jeu 10 octobre 2024 - 19:10

A la porte du temple (suite et fin)

Tiré de l’ouvrage : Au cœur de la Franc-maçonnerie « Huit récits contemporains » Éditions Numérilivre – Pour lire le numéro précédant

Dernière enquête. Rendez-vous dans une vieille librairie rue Soufflot à 19 heures. Porte à clochettes. Longues chevelure et blouse grises, lunettes demi-lune. C’est un vrai libraire au front ridé par l’âge et la réflexion, qui m’accueille et me pousse chaleureusement dans son petit bureau sombre, ceinturé de livres reliés. Petite taille, bon sourire, j’aime sa voix posée. Pas de questions du maître des lieux, j’ai droit à un thé chinois sous la lampe et à un cours magistral intimidant : mythes, légendes, symboles, un grand talent de conteur, ce monsieur. Je suis entré dans un autre monde, celui de la pensée analogique. Mon CV l’intéresse peu, mes paroles semblent prendre sens à travers mes auteurs et philosophes préférés, qu’il me demande. A ce petit jeu des métaphores, imprudent, je m’enhardis et j’ose citer Spinoza, dont j’ai lu quelques concepts dans un Que-sais-je ? Je n’aurais pas dû : je sors de chez cet érudit à dix heures et demie du soir, les joues en feu, affamé mais heureux d’avoir peut être rencontré un sage. Je m’en rends compte, je ne savais rien sur Spinoza !

C’est la première fois que Candy me reçoit dans son bureau. Toute de blanc vêtue. Teint hâlé, lunettes solaires remontées sur le front, cheveux noirs très courts, tunique et pantalon, collier et bracelet d’ambre, une belle silhouette, une belle femme. Dommage que passe dans ses yeux, tel un bouclier, cette lueur d’acier qui, par instants, rayonne et me transperce comme une épée, quand elle me fixe. Au sens littéral du terme, je pense… qu’elle ne peut pas me voir ! Son truc, c’est de laisser son visiteur debout pendant qu’elle lui parle, les jambes croisées. Je ne me laisse pas prendre longtemps à ce jeu humiliant et je m’assois sur la chaise devant son bureau, sans sa permission. Son accent anglais m’amuse, comme ses petits « écarts » de français. Et en même temps, je suis sur mes gardes…

Je vous ai souhaité de venir, Théo, pour vous informer de notre nouvel plan-presse. J’ai obtenu des parutions de communiqués avec photos dans les journaux sportifs nationals et les grands quotidiens régionals, pour la nouvelle basket MarAton. Avec une aile rouge stylisée de chaque part du talon ! Vous savez que la semelle a été tout à fait relookée. Non seulement elle accroche mieux, mais elle imprime le logo de la marque par terre. Sur sol. Ce sera sympa cet été aux plages, non ?! Tenez, voilà pour vous, un press-book avec le texte rédactionnel..

– Merci ! Le Directeur des ventes m’en a parlé en effet. Je n’ai pas encore vu ce nouveau modèle.

– A mon avis, il faudrait trouver des arguments psychologics pour stimuler les vendeurs ! Je ne suis pas votre boss, je le sais, vous dépendez de la direction du personnel, mais c’est une simple seuggestion ! Seuggestion, on dit comme çà, n’est-ce pas…

-Suggestion, oui. Mais, je pensais que nous ne croyez pas à la psychologie…

 – Qui vous a dit cette chose ? Les bruits dans les couloirs ? Je peux aussi écouter le symbolistique. Et aussi le psychologue. C’est sympathique, l’Analyse Transactionnelle, non ?!

 – Question de point de vue ! Je vais réfléchir à votre demande et j’en parlerai avec le directeur des ventes.

 – A bientôt !

Dans ma boîte à lettres, sur le journal, une enveloppe blanche avec seulement mes nom et adresse, écrits à la main. J’ai failli la déchirer et jeter, croyant à une publicité. C’est ma convocation à un entretien dans la loge. Je l’ai lu, je vais subir l’épreuve du bandeau ! Dans huit jours, à 20 heures. Un léger frisson me parcourt ! Ca y est c’est le trac qui s’installe. Tous les candidats le ressentent au moment de cette épreuve, m’a dit Vincent. Normal. Si je comprends bien, les enquêteurs que j’ai rencontrés il y a deux mois déjà, ont eu une bonne opinion de moi, puisque le processus continue.

« Soyez naturel et si vous ne savez pas répondre à une question, dites simplement que vous ne savez pas ! » m’a recommandé Vincent.

J’ai eu du mal à trouver le Temple sans demander mon chemin. Je n’ai pas osé. J’imaginais quelque édifice religieux à clocher, j’arrive devant un cube de béton plutôt laid, un rez de chaussée coiffé d’un fronton triangulaire. Il est blotti dans une petite allée montante, au milieu d’un ensemble de pavillons et de jardins fleuris, près de la place du marché. L’Haÿ les Roses mérite bien son nom : leur parfum embaume la sente et me réconforte, en ce beau soir de mai. Le soleil couchant embrase la colline, moi je vais entrer dans les ténèbres ! Au bout d’une terrasse dallée, une porte en fer. Je respire un grand coup et j’appuie sur la sonnette…

J’attends, assis dans un coin de hall qui est sans doute aussi un réfectoire, avec un petit comptoir hérissé de bouteilles. Les arrivants, hommes et femmes, m’adressent un bonjour retenu, s’embrassent joyeusement, me tournent le dos pour boire le pot fraternel, puis disparaissent un à un, derrière un rideau rouge. Les accolades et les tapes sur l’épaule se succèdent avec les vivats, les verres s’entrechoquent. J’ai soif. Puis, je reste seul, une heure, peut être davantage. Je vois le jour décliner par la petite fenêtre. J’entends des murmures, des coups martelés, des acclamations. Un grand silence s’installe. Etrange.

Soudain, le rideau s’écarte et surgit un jeune homme svelte, d’allure hispanique, cheveux noirs gominés, sourire éclatant. Avec un baudrier bleu sur le torse – comme un élu municipal – un grand carré de cuir blanc bordé de rouge sur le ventre. Et des gants blancs !

Bonsoir monsieur, ne craignez rien, je vais vous bander les yeux, c’est la coutume, pour entrer dans notre salle de réunion, où des questions vont seront posées ! 

Un foulard noir m’aveugle aussitôt, il le noue derrière ma tête. Me prend le bras, les épaules, puis me fait tourner, je crois, dans un couloir. Il frappe trois coups très fort sur une porte, elle s’ouvre en grinçant. Et le toréador me pousse dans l’arène : une odeur de bougie chatouille mes narines. Aux bruits de sièges et de chaussures, je devine un grand espace, et à quelques toux, une assemblée circulaire. J’ai perdu mes repères, une coulée froide me glace le dos. Un « bonsoir, monsieur » éclate devant moi, je sursaute, puis la voix féminine s’adoucit :

– Asseyez-vous en confiance, une chaise est derrière vous, détendez-vous, je vous accueille au nom de notre loge. Vous souhaitez intégrer la franc-maçonnerie et nous, nous souhaitons mieux vous connaître, suite à votre demande et à vos entretiens avec nos enquêteurs. Nous allons vous interroger pendant quelques minutes, vous n’êtes pas obligé de répondre à toutes les questions, si vous ne voulez pas ou ne savez pas. Je vous pose pour ma part les deux premières : qu’est-ce que vous savez de notre organisation ? Pourquoi voulez-vous devenir franc-maçon ? Répondez-moi en quelques mots, s’il vous plaît ?

Je reconnais la voix de la présidente qui est venue me rendre visite. Son timbre, sa chaleur, me rassurent. Avec des phrases courtes, hachées, j’évoque ma première lecture, l’ami qui m’a parlé de la maçonnerie, mes déceptions professionnelles, mon désir d’acquérir un autre regard sur le monde, mon espoir d’échanges vraiment fraternels, d’un véritable lieu d’expression de mes émotions, de partage de mes doutes et de mes espoirs, en confiance… Je m’entends parler comme dans un vide spatial, avec un retour d’écho. J’ai le sentiment de bredouiller, à l’infini !

Suivent des questions en rafale de l’assistance sur la tolérance et l’intolérable, la dignité, la mixité, la désobéissance aux lois, les incivilités, l’immigration, le chômage, la laïcité, la spiritualité c’est quoi ? le danger des dogmes religieux, la perte actuelle du sacré, le mensonge dans la cité, la liberté existe-t-elle ? le don est-il gratuit ? qu’est-ce qu’aimer ?…

 Vertige. Sur le pas de la porte en fer qui se referme derrière moi, oui, j’ai la tête qui tourne. Cette privation de la vue, ce tourbillon de questions pressantes, mes réponses plusieurs fois hésitantes, ont mis ma tête « en turbulence » ! Je ressens aussi une colère, contre moi. Pourquoi me suis-je soumis, exposé de la sorte, mon orgueil vient d’en prendre un coup ! J’aurai bien besoin de la présence de Vincent en ce moment. Solitude, le mot résonne en moi. Beaucoup de choses « à travailler » en somme ! J’attends un long moment dans ma voiture avant de démarrer. A méditer, dans la nuit.

Très tôt le lendemain matin, appel et félicitations de la présidente : j’ai bénéficié d’un vote favorable de l’atelier. Initiation dans un mois. Frisson de joie à cette agréable nouvelle. Moi qui pensais être « blackboulé » !

Un bonheur n’arrive jamais seul. J’apprends que la campagne de pub est un succès pour la nouvelle basket MarAton. Nous sommes à la limite de la rupture de stock ! J’espère que l’usine va pouvoir assurer.

Déjeuner bucolique avec Vincent. Tout en haut du Bois de Saint-Cloud cette fois, à l’Oasis, un petit châlet-restaurant retiré dans la verdure lui aussi, qui domine la ville de Sèvres. Nous aimons la nature tous les deux, hors de la pollution parisienne ! Mystère : Vincent sait que je suis admis à l’initiation. Par qui ? Je ne lui pose pas la question. Il est vrai qu’il est mon parrain et à ce titre, peut être informé par ma loge d’accueil ? Il m’invite du doigt à contempler l’acacia majestueux que je n’avais pas remarqué dans le champ voisin, en contre-bas de la terrasse : « Regardez bien cet acacia, ses branches jouent un rôle important dans la symbolique maçonnique ! » Je n’en saurai pas plus aujourd’hui. Le secret maçonnique est-il à chercher par ici ?Je reçois ses derniers conseils pour « mon grand soir » : costume sombre, chemise blanche, noeud papillon noir, chaussures de ville.

Ce que me confirme une convocation à en tête de la loge « Socrate » qui va me recevoir. Des baskets MarAton seraient de mauvais goût !

Un vendredi soir, 20heures, sous une pluie tiède de juin. Pas d’attente cette fois, dans le hall du temple. La Soeur qui m’ouvre la porte, une petite femme en gris à l’air solennel, m’entraîne illico vers ce qu’elle nomme le « cabinet de réflexion », au fond d’un couloir sombre. Elle me précède, s’arrête devant un réduit ouvert, peint en noir, et m’y pousse d’une main ferme, en me remettant un feuillet double à remplir. « Votre testament philosophique ! », me dit mon guide. La porte en bois se referme derrière moi. A clé ! Je me retrouve prisonnier dans « un 3m² », assis sur un tabouret devant une petite table, éclairée par une bougie vacillante. Près d’elle, un crâne, un croûton de pain, un petit sablier, du gros sel dans une soucoupe, un miroir brisé, des symboles à déchiffrer, sans doute. Sur le mur devant moi, peinte en blanc, une inscription que je sais alchimique : V.I.T.R.I.O.L. Par terre, deux tibias sur du sable. Sinistre, tout çà ! J’ai une bonne heure pour rédiger mon pensum. Cinq questions : Qu’est-ce qui reste inachevé sur votre chemin personnel ? Quelles valeurs voulez-vous transmettre à votre mort ? A qui ? Pourquoi ? Que souhaiteriez- vous changer en vous pour renaître à une nouvelle vie ? Depuis un moment, j’entends gratter sous la table, je saisis le bougeoir et le promène vers mes pieds : deux yeux minuscules brillent dans la lueur jaune et me fixent ! C’est une souris, apeurée. Je ne pense pas qu’elle fasse partie de la mise en scène…mais d’un jardin alentour.

Brusquement, la clé tourne dans la serrure. Surgit ma geôlière qui prend ma copie et mais aussi ma montre, mon bracelet, mes clés et porte-monnaie ! « Tout ce qui brille d’un éclat trompeur », me dit-elle doctement, avec un demi-sourire ! Elles les dépose dans une corbeille et m’invite à ôter mon veston, déboutonner ma chemise et à relever la jambe droite de mon pantalon, jusqu’au genou. J’échange ma chaussure gauche contre une pantoufle. J’ai le temps de découvrir un squelette et une faux peints en blanc derrière la porte, avant de recevoir brusquement une corde autour du cou et qu’un bandeau me soit à nouveau plaqué sur le visage ! On me guide par le bout de la corde, je boitille le long d’un couloir. Mon accompagnatrice me lâche le bras, je devine que c’est elle qui frappe trois coups violents sur une porte. Et je reconnais la voix de la présidente :

Qui ose ainsi frapper à la porte du temple ?!

C’est un profane, Théophile…

Je n’entends pas la fin de la phrase. Une main se pose tout à coup sur ma tête et appuie jusqu’à courber mon torse dénudé, je passe sous un encadrement de porte très bas, que je heurte du front, je me relève, et je ressens une pression métallique contre ma poitrine…

-« Monsieur, la pointe de l’épée sur votre poitrine est le symbole du remords qui déchirerait votre cœur, si vous deveniez traître à la fraternité de cette loge. Le bandeau sur vos yeux est le symbole de l’aveuglement de l’homme plongé dans l’ignorance et la superstition… »

Les cuivres d’une somptueuse musique de Mozart retentissent et je suis alors ballotté, brinqueballé, toujours aveuglé, dans une série de longues circonvolutions que j’entends appeler « voyages ». Je perds la notion de l’espace et du temps, j’oublie au fur et à mesure les gestes que l’on m’impose, seuls mes sens sont en éveil, seule la voix de la Présidente me guide dans ce ballet inquiétant et contradictoire, d’odeurs d’encens et de soufre, de saveurs douces et amères, de contacts froids et chauds, de mouvements et d’arrêts, de reculs et de chocs, de bruits et de silences, de mains serrées et lâchées…Je pressens que je suis en train de vivre dans mon corps et mon cœur, l’incommunicable par définition, le secret même de la franc-maçonnerie !

– « Monsieur, vous êtes maintenant dans ce que nous appelons la chaîne d’union. Nous allons vous retirer votre bandeau. Vous avez peut être des ennemis. Si vous en rencontriez dans cette assemblée, seriez-vous disposé à leur tendre la main et à oublier le passé ?

– Oui !

Je viens de répondre spontanément. On dénoue mon bandeau, la lumière m’éblouit, mes yeux mi-clos balaient le large cercle de mains réunies. Encore un cercle ! Les visages d’hommes et de femmes défilent, je perçois leurs pupilles brillantes qui me fixent. Stupeur ! Je crois rêver après cette heure de ténèbres : Candy, oui Candy la directrice de la communication, est en face de moi dans la chaîne et me regarde en souriant. Je rêve ?! Je suis très, très troublé….

Ce n’est pas toujours devant soi que l’on rencontre des ennemis. Les plus à craindre sont derrière soi. Veuillez vous retourner !

Je me retourne et vois mon visage dans un grand miroir tenu par deux mains ! Le miroir s’abaisse et…seconde surprise, apparaît devant moi le visage ravi de Vincent, mon parrain. Je sens une larme rouler sur ma joue pendant que nous nous embrassons.

Ultime rituel avant que je ne reçoive le tablier et les gants blancs de l’apprenti, la Présidente me prie de « monter à l’Orient », c’est à dire sur l’estrade où elle officie, et de mettre mon genou droit en terre. Mes nouveaux frères et sœurs sont debout, tournés vers moi, la main sous la gorge. Je sens le plat de l’épée de « la Vénérable Maître », appuyée sur ma tête. Et une pression marquée par un coup de maillet sur la lame, qu’elle pose ensuite sur mon épaule droite, puis gauche.

  • Je vous crée, reçois et constitue franc-maçon !

 Assise entre Vincent et moi, notre sœur Candy pleure, à son tour ! Au cours du repas en « salle humide » qui réunit les membres de notre loge et ses invités, elle me précise qu’elle habite l’Haÿ les Roses, où elle a désiré poursuivre ses activités maçonniques, après son départ d’Australie. Initiée au Droit Humain, il y a cinq ans, elle apprécie la diversité de cette obédience internationale. Collaboratrice de MarAton à Sydney, elle a demandé sa mutation en France, suite à une rupture sentimentale très difficile, avec un collègue sur place, qu’elle devait épouser. Par dépit et provocation, elle s’est engagée dans une liaison avec le PDG de MarAton France, mais elle vient de rompre pour partir en Angleterre, chez un concurrent. Une liaison absurde dont elle a honte. Pourquoi cette agressivité à mon égard, alors que je ne lui ai rien fait ? Elle me prie de l’excuser en sortant une photographie d’identité de son porte-carte : son ancien partenaire, métis comme moi, me ressemble étonnement, et je comprends qu’ elle a dû faire une sorte de transfert négatif sur ma personne. L’intolérance, un grand sujet maçonnique…Je ne savais pas que j’avais un sosie en Australie !

Vincent, écoute notre échange en bon parrain, à la fois grave et attendri. Il a rencontré Candy le soir de mon passage sous le bandeau. Elle lui a tout raconté, mais il ne m’a rien révélé, ni sa démission, ni son appartenance. Ethique et franc-maçonnerie obligent ! Un frère se lève et suggère de porter un toast en mon honneur. « Santé ! » lancent d’une seule voix, frères et sœurs, debout à leur tour. Je remercie l’assemblée et me tourne tout naturellement vers Candy :

– Tu permets que maintenant je te tutoies, ma soeur, je t’offre la rose que m’a remise la Vénérable Maitre. On s’embrasse ?!

– Avec plaisir, mon frère Théo ! C’est un beau symbole ton cadeau, dans la ville des roses ! Merci de tout cœur !

Les applaudissements et les vivats résonnent un long moment dans le temple de l’Haÿ ! Je suis encore dans l’émotion de la soirée. La pluie douce me rafraîchit le visage, lorsque je regagne ma voiture. C’est décidé, pour ma part, je vais quitter aussi le siège de MarAton France. J’ai demandé et obtenu de reprendre un poste de représentant, en région parisienne. Je ne suis pas fait pour la vie de bureau. Le terrain me manque trop ! Je viens de téléphoner à Julia, la vendeuse de Cendrillon à Fontainebleau. Demain soir, nous dînons ensemble.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

Gilbert Garibal
Gilbert Garibal
Gilbert Garibal, docteur en philosophie, psychosociologue et ancien psychanalyste en milieu hospitalier, est spécialisé dans l'écriture d'ouvrages pratiques sur le développement personnel, les faits de société et la franc-maçonnerie ( parus, entre autres, chez Marabout, Hachette, De Vecchi, Dangles, Dervy, Grancher, Numérilivre, Cosmogone), Il a écrit une trentaine d’ouvrages dont une quinzaine sur la franc-maçonnerie. Ses deux livres maçonniques récents sont : Une traversée de l’Art Royal ( Numérilivre - 2022) et La Franc-maçonnerie, une école de vie à découvrir (Cosmogone-2023).

Articles en relation avec ce sujet

Titre du document

Abonnez-vous à la Newsletter

DERNIERS ARTICLES