch parlé principalement à Hanovre et enseigné à l’étranger. Mais il existe des multitudes de dialectes et de variétés régionales, qui rendent les conversations rapidement inintelligibles : le Ruhrdeustch, le bavarois etc.

Pour réfléchir en maçon – Le Revenu Universel Inconditionnel

Commission Nationale pour l’étude du Revenu Universel Inconditionnel G.O.D.F.

Conform édition, 2021, 208 pages, 15 € (port compris)

Le Revenu Universel Inconditionnel (RUI) est, depuis quelques années, devenu un sujet de réflexion transversale. De nombreux acteurs intellectuels politiques et associatifs de la société s’en emparent.

Les Francs-Maçons du Grand Orient de France travaillent depuis plusieurs années sur cette question qu’ils considèrent comme essentielle.

Ce livre présente les travaux les plus récents de la Commission Nationale d’Études sur le Revenu Universel Inconditionnel (CNERUI) du Grand Orient de France. Le président André Fetet en signe l’avant-propos.

L’introduction s’achève sur le constat que je suis le Rui appliqué à l’Europe permettez à chaque individu de se sentir davantage citoyens européens c’est en construisant ce modèle que nous pourrons espérer donner à ce projet sa dimension universelle.

Le sommaire :

Préface

Avant-propos du Président

Introduction

Le Revenu Universel : une idée qui vient de loin

– Éthique et fondements philosophiques

– Fondements philosophiques du revenu universel inconditionnel ?

– Le RUI quels objectifs ?

1/ Les fondamentaux :

Deux conceptions différentes du RUI :

– Qu’est-ce qu’un RUI dans une optique néolibérale et qu’est-ce qu’un RUI dans une vision progressiste ?

– Comment le revenu universel inconditionnel contribue-t-il à l’amélioration matérielle et morale de l’humanité ?

– Le RUI serait-il une aide pour exister ou un droit parce que l’on existe ?

– RUI, pourquoi « revenu » ?

– RUI, pourquoi « universel ? »

– RUI, pourquoi « Inconditionnel » ?

– Face à la progression des injustices sociales, des inégalités et de la destruction de l’environnement (disruption),

– le RUI peut-il être un levier pour construire une société différente (meilleure et plus éclairée) ?

– RUI et justice sociale ?

– Comment réduire, voire sortir de l’injustice sociale ?

– Le RUI peut-il se substituer aux aides sociales ?

– Pourquoi le revenu universel inconditionnel est-il nécessaire aujourd’hui ?

– Qui pourra prétendre au RUI, les plus riches comme les plus pauvres ?

– Comment justifier l’attribution d’un RUI sans contrepartie ?

– La liberté inconditionnelle portée par le RUI renforcerait-elle les comportements individualistes en opposition avec le besoin de faire société ?

2/ Les questions posées par le RUI

Sur son approche :

– Quels sont les principaux arguments développés par les opposants au RUI ?

– Faut-il instaurer le RUI progressivement ou d’emblée ?

– Les premières expérimentations ou celles en cours permettent-elles une analyse encourageante vers sa possible instauration ?

Sur le RUI et le travail :

– D’où vient la notion de « valeur » accolée au travail ?

– Le RUI est-il un encouragement à la paresse et pourquoi travailler si l’on bénéficie du RUI ?

– Le travail est-il essentiel à l’émancipation de la personne humaine ?

– Comment concevoir la redistribution du temps de travail avec le RUI ?

– Le RUI aura-t-il un effet délétère sur la recherche d’un emploi ?

– Peut-on passer, grâce au RUI, d’un travail de subsistance contraint par la nécessité à un travail choisi, gratifiant, utile pour la société ?

– Le RUI risque-t-il de tirer les salaires vers le bas ?

Sur la transition écologique et sociétale :

– Le RUI peut-il être un des outils aidant à mettre en place des actions de lutte favorisant la transition écologique

– Faut-il conditionner l’attribution du RUI aux actions de la préservation de l’environnement ?

– Le financement du RUI ne nous impose-t-il pas une croissance productiviste contraire à l’urgence climatique ?

– Le RUI favoriserait-il la création, l’initiative et le développement local ?

– L’évolution de notre société est-elle suffisante pour imaginer que chacun puisse travailler sans y être obligé ?

– La robotisation et l’économie informationnelle détruisent-elles les emplois ?

– Le RUI est-il une réponse efficace pour lutter contre les inégalités et la pauvreté ?

– Le RUI est-il l’outil permettant de lutter contre la précarisation et l’exclusion due à la pauvreté ?

– Comment imaginer le RUI sans avoir remis en cause notre modèle de croissance, comment éviter d’alimenter une surconsommation et une accumulation de bien, comment progresser dans une économie raisonnable ?

– Le RUI peut-il être un facteur de protection de la planète ?

– Le RUI est-il une aide sociale au sens où nous l’entendons actuellement ?

RUI et décroissance :

– Jean Baptiste Mylando

– Sophie Swaton

Sur le financement :

– Quelles seraient les sources de financement d’un RUI : fiscalité, création monétaire, services gratuits, monnaie locale, combinaison de plusieurs sources ?

– Pourquoi et dans quelles conditions le RUI devrait-il être constitué d’une monnaie fondante et fléchée ?

– Le RUI doit-il s’adapter à des besoins particuliers, par exemple pour les plus jeunes, une part disponible et une part capitalisée comme aide à l’entrée dans la vie active ?

– Le RUI impose-t-il une réforme fiscale pour trouver le financement ?

– Le RUI doit-il être imposable ?

– Une taxation des transactions financières pourrait-elle être une possible source de financement pour le RUI ?

– La BCE peut-elle refinancer le Revenu Universel Inconditionnel ?

Sur l’universalité :

– Quid du RUI confronté à la réalité migratoire ?

– Texte Stanislas Jourdan

3/ Définition d’un nouveau droit

– Le RUI outil d’un nouveau droit ?

– Le RUI est-il une allocation pour les plus démunis ou un droit universel ?

– Le RUI permet-il une simplification des aides sociales pour éviter les trous dans la raquette et préserver la volonté de solidarité dans un principe d’universalité ?

– Dans le modèle actuel, sans issue, le RUI est-il l’outil pacifique permettant la transition vers un autre avenir ?

– Le RUI nécessiterait une définition des communs et obligerait à repenser la propriété. De ce fait, imposerait-il de penser un projet soucieux de l’humanité dans un monde fini ?

Pour Conclure :

– Gaël Giraud

– Nicolas Dufrêne

Annexes :

– Détruire la misère – Victor Hugo

– Travail pour tous où Revenu universel – Denis Maillard

– Fiche de lecture « Le revenu de base inconditionnel »

– Personnalités invitées aux travaux de la CNERUI

Conseils de lecture pour aller plus loin

Le colloque du 3 juillet 2021 (3:05:12)sur la chaîne YouTube GODF https://youtu.be/uaG6zXkbDVk

Disponible sur https://www.conform-edit.com/nouveautes-livres-maconniques/revues-maconniques/revenu-universel-detail.html

17 novembre 2021 : « Dédicaces sous L’acacia », à Pisan

À partir de 17h17, au sein de la Maison des Maçons, SCRIBE, la librairie de la GLNF, vous invite aux « Dédicaces sous L’acacia » à l’occasion de la parution des ouvrages de :

Alessandro Sbordoni/Jean-Luc Leguay « La liberté comme méthode – L’initiation maçonnique dans ses relations avec les pratiques du quotidien » ;

Jean-François Blondel « Le Diable dans les cathédrales – Le démon y aurait-il sa place ? »

Éditions Dervy

Tous deux publiés aux éditions Dervy, une marque du groupe Guy Trédaniel.

SCRIBE reprend ses traditionnelles dédicaces, le mercredi 17 novembre prochain à partir de 17h17, après presque deux années d’inactivité en raison du respect des restrictions sanitaires.

Dédicaces sous L’acacia

Infos pratiques :

De 17h17 à 19h – Hall d’accueil ; Maison des Maçons

Grande Loge Nationale Française

12, rue Christine de Pisan – 75017 PARIS

Pass sanitaire obligatoire

La Chaîne d’Union, Hors-série, « À quoi travaillent les francs-maçons ? »

La Chaîne d’Union

Collectif

Conform édition, 2021, Hors-série, 176 pages, 17 €

La Chaîne d’Union est la revue trimestrielle d’études maçonniques, philosophiques et symboliques du Grand Orient de France. Une revue entièrement vouée à la réflexion maçonnique et créée en 1864 à Londres par des francs-maçons français exilés, fuyant le régime autoritaire de Napoléon III.

Ce numéro d’octobre est un hors-série consacré à :

« À quoi travaillent les francs-maçons ?  – Quête des origines, construction d’identité, de l’opératif au spéculatif, le travail en loge, la planche un espace de liberté ».

Le sommaire :

– Tailler la pierre : aux sources d’un symbole et d’une morale maçonniques par Jean-Michel Mathonière ;

– « Portos du Bâtiment » par Claude Gagne ;

– Pourquoi une Maçonnerie « de la pierre » ? par Ludovic Marcos (réédition) ;

– De la pierre de fondation à la clé de voûte : symbolisme du parcours initiatique du franc-maçon par Jean-François Blondel ;

– De l’opératif au spéculatif : les marques de métier, l’exemple du 4 de chiffre par Dominique Jardin ;

– De la métaphore architecturale par René Motro ;

– L’Art Royal : un travail d’amateurs par Pierre-Yves Beaurepaire ;

– La planche : un espace de liberté par Cécile Révauger ;

– Au fondement du travail des maçons : les « récits symboliques » de la maçonnerie par Jean-Michel Gelin ;

– De la construction du Temple de Salomon à celle de l’homme réalisé par Thierry Brézillon ;

– Du travail et du sacré en loge par Christiane Vienne ;

– Le travail sur soi au risque de la psychanalyse par Daniel Comino ;

– De l’Art Royal en temps de chaos par Marie-Dominique Massoni ;

– La transmission initiatique au XXIe siècle par Jean Dumonteil ;

– Comment la maçonnerie française est devenue républicaine par André Combes ;

– « Retrouvons-nous dans l’héritage des tailleurs de pierre » par Jean Verdun.

[NDLR : La revue s’ouvre avec un avant-propos de Georges Sérignac, grand maître du Grand Orient de France. Il précise que son Obédience s’honore de disposer de trois publications périodiques régulières. Chacune de ces trois revues ayant leur identité propre. Humanisme, la grande revue culturelle des maçons du GODF principalement centrée sur leur engagement dans la cité tandis que les Chroniques d’histoire maçonnique publiées par l’Institut d’études de recherche maçonnique (IDERM), bien qu’un peu moins distribuées, soit attendues, lues et discutées dans les milieux académiques. Il relève que La Chaîne d’Union est la plus ancienne revue maçonnique actuellement publié en France, ayant fêtée son 150e anniversaire en 2015. Elle est aujourd’hui la grande revue d’études symbolistes, traditionnelles, de recherche initiatique, philosophique et maçonnique du GODF. Il note que la Maçonnerie est sans doute encore la seule institution qui privilégie la voie initiatique pour transmettre le sens profond de ces symboles et de sa tradition. La revue est précisément au service de cette réflexion.

Il précise aussi que c’est 3 revues ouvertes, exigeantes et pluralistes, constituent un instrument tout à fait essentiel de la politique culturelle de l’Obédience.

Quant à l’éditorial de Jacques Garat, rédacteur en chef, ce dernier relève que le récit des origines crée un lien puissant avec le métier de tailleur de pierre, sa symbolique et ses secrets, qui ont fait le fondement même de l’identité maçonnique. Des plumes connus et reconnus appartenant à toutes les Obédiences contribuent à ce remarquable numéro.

Un hors-série qui se compose de trois parties :

  • Quête des origines, construction d’identité ;
  • Aspect du travail en loge ;
  • Témoignage : Jean Verdun.

Nous sommes heureux de lire Jean Verdun, récemment passé à l’Orient Éternel https://bit.ly/3HaZXeI

Rappelons que ce numéro est disponible sur le site de Conform édition https://www.conform-edit.com/la-chaine-d-union/cdu-hs-travail-des-fm-detail.html]

∴ 3 POINTS C’EST TOUT ∴ – Vendredi 12 Novembre

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🎥 Saint-Martin-des-Champs : quelle est l’histoire de la Commanderie des Templiers ? https://450.fm/2021/11/10/saint-martin-des-champs-quelle-est-lhistoire-de-la-commanderie-des-templiers/

🎥 A la source de la fraternité https://450.fm/2021/11/05/a-la-source-de-la-fraternite-2/

🎥 Colloque «Le Sefer Yetsirah» https://450.fm/2021/11/10/colloque-le-sefer-yetsirah/

📰 Le rendez-vous quotidien des lecteurs de https://450.fm

Le journal de la FM sous tous ses Angles

– Présentation Hadrien Berthaut

– Réalisation Laurent Sirguy

– Directeur de la Publication Franck Fouqueray

Au MOPO à Troyes, Jean-François Blondel en conférence !

Jeudi 18 novembre 2021, venez écouter Jean-François Blondel sur « Corporations, Confréries et sociétés initiatiques ».

Le Grand Maître de la Grande Loge Provinciale Champagne-Ardenne a le plaisir de vous inviter à une conférence sous l’égide de la Respectable Loge « la Voie des Trois vertus » N° 1773, Loge Provinciale de Recherche.

Si tel est votre désir, vous pourrez poursuivre les échanges autour d’un pot de la Fraternité.

Pour mémoire, Jean-François Blondel est engagé depuis longtemps sur le sentier des sciences traditionnelles et passionné par l’histoire des métiers, de leur organisation (corporations, confréries) et de leurs sociétés initiatiques, il est l’auteur de très nombreux ouvrages, dont Franc-Maçonnerie et compagnonnage (Éditions Trajectoire 2016), La Mystique des Tailleurs de Pierre (Éditions du Rocher, 2004) et Encyclopédie du compagnonnage – Histoire, symboles et légendes (Éditions du

Rocher, 2000). Par ailleurs, il collabore régulièrement aux Cahiers Villard de Honnecourt.

Infos pratiques :

Conférence publique et gratuite

Jeudi 18 novembre 2021 à 19h30

Maison de l’Outil et de la Pensée Ouvrière (MOPO)

7, rue de la Trinité – 10000 Troyes

Inscription préalable au  gmp.ard@glnf.fr

Pass sanitaire et port du masque obligatoire

ANGLETERRE : Dons des francs-maçons à la Fishguard Musical Theatre Society

De notre confrère anglais westerntelegraph.co.uk – Par Par Becky Hotchin

Fishguard Musical Theatre Society (FMTS) a reçu des dons totalisant 2 000 £ lors de sa récente représentation de Sister Act.

Stephen Roscoe, intendant du festival pour les francs-maçons de l’ouest du pays de Galles, a remis aux membres de l’association un chèque de 1 500 £. Il s’agit du troisième don de ce type octroyé au cours des trois dernières années.

Le même soir, Eurig Evans, vénérable maître de la loge Strumble à Fishguard, a remis à la société du théâtre musical un don de 500 £. La loge Strumblea fait cinq dons de ce type depuis la fondation de la société.

Depuis sa fondation en 2016, FMTS a reçu un total de 9 500 £ des francs-maçons.

Fondatrice et productrice, Rain Malone-Hallett a déclaré : « Je tiens, au nom de tous, à remercier la branche caritative de la loge maçonnique pour leur merveilleux don.

« Votre don permettra à FMTS de continuer à faire ce qu’ils font le mieux et en retour, nous pourrons alors collecter des fonds pour soutenir d’autres projets communautaires. Merci beaucoup. »

COTE-D’IVOIRE : Un autre «dignitaire» de La Grande Loge de Côte-d’Ivoire décède à Paris

De notre confrère ivoirien connectionivoirienne.net

Le Grand Maître intérimaire l’avocat Sylvère Koyo perd un pilier. Nouveau coup dur pour la GLCI.

Alors qu’elle est déjà en proie à une guerre de succession, son premier surveillant, qui était proche de l’ancien grand maître Hamed Bakayoko, vient de disparaître.

Selon nos informations, Habib Touré De Movaly est décédé le 26 octobre, dans un hôpital parisien, d’un cancer du foie fulgurant. Il était le premier surveillant de la Grande Loge de Côte d’Ivoire (GLCI), une position très influente. La nouvelle a été annoncée dans la soirée du 26 octobre aux frères de lumière, alors qu’ils étaient en travaux au temple de Marcory Résidentiel.

Le Premier Surveillant assiste le Vénérable Maître dans les Travaux de loge. Il est aussi appelé le «Second Maillet» qui s’occupe principalement des frères Compagnons dans leur apprentissage. Il est avec le Second Surveillant [3e Maillet] l’un des trois officiers qui dirigent les Travaux de la loge.

Avec Jeune Afrique