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Décès de Patrick Nguéma Ndong, le célèbre ésotériste d’Africa Radio

Par Biscone Adzoyi, le 25 Déc 2021

Patrick Nguéma Ndong, la voix historique d’Africa N°1 et animateur de l’émission « L’aventure mystérieuse » est décédé à l’âge de 64 ans… a annoncé sur sa page Facebook, Africa Radio, le nouveau nom de Africa N° 1.

Un événement qui plonge la radio africaine et le monde des médias africains et surtout ceux qui ont aimé son émission dans une tristesse inouïe. L’information a été publiée par plusieurs sources dont gabonactu.com, gabonreview.com ou encore info241.com.

Cet expert en sciences occultes serait décédé à Libreville des suites d’une longue maladie ce 23 décembre 2021 aux environs de 22 heures. Le Gabonais Patrick Nguéma Ndong a été un incontournable de la radio panafricaine Africa N° 1 à travers son émission « L’aventure mystérieuse », un feuilleton radiophonique dont il incarnait tout seul toutes les voix et tous les rôles. Il a écrit plusieurs articles de presse et livré de nombreuses conférences sur la spiritualité et les sciences occultes africaines. Malade depuis plusieurs années, cette icône africaine a été à plusieurs reprises annoncé pour mort mais lui-même ou ses proches apportaient toujours le démenti.

Sources : https://elitedafrique.com/https://www.africatopsuccess.com/

La carrière de Patrick Nguema Ndong

Il est un Franco-Gabonais, né à Royat (France) en 1957 et mort le 23 décembre 2021 à Libreville (Gabon), producteur, présentateur et spécialiste des sciences occultes de la radio Africa Radio. Il est titulaire d’un master de littérature comparée et d’études religieuses à l’université d’Indiana aux États-Unis.

Patrick Nguema Ndong se rend célèbre par la production de « L’aventure mystérieuse », un film radiophonique (radio drama) réalisé autour d’une idée originale des auditeurs, ou d’une idée personnelle de Patrick lui-même. Ce film sonore existe depuis près de 20 ans, et est écrit à la manière du monde fantastique de Marvel. Il reproduit des histoires où le mystérieux est le thème principal. Le sorcier Fifian Ribana, le général Mangani Mangwa ou le professeur Eubénézer Euthanazief sont souvent les principaux personnages dans la ville imaginaire de Bangos…

Spécialiste des sciences occultes sur les ondes de Africa Radio

Africa Radio, anciennement Africa N° 1, est une station de radio franco-africaine créée au Gabon en 1981. Née avec des fonds français et gabonais, la radio se scinde très tôt en deux structures presque indépendantes, Africa N° 1 Gabon et Africa N° 1 Paris. Début 2000, la France se désengage d’Africa no 1 Gabon qui passe sous le contrôle de la Jamahiriya arabe libyenne en 2007 et connaît de fortes difficultés économiques depuis. De son côté, Africa N° 1 Paris affiche de bons scores d’audience et parvient à stabiliser sa présence dans le paysage radiophonique français. En 2019, la station change de nom et devient « Africa Radio ». Elle est membre des Indés Radios. En savoir plus https://fr.wikipedia.org/wiki/Africa_Radio

Écoutez une vidéo de Patrick Nguema Ndong, animateur aussi de l’émission « Le Triangle ». Cet homme de radio a étudié la parapsychologie aux USA  et s’est révélé comme maîtrisant les problèmes liés à la sorcellerie. Cette vidéo a été réalisée à partir de nos  images d’archives provenant de 3A Télésud, par notre partenaire AbeTV, à qui nous exprimons le sentiment de profonde gratitude.

https://www.mbokamosika.com/article-patrick-nguema-ndong-78244227.html

Histoire illustrée du Rite Écossais Rectifié

Roger Dachez – Éditions Dervy, 2021, 192 pages, 19,90 € – Format Kindle 13,99 €

Présentation de l’éditeur :

La maçonnerie du XVIIIe siècle hésitait entre la poursuite du mythe templier, la philosophie des Lumières et la découverte des troublants mystères de la théurgie.

C’est à Lyon, dans le paisible milieu des soyeux que l’un d’entre eux, Jean-Baptiste Willlermoz (1730-1824), va réaliser la synthèse qui verra naître le Rite Écossais Rectifié (RER), un système maçonnique à nul autre pareil.

Spiritualiste et chrétien dans une maçonnerie qui allait s’engager dans la voie de la politique et du laïcisme, le RER disparaît presque entièrement au XIXe siècle. C’est au début du XXe siècle, en pleine crise entre l’Église et l’État, un affrontement où la franc-maçonnerie tient le premier rang parmi les opposants au catholicisme, qu’il fait sa réapparition, presque à contre-courant de tout.

Ayant toujours réuni des esprits singuliers et engagés, son histoire est à l’image de celle de la France au cours des deux derniers siècles : passionnée et parfois contradictoire.

Cet ouvrage en propose une vision d’ensemble, servie par une iconographie remarquable.

Biographie de l’auteur :

Médecin et universitaire, Roger Dachez a été chargé d’enseignement à l’Université Paris 7- Denis-Diderot et président de l’Institut Alfred Fournier à Paris. Président de l’Institut Maçonnique de France (IMF) depuis sa fondation en 2002, il est aussi membre du Comité scientifique du musée de la Franc-Maçonnerie à Paris et Contributing Member de la Scottish Rite Research Society (Washington). Parallèlement, il dirige depuis 1992 la revue d’études maçonniques Renaissance Traditionnelle, créée en 1970. Considéré comme un historien majeur de la franc-maçonnerie, il est l’héritier de la méthode historique appliquée par son maître et père spirituel René Guilly (René Désaguliers). Depuis près de trente ans, il a présenté de nombreuses conférences en France et en Grande-Bretagne et il est l’auteur de nombreux articles de recherche sur les origines historiques et les sources traditionnelles de la franc-maçonnerie, publiés dans des revues françaises ou étrangères. Nous lui devons une vingtaine d’ouvrages, et notamment : L’Invention de la franc-maçonnerie (Véga, 2008), Régularité et reconnaissance, histoire et postures (Conform, 2015), mais également plusieurs volumes de la Collection « Que sais-je ? » aux Presses Universitaires de France – dont : Histoire de la franc-maçonnerie française (2003), Les 100 mots de la franc-maçonnerie (avec Alain Bauer, 2007), Le Rite Écossais Rectifié (avec Jean-Marc Pétillot, 2010). Plus récemment, il a publié un important volume sur la Nouvelle histoire des francs-maçons en France (avec Alain Bauer, Tallandier, 2020) ainsi que Les francs-maçons en 100 questions (Talllandier, 2021) et, en codirection avec Alain Bauer, Au coeur des loges – Le Livre de la franc-maçonnerie II (Que sais-je ?, 2021).

[NDLR : Depuis le 21 avril 2018, Roger Dachez est président des Loges Nationales Françaises Unies (LNFU), regroupant les Frères et les Sœurs de la Loge Nationale Française (LNF) et de la Loge Nationale Mixte Française (LNMF) dans une seule et même Obédience.

Reconnaissons-lui aussi un grand talent, bien au-delà de sa pédagogie : celui d’être un vulgarisateur sachant s’adapter à très large public tant maçonnique que profane – du latin profanus, de pro « devant » et fanum « lieu consacré » -, avec un souci permanent de transmettre.

Le moins que nous puissions dire c’est que le Président de l’Institut Maçonnique de France n’est pas triskaïdékaphobe… C’est-à-dire qu’il ne souffre pas de la peur du nombre 13, si souvent associé au malheur, même si on accorde peu de crédit en France à cette superstition aux origines floues, puisqu’il nous fait voyager au sein du Rite/Régime Écossais Rectifié en TREIZE chapitres !

Pour votre plus grand profit et plaisir, en voici d’ailleurs la table des matières :

Remerciements

Avant-propos

Chapitre I : Les sources françaises

Chapitre II : La franc-maçonnerie « écossaise » au XVIIIe siècle

Chapitre III : L’illuminisme maçonnique

Chapitre IV : La légende templière et la Stricte Observance

Chapitre V : Les pères fondateurs (I) – Martinez de Pasqually

Chapitre VI : Les pères fondateur (II) – Jean-Baptiste Willermoz

Chapitre VII : Les pères fondateurs (III) – Louis-Claude de Saint-Martin

Chapitre VIII : Structures et rituels rectifiés de 1775 à 1809

Chapitre IX : Renaissance et déclin de l’Ordre rectifié au XIXe siècle

Chapitre X : Le retour du RER et la création d’une obédience « régulière » (1910-1913)

Chapitre XI : Le RER en France de 1913 à la Seconde Guerre mondiale

Chapitre XII : Le timide réveil de l’après-guerre jusqu’à la création de la GLNF-Opéra

Chapitre XIII : Le RER depuis les années 60

Conclusion : Problèmes et perspectives du Rite Écossais Rectifié en France

Bibliographie sommaire

En premier lieu, les remerciements s’adressent à Catherine pour sa relecture ainsi qu’à Pierre Mollier, conservateur du musée de la franc-maçonnerie pour l’autorisation de reproduire plusieurs illustrations. Ronan Loaëc, photographe et auteur des très beaux clichés, en bénéficie tout autant.

Car la riche illustration est belle et bien désormais une labellisation des éditions Dervy, une marque du groupe Guy Trédaniel (cf. l’interview de Jean-Cyrille Godefroy, directeur éditorial, de mars 2021 sur le site GLNF rubrique « Rencontres » https://www.glnf.fr/)

Le but du dernier opus de Roger Dachez est de présenter une synthèse qui prend en compte les derniers éléments connus sur le Rite/Régime et de donner une vue d’ensemble d’un système maçonnique dont une partie n’est toujours ostensible (la fameuse classe de la Profession et de la Grande Profession). L’auteur nous offre ainsi une vision d’ensemble historique et doctrinale des plus complètes, tant pour le cherchant rectifié que pour celui pratiquant un autre rite.

Pour mémoire, le rite a quelques spécificités, comme les Trois Grandes Lumières que sont le Soleil, la Lune et le Vénérable Maître. De même au Rite Écossais Rectifié, l’Équerre et le Compas sont disposés sur l’Autel du Vénérable Maître à côté de la Bible et sont toujours entrelacés de la même manière, la branche droite du compas au-dessus de l’équerre, la branche gauche au-dessous. quel que soit le Grade auquel la Loge travaille.

Bien au-delà de cela, le livre retrace la cohérence d’un rite élaboré, en France, à la fin du XVIIIe siècle par des Francs-Maçons qui ont su « produire » un système à partir de matériaux symboliques et rituels d’origines différentes en en faisant une œuvre homogène, pédagogique et initiatique.

C’est l’objet des trois chapitres traitant des pères fondateurs.

Avec le théosophe thaumaturge Martinès de Pasqually (c. 1727-1774), véritable père spirituel, qui avait titré, en 1770 un énigmatique livre titrant à l’époque « La Réintégration et la réconciliation de tout être spirituel avec ses premières vertus, force et puissance dans la jouissance personnelle dont tout être jouira distinctement en la présence du Créateur. », ouvrage qui ne fut imprimé pour la première fois qu’en 1899.

Puis avec Jean-Baptiste Willermoz (1730-1824), ce grand Maçon lyonnais, initié à l’âge de 20 ans. Il rencontre Martines de Pasqually en 1767 et, séduit par sa personne et sa doctrine, devient l’un de ses disciples. Animateur des Élus Coëns de Lyon, il devient également Chancelier de la province d’Auvergne de la Stricte Observance dite Templière (SOT). Conscient de la nécessité d’une profonde réforme de la Maçonnerie, Jean-Baptiste Willermoz va être le principal instigateur avec Jean de Turckheim du « Renouvellement de l’Ordre » et de la création du Rite Écossais Rectifié, pratiqué encore aujourd’hui par près de 8000 Maçons en France.

Sans oublier le « philosophe inconnu », un nom que devait garder pour la postérité Louis-Claude de Saint-Martin (1743-1803).

Cette genèse du Rite Écossais Rectifié etle contexte maçonnique français – aujourd’hui nous dirions le paysage maçonnique français (PM) -, depuis l’apparition de la Franc-Maçonnerie spéculative, installée en France à partir de 1725, permettent de mieux appréhender le RER, dans une anarchie naissante de hauts grades dès le milieu du dix-huitième siècle… Une origine que nul ne peut ignorer depuis qu’en 1754 le baron de Hund (1722-1776) a fondé à Dresde en Allemagne une Maçonnerie chevaleresque ayant pour finalité la restauration de l’Ordre du Temple.

Si Jean-Baptiste Willermoz était convaincu que le but réel de la Maçonnerie est « d’éclairer l’homme sur sa nature, sur son origine et sur sa destination », gageons que cet ouvrage sera un guide pour comprendre ce qu’a été la rectification, ce qu’elle est encore et ce qu’elle sera toujours. Ce très beau et exigeant rite maçonnique se situe dans une perspective ésotérique qui transcende le Maçon.]

AUTRICHE : « La franc-maçonnerie a façonné le monde depuis sa création »

De notre confrère autrichien zurzeit.at – Par Bernhard Tomachitz

L’auteur de non-fiction et journaliste d’investigation Guido Grandt sur les objectifs des francs-maçons et leur influence sur la politique

La Grande Loge d’Autriche écrit sur son site Internet que « en bref » la franc-maçonnerie est « une formation de la personnalité » et que chacun de ses membres travaille à « devenir une meilleure personne ». Comment voyez-vous cette expression de soi ?


Guido Grandt :Ce n’est pas nouveau que des groupes idéologiques, des sociétés secrètes, des sectes et autres qualifient de « formation de la personnalité » avec la perspective de devenir une « meilleure personne ». Par exemple, pensez à la Scientologie à cet égard. Mais ce qui à première vue semble être un « coup publicitaire » est en réalité en apparence les efforts honnêtes de la franc-maçonnerie sur la base de la fraternité, de l’humanité, de la charité, de la démocratie, de la libéralité, de la liberté, de l’égalité et de la tolérance. Cependant, cette noble préoccupation est souvent prise à l’absurde. Il suffit de penser au franc-maçon de haut niveau et antisémite Henry Ford, dont le pamphlet incendiaire « Le juif international » (« Le juif international – un problème mondial » ou encore :
Dans les années 1930, le frère de loge Henry Ford s’est publiquement rangé du côté de l’Allemagne nazie. En juillet 1939, Hitler fut le premier à lui décerner la plus haute distinction pour un non-Allemand, le « Grand-Croix de l’Ordre allemand de l’Aigle ». Ou pensez au président américain et franc-maçon Harry Spencer Truman, qui a ordonné les catastrophes nucléaires les plus dévastatrices de l’histoire du monde à ce jour : la bombe atomique a été larguée sur Hiroshima le 6 août 1945 (avec jusqu’à 90 000 morts et 50 000 victimes plus tard en raison de la contamination radioactive ) et le 9 août 1945 le largage d’une autre bombe atomique sur Nagasaki (avec jusqu’à 36 000 morts et 40 000 victimes plus tard).
On sait aussi peu que les maçons allemands, ancrés dans le milieu ethnique, ont d’abord développé des « stratégies d’adaptation » sous le règne de terreur des nationaux-socialistes, se sont humiliés et graciés, et étaient même prêts à introduire la « franc-maçonnerie nationale-socialiste ». Mais les nazis n’appréciaient nullement la tentative de complaisance. Cela semble presque incroyable, mais cela est prouvé par des sources maçonniques internes. A chaque occasion, les francs-maçons soulignent qu’ils ont été de pauvres victimes du régime hitlérien. Cependant, ce n’est que partiellement vrai.

Guido Grandt est un producteur de télévision indépendant, journaliste d’investigation, publiciste et auteur. Il a écrit plusieurs livres de non-fiction, dont le « Black Book Freemasonry ».

Quels sont les véritables objectifs des francs-maçons ?
Grandt :Le fait est que la franc-maçonnerie était un pilier important des Lumières, dans lequel étaient ancrées des valeurs positives telles que la tolérance, la fraternité, la démocratie, l’égalité de toutes les races et religions. À mon avis, le véritable objectif est de chercher le vrai secret de la franc-maçonnerie dans l’action politique, c’est-à-dire dans la politique active du frère de loge lui-même, qui en tant que politicien ne doit pas agir contrairement à l’idéologie maçonnique. Ce n’est rien de plus qu’une influence politique à travers une vision du monde, à savoir celle de la franc-maçonnerie ! Quelle serait l’ampleur de l’excitation si les politiciens qui, par exemple, étaient des témoins de Jéhovah ou des scientologues n’étaient pas autorisés à contrevenir à cette vision du monde ? Mais il y a autre chose qui n’est pas autorisé à être rendu public et donc les listes de membres sont gardées complètement secrètes : que les politiciens de tous les partis, qui au Bundestag, dans les parlements des Länder et d’autres organes se présentent pour la plupart comme des « opposants » politiques et représentent pour la plupart des opinions opposées devant tout le monde, s’assoient souvent comme des frères d’esprit sous un toit en boîte, autour d’un vision du monde et idéologie communes pour se livrer – le maçonnique. Cette connaissance ne doit pas pénétrer à l’extérieur.

Il semble également que les francs-maçons soient responsables de la tentative d’assassinat à Sarajevo contre l’héritier du trône Franz Ferdinand.

Dans quelle mesure la franc-maçonnerie a-t-elle façonné le monde et le fait-elle encore aujourd’hui ?


Grandt :La franc-maçonnerie et les francs-maçons individuels ont façonné le monde depuis la fondation de la société secrète. Par exemple, ils ont joué un rôle clé dans les révolutions américaine et française, qui ont complètement changé la face du Nouveau et de l’Ancien Monde. Les principaux révolutionnaires appartenaient aux loges maçonniques, dans lesquelles de tels renversements – par exemple d’une monarchie à une république – se sont propagés. Il semble également que les francs-maçons soient responsables de la tentative d’assassinat le 28 juin 1914 à Sarajevo contre l’héritier du trône autrichien l’archiduc François-Ferdinand. Dans mon livre « Murder Plot Sarajevo – The Cover-Up of the Century », je le démontre méticuleusement et parfois à l’aide de témoignages et de documents historiques, mais je mets également en lumière le contexte. Comme on le sait, cette attaque a conduit à la Première Guerre mondiale. On a tendance à oublier que l’Allemagne avait déjà un « chancelier franc-maçon », à savoir Gustav Stresemann, qui a repris ce bureau dans la République de Weimar en 1923. Stresemann réussit, entre autres, à ce que le Reich allemand soit réadmis à la Société des Nations le 8 septembre 1926.

Le SWR a nommé cinq millions de membres de la franc-maçonnerie dans le monde pour 2012. Compte tenu de ce nombre de membres, est-il encore possible pour tout le monde de poursuivre un même objectif ou y a-t-il aussi des groupes ou des directions concurrents, voire opposés dans la franc-maçonnerie ?
Grandt :En fait, mes informateurs, qui sont eux-mêmes dans des cartons, rapportent régulièrement de telles « guerres de tranchées ». Sans oublier qu’il existe aussi des divisions désagréables, comme les nombreux ordres et loges occultes-magiques, dans lesquels il y a parfois de la magie sexuelle, des meurtres rituels et des abus d’enfants, qui sont structurés selon les degrés maçonniques. La franc-maçonnerie dite « régulière » le sait bien sûr, c’est pourquoi ces loges sont appelées « loges d’angle » ou « loges irrégulières ». Néanmoins, il existe toujours des croisements vérifiables et même des doubles appartenances entre ces sociétés secrètes. Certains s’appellent eux-mêmes « Loges maçonniques occultes ».

Il y a des scissions désagréables, dans lesquelles il y a parfois des meurtres rituels qui sont structurés selon les degrés maçonniques.

Comment évaluez-vous l’influence des francs-maçons sur la politique en Allemagne et en Autriche ?


Grandt :En Allemagne, le travail de relations publiques maçonniques est traité complètement différemment qu’en Autriche, par exemple. A savoir pas public. Peu pénètre en dehors des cercles et des partis politiques. Encore moins sont ouvertement engagés dans l’Union des francs-maçons. L’un d’eux était l’ancien ministre fédéral de la Justice Thomas Dehler (FDP), qui a négocié la première conversation entre les francs-maçons et le chancelier fédéral de l’époque Konrad Adenauer (CDU) dans l’intérêt de ses frères. En Autriche, c’est complètement différent. L’ancien Grand Maître de la Grande Loge d’Autriche, Michael Kraus, a avoué que le réseau maçonnique dans la république alpine était « extraordinairement fort » et avait « une certaine influence politique ». Les francs-maçons devraient également faire leurs preuves dans la vie à travers « la pensée et l’action politiques. «De nombreux hommes politiques de haut rang en Autriche ont trouvé et figurent sur la liste des francs-maçons anciens et actifs. Surtout du SPÖ. Le frère de la loge « verte » le plus en vue est probablement le président fédéral Alexander Van der Bellen, qui a admis avoir été accepté dans la « seule loge d’Innsbruck à l’époque » au milieu des années 1970 et avoir été « actif pendant environ un an », ce qui aurait signifie au Pour avoir assisté aux réunions. Après cela, en tant que membre purement passif, il aurait payé la cotisation pendant une dizaine d’années et serait finalement parti à sa demande explicite. Habituellement, cependant, l’alliance avec les francs-maçons est à vie et non « à temps partiel ». En conséquence, l’influence de la franc-maçonnerie sur l’Autriche est assez grande. En Allemagne, il ne peut être supposé

Il existe des loges européennes qui tissent des liens entre les gouvernements nationaux au plus haut niveau.

Et quelle influence les francs-maçons ou la franc-maçonnerie ont-ils sur les développements actuels tels que le projet de « grande réinitialisation » ?
Grandt : Comme on sait relativement peu ou pas du tout d’une éventuelle appartenance à la loge des responsables et conducteurs de la Grande Réinitialisation, je ne veux pas spéculer à ce sujet. Ce ne devrait être un secret pour personne que les objectifs du « Grand Dérangement » sont en ligne avec ceux de la Franc-Maçonnerie.


Vous avez écrit le « Livre noir de la franc-maçonnerie ». Le mot « Livre noir » suggère que vous êtes très critique envers la franc-maçonnerie. Quels sont donc les plus grands dangers posés par les Frères de la Loge ?
Grandt : À quel point la politique franc-maçonnique peut être dangereuse est clairement démontrée : dans les années 1970 et 1980 en Italie, le scandale entourant la loge Propaganda-Due (P2) sous l’ancien fasciste Ligio Gelli, dans le voisinage duquel il y a eu d’innombrables attaques terroristes et assassinats est survenu comment loin « la franc-maçonnerie politique » peut aller. Des centaines de personnes de haut rang étaient membres de la loge P2, qui avait pratiquement sapé l’État italien.


Une liste (d’autres ont été détruites) avec près de 1 000 noms comprenait 44 parlementaires, trois ministres, cinq secrétaires d’État, de nombreux hauts responsables et responsables du parti, des dizaines de généraux et autres hauts responsables militaires. Il en va de même pour les chefs des services secrets et de la police financière, plusieurs diplomates, juges et procureurs, des journalistes influents, des éditeurs et divers entrepreneurs, dont Silvio Berlusconi, devenu par la suite Premier ministre du pays à quatre reprises. A cette époque, la commission d’enquête parlementaire parlait d’une « organisation généralisée » qui fonctionnait comme un « État dans l’État » et « infiltrait les centres de décision civils et militaires de manière calculatrice et massive » dans le but de « porter atteinte à la démocratie ». de l’Intérieur ».


Par ailleurs, les francs-maçons sont également très actifs dans l’Union européenne. Le journaliste britannique Brian Freemantle a traité le réseau des francs-maçons dans la politique européenne dès le milieu des années 1990. Il a déclaré : « Le crime organisé reçoit une aide supplémentaire des branches des loges maçonniques européennes. Ces loges se trahissent avec le mot ‘Orient’ dans leurs noms respectifs… Je ne fais pas cette accusation à la légère ou sans preuves suffisantes. Il est basé sur des conversations avec des responsables concernés de la loge britannique, avec des députés européens et des hommes menacés d’assassinat qui ont eu le courage de se distancer publiquement de leurs liens avec ces loges… est la franc-maçonnerie politiquement orientée et sécurise ainsi l’influence,
Et ce n’est pas petit. Il existe des loges européennes qui tissent des liens entre les gouvernements nationaux au plus haut niveau, manipulent les décisions politiques et abusent criminellement des principes démocratiques auxquels l’Union européenne est contractuellement engagée. Certains députés européens se plaignent que l’influence politique des francs-maçons a désormais atteint tous les niveaux de l’Union européenne. »

Les francs-maçons sont également connus pour utiliser des symboles spéciaux et effectuer des rituels. S’agit-il d’éléments pseudo-religieux destinés à légitimer une sorte d’« appel à quelque chose de plus élevé » ?
Grandt : Le symbolisme maçonnique, y compris les rituels, sert à soutenir le processus de connaissance de soi et de connaissance générale de chaque frère de loge. Aussi afin de mieux ancrer les leçons de la fraternité dans l’esprit et – même si cela est officiellement démenti – faire connaître des messages cryptés ou des intentions cachées à « ceux qui savent » et aux « frères ».
Et bien sûr, comme pour toute activité rituelle et symbolique, afin de lier le membre au plus près du groupe, en l’occurrence de la loge, dans la perspective d’objectifs élevés. La franc-maçonnerie ne diffère pas des autres groupes idéologiques et sectes.

Du cercle ou du centre : savez-vous ce que l’on raconte ?

A la lecture du petit livre des Contes des sages mathématiciens et astucieux, de Jean-Yves Vincent, Édition Seuil, il parait que l’affaire du cercle et du centre reste toujours d’actualité chez les mathématiciens comme chez les philosophes….

« Il était une fois deux sages mathématiciens qui voulaient savoir quel était celui des deux qui avait l’esprit le plus vif et le raisonnement le plus affûté. Pour trancher leur différend, ils avaient choisi comme témoins les plus émérites savants, venus de lointains pays, et ils s’étaient retrouvés, le lendemain à l’aube, pour un duel sur la verte prairie d’un tableau d’écolier.

Le premier mathématicien, mû par une subite inspiration, avait tracé de la pointe de la craie sur le tableau un cercle parfait, sur un chef-d’œuvre de circonvolution, réalisé d’une envolée de bras, un rond, “rond” ! Rond comme une lune pleine, comme un regard étonné, rond comme le monde ! Un mouvement circulaire parfait au caractère d’infini que les philosophes grecs n’auraient pas renié !

Les savants s’étaient aussitôt approchés pour observer la quintessence, lorsque l’autre mathématicien, les écartant de taille et d’estoc, avait piqué brusquement l’exact centre du cercle ! Comme cela, sans réfléchir, sans calculer, il avait désigné ainsi le point unique situé à égale distance de tous les autres points ! Le centre du monde, Dieu peut-être, brusquement marqué d’une touche de craie blanche. Les savants s’interrogeaient. L’affaire était délicate, depuis toujours le cercle avait intrigué !

  • Le cercle est le père de toutes les formes qu’il entoure de sa rondeur, dit l’un.
  • Pas de cercle sans centre, mais à quoi bon un centre s’il ne s’accomplit pas en tant que cercle, ajouta un troisième.

Les savants hésitaient : des deux mathématiciens lequel avait le plus de mérite ? Le premier qui avait tracé la noble figure, avec pour seule aide l’inspiration de la main, ou le second qui avait su désigner le “point” parmi les milliards d’autres ?

  • Le premier est bien plus fort, conclut la moitié des savants, car pour tracer le cercle, il faut rester toujours à la même distance du milieu jusqu’à ce que la fin touche à son commencement ! Il faut donc avoir en tête, et le milieu et le rond dans son ensemble ! Le second n’a désigné qu’un seul point alors que l’autre en a trouvé une infinité !
  • Oui, mais quel point ! – avait à son tour conclu l’autre moitié des savants. Celui qui trace le rond n’a, après tout, qu’à se laisser guider pas son geste. En revanche, celui qui cherche le centre doit à la fois prêter attention à ce qui l’entoure et choisir le point parmi la multitude. »

Alors du cercle ou du centre ? Que conclure ? Existe-t-il une suprématie de l’un sur l’autre ?

Au sein des nombreux congrès de mathématiciens, devant une pinte de bière bien fraiche, après les débats du jour, et de bonne humeur autour d’une table ronde, la question fait retour et rien n’est encore conclu !

Tout comme dans les cercles où « la mathématique c’est la philosophie », cette irritante problématique s’évoque régulièrement pour éviter sans doute le vide de la pensée et bien la prendre en tenaille ? De fait, déjà au moins vingt-quatre philosophes dans leur Livre mystérieux et du même nom « Le Livre des XXIV » ont dévoilé : « Dieu est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part », et c’est d’une telle puissance que notre imagination peut s’y perdre ! D’autres, fins observateurs de la vie des choses humaines, s’interrogent de manière nouvelle et se demandent si la société n’aurait pas remplacé Dieu par l’homme qui fait graviter l’humanité autour de soi…

Assurément, cercle et centre s’en vont ensemble. Immuablement, ils provoquent toujours autant de tirades « maboulesques » !

ITALIE : Période de Solstice

De notre confrère italien expartibus.it – Par Rosmunda Cristiano

Quand la nuit la plus longue épouse le jour plus court, il est temps de semer les graines de futurs projets…
Méditation pour le solstice du nouvel an

Le Soleil s’arrête dans le ciel, la Nature s’arrête sur la Terre. L’eau se transforme en glace et le feu est nécessaire pour se réchauffer et s’abriter des températures glaciales de l’hiver. La danse des éléments est prête, une fois de plus, à donner vie à la merveille de son cycle : voici le solstice d’hiver !

Cela se produit lorsque le soleil est au point le plus bas de l’écliptique, après que les températures baissent à nouveau, mais que les jours recommencent à rallonger.

C’est l’un des moments qui passent de l’année, celui où tout semble s’arrêter : la nature comme temps. Jusque-là, les heures d’ensoleillement ont progressivement diminué pour laisser place à l’obscurité de la nuit, laissant désormais progressivement place à la lumière qui commence lentement à s’imposer sur les brumes hivernales.

Comme toutes les périodes de transition, c’est un intervalle plein de valeurs symboliques et magiques, dominé par des mythes et des symboles d’un passé très lointain.

Le mot latin solstitium dérive de Sol et du verbe sistere et signifie « arrêt du Soleil » : l’étoile, en effet, ralentit sa descente sur l’équateur céleste et commence à monter vers le nord, où elle s’arrêtera à nouveau pour le solstice d’été.

Quelle place occupe le solstice d’hiver dans le calendrier de nos travaux ?

Cet anniversaire est la célébration par excellence de la « naissance ». Déjà dans l’ancienne Perse cette date marquait la venue au monde de Mithra et dans l’ancienne Egypte, d’Horus, fils d’Isis et d’Osiris ; à Rome, ce jour était indiqué comme Natalis Solis Invicti , puis la fête passa au christianisme comme la Naissance de Jésus, fixée au 25 décembre par le pape Jules Ier, en 390.

Janus, Ianus Bifrons , l’ancien dieu italique, père de tous les dieux, fut placé pour garder les solstices qui étaient considérés comme des « portes ». Dès le solstice d’hiver sortent les dieux, dès le solstice d’été les hommes entrent. Janus est en effet le dieu des seuils ; La légende raconte que Saturne l’a rejoint, un dieu bon et sage, qui a enseigné l’agriculture à l’homme et a ainsi commencé l’âge d’or.

Les philosophes appellent le royaume saturnien le stade de négligence des Saturnales ; l’agriculture est une allégorie pour comprendre l’art : « quand on veut donner naissance à un arbre, on sème d’abord la graine parfaite ».

Le Royaume de Saturne est donc le début de l’Oeuvre, qui se produit lorsque la négligence apparaît, c’est-à-dire au solstice d’hiver.

Il représente Janus, ou la porte et la clé, en fait cette dernière, avec le sceptre du pouvoir, est l’un des symboles du dieu à deux faces.

A cette date, il fut remplacé par les deux John placés pour garder les Portes du Solstice ; Saint Jean-Baptiste, le 24 juin, et Saint Jean l’Evangéliste, le 27 décembre. Dans de nombreux tableaux, dans la main de l’évangéliste la coupe, le réceptacle, avec la célèbre Serpe dell’Arte apparaît et, en été, la tête têtue du Baptiste marque le début du déclin.

Dans le « Turba philosophorum » , l’un des plus anciens textes hermétiques-alchimiques occidentaux, Acsufobo écrit :

Si vous avez bien fait, vous verrez une noirceur dans la partie supérieure, qui est un signe de putréfaction, qui dure quarante, quarante-deux jours.

Sachez que la fin n’est rien d’autre que le commencement et que la mort est la cause de la vie et que le commencement est la cause de la fin.

Il faut travailler jusqu’à voir noir, voir blanc, voir rouge, c’est tout, puisque cette mort est la vie éternelle après la mort glorieuse et parfaite.

Aujourd’hui des termes tels que putréfaction , noirceur, mort glorieuse, peuvent sembler macabres, mais ils dérivent de l’observation, une fois sous les yeux de tous, qu’une graine enfouie dans la terre, avant de donner naissance à une nouvelle plante, doit se décomposer. La mort apparente de la semence est l’étape nécessaire à la naissance de la nouvelle vie.

Le stade de noirceur est le solstice d’hiver, quarante ou quarante-deux jours sont la distance entre la date du solstice et la Chandeleur, qui a lieu le 2 février.

La franc-maçonnerie célèbre le solstice d’hiver et attache à cet anniversaire la première place parmi les solennités de l’année. Il est le symbole de la renaissance spirituelle obtenue à travers la célébration des rites initiatiques, la défaite du mal et des ténèbres par le Soleil, le triomphe de la Lumière, le tournant vers l’Aube et témoigne de la puissance créatrice et vivifiante du Verbe.

Saint Jean l’Evangéliste lui-même, appelé le Précurseur, dit :

Le commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu et la Parole était Dieu. et sans lui aucune des choses faites n’a été faite.

Un ancien rituel rapporte :

Le Soleil, symbole visible de l’Esprit, s’est retiré dans les grottes du nord. Les jours raccourcissent et les nuits rallongent. La douleur est dans nos âmes, car le Soleil est chaleur, il est vie et lumière. Nous, frères, voyons dans cette mort rituelle du Seigneur une phase de la lutte éternelle du Bien contre le Mal. Mais notre douleur est tempérée par la certitude que le Soleil, après sa descente annuelle aux Enfers, retournera au Zénith de notre conscience.

Ainsi l’esprit de l’homme, après avoir dormi dans le mystérieux tombeau de Saturne, veillé par les noirs corbeaux de la mort, renaîtra dans un vol de colombes blanches.

C’est précisément dans cette phase de solitude et de tristesse que l’homme doit réaffirmer son indépendance. Frères, donc, soyez vigilants ! Ainsi, en opposant votre état de veille au silence fécond de la Nature, vous arriverez à vous connaître.

L’art est incapable de créer les dispositions primaires, mais ne peut perfectionner que ce que la nature a créé qui est perfectible.

Avant cette transformation, il y a matière :

Toutes choses ont un principe et une nature qui, par elle-même, sans le secours d’autrui, sait se multiplier à l’infini, sans quoi tout serait perdu et corrompu.
Aristéo

Telles sont les prémisses, mais la Pierre à laquelle aspirent les philosophes doit avoir en elle-même des éléments divins qui ne peuvent descendre de l’individu ; en fait, il ne peut produire que l’Homme, comme l’exige la loi de la nature.

Notre pierre philosophale, en revanche, est un croisement entre les corps parfaits et imparfaits. Ce qui est parfait ne peut pas être altéré, mais seulement détruit, tandis que ce qui est imparfait se prête bien à être changé, de sorte que ce qui est destruction pour l’un est génération pour l’autre.

BRESIL : Noël et la loi de l’amour fraternel (2)

De notre confrère brésilien folhadolitoral.com.br

Par l’étude et la réflexion, le franc-maçon sera capable de comprendre des significations symboliques profondes dans chaque aspect de cette date festive.

En ce jour si spécial et significatif pour l’Humanité, la Loge Maçonnique Perseverança souhaite à ses lecteurs, et particulièrement à l’équipe de Folha do Litoral, UN JOYEUX ET BÉNI NOEL !!! Et il le fait, en réitérant que Noël représente la naissance d’une nouvelle ère, d’une lumière intense qui doit briller dans chaque jour de notre vie et dans chaque acte de notre existence.

Par l’étude et la réflexion, le franc-maçon sera capable de comprendre des significations symboliques profondes dans chaque aspect de cette date festive, et trouver, par exemple, des facteurs positifs même dans l’exploitation économique moderne de la date. Le don est, pour le franc-maçon, une sorte d’exercice de la loi mystique du retour. « (…) C’est une façon d’exprimer sa gratitude ou le plaisir de faire plaisir. Lao-Tseu, qui a vécu en Chine 400 ans avant JC, a dit que : « La gentillesse crée la plénitude, la gentillesse dans les créations crée l’amour ». (Miranda) Maintenant, parmi d’autres explications plausibles, la vieille habitude de donner des cadeaux – la base de l’importance actuelle de cette date pour le commerce – peut nous rappeler que les « Rei Magos » ont présenté le Christ nouveau-né (sujet pour la semaine prochaine), comment beaucoup la naissance de Jésus et la « leçon immortelle de son Évangile d’amour et de rédemption » étaient, en elles-mêmes,

La date elle-même, qui dans la plupart des régions du monde n’a commencé à marquer le Noël chrétien qu’au 5ème siècle, a une belle signification symbolique. À l’époque, avec son Église centrée à Rome, le christianisme « faisait encore concurrence » aux croyances polythéistes païennes, avec le culte du dieu solaire Mithra, représentation mythologique de la lumière, du bien et du monde spirituel distincte de la matière. Dans une grande partie du territoire romain, le 25 décembre était le jour de fête traditionnel et très populaire du solstice d’hiver (dans cet hémisphère), lorsque « la plus longue nuit de l’année » s’est terminée par la défaite de Mithra, avec la naissance du Soleil invaincu (ou invincible), natalis invicti Solis. Aux chrétiens de l’époque, il semblait plus que suffisant de marquer la naissance de Jésus – la Lumière du monde, le jour même où les gens célébraient la prédominance de l’éclat du Soleil sur les ténèbres. 

Il est rapporté qu’avant l’avènement du Christ, le «[…] monde était un immense troupeau égaré. Chaque peuple a fait de la religion une nouvelle source de vanité, constatant que de nombreux cultes religieux en Orient se dirigeaient vers le terrain franc de la dissolution et de l’immoralité. Dans ce contexte, « […] le Christ est venu apporter au monde les fondements éternels de la vérité et de l’amour. (…) Jésus, avec son exemple divin, livrerait le code de la fraternité et de l’amour à tous les cœurs » (Chico Xavier).

Ce code était appelé « évangile », terme dérivé du grec « euangelion », (« je », bien ; « angelion », message), littéralement « bonne nouvelle », ou « bonne nouvelle ». La bonne nouvelle du Christ est le renouvellement de l’alliance de Dieu avec l’humanité, avec le commandement de l’amour : aimer Dieu de cœur, d’âme et d’esprit, et aimer « son prochain comme soi-même ».

Après avoir été initié franc-maçon, l’homme laisse symboliquement derrière lui l’obscurité des vices et des erreurs, et reçoit la lumière qui le fait naître à l’idéal maçonnique de rendre l’humanité heureuse. « Personne n’entre dans la franc-maçonnerie sans s’engager à LOVE THE NEXT. (…) Par conséquent, la fraternité, pour le franc-maçon, n’est pas quelque chose qu’il désire simplement. C’est quelque chose qu’il vit avant tout pour pratiquer. (De face) 

Nous espérons toujours « qu’à chaque Noël notre lumière intérieure deviendra plus intense, plus représentative de l’amour, de la fraternité et de la compassion. (…) Que chacun de nous fasse le plus beau des cadeaux : l’installation ou l’agrandissement d’une véritable source de lumière au sein de notre Temple Intérieur ! (Miranda)

Basé sur des extraits de livres de PC Miranda (« L’art réel – les chemins de la franc-maçonnerie ») et AC Ferreira (« La fonction du franc-maçon dans la société ») ; citant des travaux du FC Xavier, dans un article de MAde Moura (febnet.org.br) ; wikipédia et bibliaonline.com.br.

Responsable : Perseverance Store ( store159@fgsia.com ) – Jorn. Fernando Gerlach (DRT-PR n°2327)

ALLEMAGNE : Ce que cache la télé – « Le secret de la saga BR »

De notre confrère bild.de – Par Hannes Kohlmaier

C’est une déclaration d’amour à l’ancienne ville impériale libre et un voyage à l’époque où elle est devenue une partie de la Bavière.

Le documentaire en trois parties « Nürnberg Saga » commence la veille de Noël sur Internet (BR-Mediathek) et le 29 décembre à la télévision.

L’un des personnages principaux est l’homme d’affaires Paul Wolfgang Merkel (1756-1820), le premier membre du parlement du Land de Nuremberg.

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La loge à Fürth : la loge maçonnique de Merkel « Aux trois flèches » se réunit encore aujourd’huiPhoto : Hannes Kohlmaier

Aujourd’hui encore, il est une figure culte parmi les francs-maçons. Ce que beaucoup ne savent pas : Merkel a été co-fondatrice de la loge « Aux trois flèches » en 1789, l’une des plus anciennes de Bavière.

Dans le film, Merkel est jouée par l’inspecteur Franken-Tatort Andreas Schadt (43). « Les nombreux journaux intimes et lettres que Merkel a laissés m’ont aidé à me préparer pour le rôle », a déclaré Schadt à BILD. « Merkel était un citoyen de Nuremberg avec corps et âme, mais aussi un homme d’affaires qui devait veiller à ce que son entreprise fonctionne. »

La personne historique Merkel a fait l’objet de recherches approfondies. Mais un point important de sa vie est totalement absent du documentaire : sa vie de franc-maçon.

Même Wikipédia est mieux informé !

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Franc-maçon et historien Manuel Pauli (33 ans) : « Merkel était un frère de loge exceptionnel »Photo : Hannes Kohlmaier

La loge « Aux trois flèches » existe toujours et se réunit désormais dans la loge Fürth (informations : www.dreipfeile.de). Les francs-maçons de Nuremberg attendaient avec impatience l’événement télévisé. En conséquence, la déception que son frère et fondateur n’est dépeint que comme un homme politique et un homme d’affaires.

Manuel Pauli (33 ans) a un doctorat en histoire et est le frère des « Trois Flèches ». Sa spécialité est la franc-maçonnerie des XIXe et XXe siècles.

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Représentation historique d’un rituel maçonnique ; la loge des trois flèches n’utilise plus d’armesPhoto : Gianni Dagli Orti / Shutterstock

Il dit : « La loge a joué un rôle central dans la vie de Merkel. Il y trouve la convivialité, l’échange avec les autres, un lieu où il peut élargir ses horizons et former son regard cosmopolite. C’est dommage que cette partie de sa vie qui forme le personnage ne joue pas un rôle dans le film. »

La franc-maçonnerie était probablement une tradition dans la famille Merkel : selon Pauli, au moins un de ses fils était également membre des Frères des Trois Flèches.

Un porte-parole du BR pour BILD : « L’histoire de la loge de Merkel n’est pas totalement inintéressante, mais malheureusement nous avons dû nous en passer au vu d’autres événements. »

UK : Les francs-maçons invitent les louveteaux à découvrir Lodge of Good Intention

De notre confrère anglais devonlive.com

Les louveteaux ont découvert ce qu’implique la franc-maçonnerie.

Les membres de la Loge de la Bonne Intention ont accueilli deux groupes du 1er groupe de louveteaux du nord du Devon, ainsi que leurs chefs de louveteaux et leurs parents lors d’une visite à la loge du franc-maçon à Trafalgar Lawn, Barnstaple en novembre.

Alan Cockman et Rob Palmer ont accueilli les groupes et leur ont donné une brève description de la façon dont la franc-maçonnerie a commencé et comment elle s’est développée au fil des ans.

Les louveteaux ont été surpris d’apprendre que la chaise maintenant utilisée par le vénérable maître était, à la fin des années 1790, utilisée par le prince de Galles de l’époque qui est finalement devenu le roi George 4e et l’une des jeunes filles a même pu célébrer son anniversaire en ayant « Joyeux anniversaire à toi » lui chanta alors qu’elle était assise dans la chaise du Maître.

Les louveteaux ont ensuite été invités à examiner les insignes, les artefacts, les outils et les bannières qui font partie des cérémonies, puis à s’asseoir dans diverses chaises d’officiers autour de la loge.

« Ils ont également été surpris de découvrir qu’une grande partie du mobilier provenait des années 1790 et que le bâtiment datait de la bataille de Trafalgar.

Alan et Rob ont déclaré avoir été impressionnés par les questions qu’ils ont posées et par l’intérêt qu’ils ont manifesté tout au long de la soirée.

…Signes et attouchements en franc-maçonnerie

Tu m’interroges, et tu t’interroges peut-être aussi, sur ce que nous garderons de notre vie ? Et tu me cites ce vers d’Aragon qui finit son poème « Que la vie en vaut la peine », du recueil Les yeux et la mémoire, que Jean d’Ormesson reprend, précisément, dans ses mémoires : « Je dirai malgré tout que cette vie fut belle ». Pas d’amertume de ma part à ce sujet. Je garde de mon passé un souvenir apaisé, mais sans doute incomplet – seules les assiettes ébréchées marquent la mémoire – d’un chemin dont je me demande parfois si c’est moi qui l’ai tracé.

J’en ai pris conscience à l’hôpital Saint-Joseph, lors de la bonne quarantaine de séjours que j’y ai effectués, chacun d’une semaine, où l’on me transvasait des produits qui me bousillaient les veines sans améliorer mon état. Il m’y est arrivé une bien étrange aventure.

Je redoutais les perfusions. Non pas en soi, car une fois en place et, quel que soit le produit injecté, je supportais tout ça assez bien, mais ce qui m’inquiétait à chaque fois, c’était la pose du cathéter. Mes veines ne sont pas apparentes et restent cachées malgré le garrot. Pour les détecter et réussir à me placer l’aiguille du premier coup, il faut une infirmière expérimentée et habile. Les bonnes piqueuses, comme elles se nomment, sont rares, et plus d’une qui se flattait d’être une championne a abandonné après trois charcutages et baissait ensuite les yeux en me croisant dans le couloir. Il y en a même une qui m’a piqué sur le dos de la main, éclatement de la veine en prime !

Bref, ce jeudi 22 septembre 2016, à six heures et quart du matin, l’infirmière de nuit entre dans ma chambre. Je l’avais vue la veille au soir et l’avais fait parler un peu. À son air, pas très grande et rondelette, je lui donnais une bonne quarantaine. Confiance a priori. Mais elle m’a raconté, avec une fierté légitime, qu’elle avait longtemps été aide-soignante et qu’avec beaucoup d’efforts, car elle avait des enfants, elle avait obtenu le diplôme d’infirmière il y a trois ans. J’en ai conclu, in petto, qu’en dépit de son âge c’était une semi-débutante et je craignais le pire. J’ai remâché ma crainte la nuit durant.

La voilà donc qui débarque dans ma chambre au petit matin, après une nuit blanche où les insomniaques passent leur temps à appeler l’infirmière de nuit pour vaincre leurs terreurs nocturnes. C’était, pour moi, le moment redouté de la pose du cathéter assorti du traditionnel remplissage des tubes d’analyses. Poussant son matériel, un peu pâlichotte et les yeux cernés, elle monopolise la table à roulettes où me serait servi plus tard le petit déjeuner, approche la perche à perfusion et se dispose à piquer et moi à la guider autant que je pourrais (?). Elle décide qu’il vaut mieux ne pas piquer deux fois et que le cathéter lui permettra de remplir les tubes. Jusqu’ici tout va bien, pensé-je.

Elle était sur le point d’attaquer, avait déjà imbibé sa compresse de teinture d’iode pour désinfecter la partie du bras choisi comme victime, lorsque la porte coupe-feu battante, fermée pendant la nuit, près de laquelle était située ma chambre, a fait du bruit et qu’est entrée directement, comme chez elle, une grande femme maigre, la cinquantaine sonnée, qui semblait d’origine antillaise, mais qui s’exprimait sans le moindre accent des îles. Avec une autorité qui ne se discute pas, elle a écarté sa collègue qui me faisait, dans son dos, des mimiques de surprise assorties de gestes de résignation. « Allez me chercher un rasoir », lui a-t-elle intimé. L’autre s’est exécutée et a ramené un Gillette jetable pour un rasage du bras facilitant, en fin de cure, l’enlèvement du grand pansement adhésif.

Comme je lui disais : « Je ne vous connaissais pas, vous », elle m’a rétorqué : « Je viens d’un autre service ». J’aurais dû m’étonner et lui demander comment elle était arrivée dans celui-ci, mais à ces heures matinales, les questions sont encore endormies. Et puis, il faut dire que son autorité m’en imposait à moi aussi. Tout à coup, elle a demandé à sa collègue qui la regardait faire, à l’écart, « il n’y a pas des cathéters bleus ? » (ils sont plus fins que le rose qui était préparé) ; « non, il n’y avait que ça dans la réserve ». Sans rétorquer, avec calme, elle a serré le garrot, tâté les veines et soudain, sans me dire « j’y vais », comme les autres infirmières, elle a piqué, rempli les tubes, placé le cathéter, l’a entouré de l’enveloppe plastique qui le maintient, sans inscrire dessus, curieusement, la date de pose, et… elle a disparu.

Restée seule, « mon » infirmière de nuit, essayait de se réhabiliter à mes yeux :

  •  Vous savez, je viens de piquer deux patients très difficiles et j’y suis parvenue du premier coup.
  •  Je n’en doute pas. Et… vous connaissiez cette collègue ?
  • Non.

J’ai interrogé mon infirmière de jour, une ancienne dans le service, elle ne voyait pas de qui il pouvait bien s’agir, je suis alors allé « enquêter » dans le service de cardiologie, à l’étage inférieur, mais toujours rien.

Je ne l’ai plus jamais revue.

Pourquoi est-elle apparue et, surtout, à ce moment précis ? Je ne sais. Il y a d’étranges signes dans la vie. Le plus difficile, semble être de les détecter. Ils traversent notre existence, on les rencontre puis on les oublie, comme on oublie le visage des passants que l’on croise. Tout se noie sous le quotidien. On néglige probablement une multitude de signes qui constituent autant d’appels que nous ignorons par inattention. Toutefois, quand on les détecte, on se rend compte que les difficultés commencent avec leur interprétation. Ce qui s’était produit ne pouvait pas être fortuit. Mais qui avait pu bien dire à cette infirmière de venir, directement et à cette heure ? Je ne connaissais personne dans cet hôpital. Était-ce mon ange gardien ? L’un ou l’une de mes morts ? La Vierge de la chapelle de l’hôpital, qui est celle de la Rue du Bac, Vierge de l’accueil aux bras tendus vers nous au lieu d’avoir les mains jointes ou tournées vers le ciel ? À moins que ce ne soit Jésus, celui de la Nativité, même s’il doit avoir bien d’autres sujets à traiter que moi, qui ne suis guère qu’un sujet de mécontentement ? Bref, je suis perplexe. Parfois je me dis que c’est un petit rien, plus souvent que c’est un rien immense et bien étrange.

En ce jour de mémoire, voilà l’histoire telle que je l’ai vécue. Mots, signes et attouchements. On a les mots, bien sûr, encore qu’il ne soit pas si facile de trouver le bon, celui qui révèle. On a aussi les attouchements qui se limitent trop souvent à la main donnée aussitôt reprise. Quant aux signes, sommes-nous assez éveillés pour les voir ? Parfois je me demande si chacun de nous n’est pas une légende, une légende qu’il ne sait pas déchiffrer…

Chevalerie et Initiation au XXIe siècle

Enjeux et mécanismes de l’ésotérisme en action

Michel Gortchakoff – Aureus éditions, 2021, 120 pages, 20 €

Présentation de l’éditeur :

La chevalerie est un principe et un système de valeurs qui, au XXIe siècle, est encore bien vivace pour peu que l’on ne dissolve pas ses traditions dans les diktats d’une modernité quantitative et abêtissante. On peut et on doit vivre sa chevalerie, que l’on soit homme ou femme, en immersion totale dans son époque sans renier les fondements de notre civilisation, pourvu que nous sachions discerner dans la démarche ce qui ressort de la permanence, et même de l’éternité du langage ésotérique, mode d’expression par excellence de l’initiation véritable.

Biographie de l’auteur :

Michel Gortchakoff, longtemps haut responsable d’organisations initiatiques et traditionnelles, nous donne des clefs de compréhension pour relier le sentiment religieux à la compréhension moderne de notre cerveau, et appréhender par-là les trois phases primordiales de l’Initiation : royauté, prêtrise et prophétisme, qui demeurent depuis la Bible des archétypes absolus.

[NDLR : Une belle nouveauté pour les fêtes de fin d’année 2021 que nous offre les éditions Aureus avec Chevalerie et Initiation au XXIe siècle de Michel Gortchakoff. Il faut dire que  Son Altesse Michel C. Nicolaïevitch Gortchakoff, ancien Grand Prieur de l’Ordre de Saint-Jean (branche du tsar Paul 1er), Chevalier dans l’Ordre de Saint-Lazare de Jérusalem, ancien dignitaire de la Grande Loge Nationale Française et du Grand Chapitre de la Sainte Arche Royale de Jérusalem pour la France est issu de la famille princière Gortchakoff de la dynastie des Rurikides, qui régna sur la Rus’ de Kiev, ou Russie kiévienne, puis la Moscovie de 862 à 1598, en bien placé pour nous entretenir de chevalerie, de doctrine spirituelle, de symbolisme et d’ésotérisme ainsi que d’une méthode initiatique.

La table des matières aborde nombre de sujets. Jugez-en par vous-mêmes :

À l’ouest/L’oral et l’écrit/Orientation/Un Ordre traditionnel et initiatique/Chronologie biblique/ Histoire biblique/ « Œcuménisme » pour le Premier Temple de Jérusalem, ostracisme pour le Second/Quelques clés sur le fonctionnement de notre cerveau/ La Loi à gauche et la Foi à droite dans notre cerveau ?/Quelques symboles/Assiduité-morale- éthique/Les différentes voies de réalisation spirituelle/Union des Trois/L’éloignement du centre/Chevalerie initiatique et chevalerie maçonnique/ Pouvoir et contre initiation/Royauté et chevalerie/Prophétisme et chevalerie/Sacerdoce et chevalerie/Conclusion/Bibliographie

Dans son premier chapitre intitulé « À l’ouest », l’auteur fait le constat qu’en ce début de ce XXIe siècle l’être humain est toujours partagé entre son expression individuelle et son comportement de groupe. Il s’interroge aussi sur notre civilisation occidentale qui pousse l’homme vers plus d’individualisme. En quelque sorte Michel Gortchakoff ne nous proposerait-il pas quelques instructions pour « l’honnête homme » de cette nouvelle ère ? Effectivement à l’heure des révolutions, tant génétique que numérique, quel serait l’idéal des Lumières que nous pourrions porter et ainsi permettre à l’homme de s’émanciper ?

Si la chevalerie et son code chevaleresque désignent à la fois le groupe social, constitué de chevaliers, et un ensemble de codes de conduite informels destinés à encadrer la vie chevaleresque idéale, qui trouve son apogée entre les XIIe et XVe siècles, ne seraient-ils pas encore un moyen de guider nos vies grâce à cette pédagogie spécifique aux guerriers, permettant peut-être au commun des mortels d’entrer dans une voie de perfection…

Nous ne manquerons pas de lire avec intérêt le chapitre consacré cet Ordre traditionnel et initiatique qu’est la chevalerie ainsi que la responsabilité du chef. D’ailleurs le Maçon ne doit-il pas donner l’exemple en toute circonstance ? L’auteur aborde aussi, pour notre plus grand profit et plaisir, quelques symboles liés à certaines traditions initiatiques ou à certains ordres de chevalerie tel que l’autel, le pentalpha, l’hexagramme, le symbolisme du 4, le Tau et la Croix ou encore de la bannière.

Un façon de donner des pistes à l’homme moderne pour agir en homme de bien, faisant sien Amour et service de Dieu.

Quant à Aureus éditions https://aureus-editions.fr/, cette maison nous offre des livres de ou avec Jean Solis, des livres d’alchimie ou d’hermétisme, des livres sur le christianisme et la Bible mais aussi sur la Gnose ou la Rose+Croix ou encore sur la Franc-Maçonnerie spirituelle et traditionnelle.]