“Je mets, l’une à côté DE L’AUTRE, LES NOTES QUI S’AIMENT”
Mozart
Mozart se cache, s’amuse et passe sa vie à composer et à jouer. C’est ainsi que nous l’a décrit Miloš Forman dans son grand film Amadeus, malgré des infidélités historiques.
Génial, imprévisible, comment se présenterait-t-il à nous aujourd’hui ? A ce jour, le monde entier a sous la main quelques dizaines d’enfants prodiges, voire plus, mais Mozart est inégalable…
Une grande question : est-ce que le fait que Wolfgang Amadeus Mozart ait rencontré la franc-maçonnerie a influencé son œuvre ? En tant que franc-maçon, il est difficile de dire le contraire. En dehors de ses œuvres purement maçonniques comme la Flute Enchantée, d’autres œuvres sont saupoudrées d’allusions et de rappels relevant de la franc-maçonnerie.
Chaque siècle a ses génies, Mozart au regard de nos connaissances actuelles, aimait rire, faire le pitre et a su utiliser ces qualités en les ajoutant à son génie de musicien. Le tout dans une vie tumultueuse et en défrayant souvent la chronique par ses comportements excessifs. Bref une vie de révolté ou la pratique de l’humour et l’usage du rire vous soulage de la misère du quotidien à assumer tel que l’a vécu Amadeus malgré des moments où l’argent ne manquait pas….
Mais nous n’y étions pas, alors continuons à nous détendre et à rire à travers la musique, ce ne sont pas les partitions qui manquent.
Les auteurs, compositeurs et interprètes nous comblent tous les jours et il y en a de géniaux !
On dit qu’au Paradis, ce sont les anges qui sont les musiciens . On dit aussi, nous vérifierons cela le plus tard possible, qu’ils ont deux répertoires : lorsqu’il sont en présence de Dieu, ils jouent du BACH ; mais lorsque Dieu est ailleurs, sur un de ses multiples chantiers de l’Univers, alors ils sont seuls entre eux et s’amusent en jouant du MOZART : du moins, c’est ce qu’on dit !!!
Grande famille que celle des musiciens!
Avec leur langage universel ils communiquent très vite et ils adorent jouer, s’amuser, faire le boeuf comme ils disent.
En tout cas au paradis ils sont aux anges. Merci, Jean Jacques pour votre sympathique et original commentaire mais aussi d’etre fidèle à notre journal. Un commentaire c’est un peu comme des applaudissements et je n’irai quand même pas jusqu’à dire que les applaudissements sont le salaire.
Vous avez donné le la, il faut maintenant se mettre au diapason.