Il y a 80 ans, le 27 janvier 1945, le camp d’Auschwitz-Birkenau était libéré. En cette journée de commémoration particulière, la Grande Loge de France souhaite rendre hommage à ces femmes, ces hommes et ces enfants, sœurs et frères en humanité, victimes de la Shoah.
Fidèle à ses valeurs humanistes et à ses engagements, la Grande Loge de France entend poursuivre ce devoir de mémoire comme elle le fait chaque année, à l’occasion d’une cérémonie publique et rappelle la nécessité d’enseigner aux générations actuelles et futures ces heures sombres de l’histoire pour qu’elles ne tombent jamais dans l’oubli.
Si les tombes de ces six millions d’âmes n’existent pas, la parole des rescapés, les images des camps de la mort et les traces historiques témoignent encore de la barbarie nazie, de son obscurantisme et de cette destruction de l’humanité. Ce souvenir est un appel à la vigilance, préservons-le, entretenons-le afin que ce drame du genre humain ne se reproduise plus.
En cette date d’un triste anniversaire, appelons à une Fraternité universelle où les hommes et les femmes quels que soient leurs religions, leurs cultures, leurs ethnies, leurs différences puissent vivre-ensemble, en paix. Portons haut cette espérance.
Thierry ZAVERONI, Grand Maître de la Grande Loge de France
me too ! me too ! et moi et moi et moi !
un tel communiqué était-il nécessaire ? Qui pourrait un instant douter que les FF et SS de toute obédience maçonnique puisse ne pas condamner etne pas être effaré de cette anomalie historique et dévoiement de l’esprit humain exceptionnel que cosnstitue la Shoah, en camp et pas balles ?
Dommage de produire un communiqué avec une telle autocensure.
Parler de la libération du camp d’Auschwitz sans mentionner une seule fois que ce sont les soviétiques qui l’ont fait est un signe de soumission à la doxa antirusse ambiante.
Comme cette cérémonie de commémoration des 80 ans à Paris où la France s’est déshonorée en n’invitant aucun représentant de la Russie.
Par contre, l’Ukraine et le banderiste Zelinski , les inventeurs des premiers pogroms et de la Shoah par balle, étaient présents.
Bel exemple de révisionnisme et de réécriture de l’histoire.
Tout à fait d’accord, cette intervention, bien trop réduite, mériterait d’être plus explicite.