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Le premier grand maître philippin de la Franc-maçonnerie en Australie

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De notre confrère australien philtimes.com.au – Par Rado Gatchalian

Le 28 septembre 2024, dans l’emblématique hôtel de ville de Sydney, plus d’un millier de participants ont assisté à un événement historique lors de l’installation du 41e Grand Maître de la Grande Loge Unie de Nouvelle-Galles du Sud et du Territoire de la capitale australienne des Francs-Maçons Anciens, Libres et Acceptés. Sir Khris Albano, KCR, qui est également membre de l’Ordre des Chevaliers de Rizal, est le premier Grand Maître d’Australie d’origine philippine.

Des Grands Maîtres d’autres États d’Australie et d’autres pays comme la Russie et le Japon ont assisté à cet événement. Un grand nombre de délégations des Philippines, dirigées par le Grand Maître de la Grande Loge des Philippines, le Très Vénérable Ariel T. Cayanan, ont participé à cet événement historique en soutien total à notre compatriote philippin Khris Albano.

La franc-maçonnerie est la plus ancienne fraternité du monde et l’une des plus anciennes organisations continues de l’histoire, connue pour son objectif de rendre les hommes meilleurs.

Khris Albano a été initié à la franc-maçonnerie à la Loge Dalisay n° 14 (Grande Loge des Philippines) en août 2002, et a achevé son parcours vers le rang de Vénérable Maître en 2007. Il a été nommé Grand Maître de District en 2010. Après avoir déménagé en Australie, il s’est affilié à la Loge Jose Rizal n° 1045 en 2011, servant de précepteur pour les équipes d’exemplification démontrant les trois degrés dans diverses juridictions internationales. Il est ensuite devenu le Vénérable Maître Fondateur de la Loge Elysian n° 418 pour le mandat 2018-2019. Avant d’être élu Grand Maître, il était le Grand Maître Adjoint de l’UGL NSW-ACT.

Ézoïque

Sir Khris Albano, KCR lors de son installation en tant que Grand Maître le 28 septembre 2024 PHOTO : Romy Nieto
Sir Khris Albano, KCR lors de son installation en tant que Grand Maître le 28 septembre 2024 PHOTO : Romy Nieto
Sir Khris Albano, KCR avec son épouse Carol PHOTO : Romy Nieto
Sir Khris Albano, KCR avec son épouse Carol PHOTO : Romy Nieto

De nombreux observateurs ont noté que la franc-maçonnerie ici en Australie est désormais dominée par les Philippins. Cela ne devrait pas être une surprise car la franc-maçonnerie a joué un rôle majeur dans l’histoire des Philippines. Le premier président philippin Emilio Aguinaldo, le père de la révolution philippine Andres Bonifacio, le héros national des Philippines Dr. Jose P. Rizal et le sublime paralytique Apolinario Mabini étaient parmi les nombreuses figures clés qui appartenaient à la franc-maçonnerie et qui ont façonné l’histoire des Philippines. Ainsi, la franc-maçonnerie est une « grande chose » dans la société philippine car elle continue de suivre cet héritage historique de patriotisme, de liberté, d’excellence, de charité, de leadership et d’intégrité.

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Partout où un Philippin va, il emporte avec lui ce lien maçonnique historique et cette fierté. 

L’élection de Khris Albano à ce plus haut rôle dans la Franc-Maçonnerie fait écho au sentiment du Dr Jose P. Rizal lorsqu’il s’exclama le 25 juin 1884 lors du banquet de Madrid, en l’honneur de nos peintres philippins, les mots suivants :

« Luna et Hidalgo sont des gloires espagnoles et philippines. Elles sont nées aux Philippines, mais elles auraient pu naître en Espagne, car le génie ne connaît pas de pays, le génie germe partout, le génie est comme la lumière, l’air, le patrimoine de tous, cosmopolite comme l’espace, comme la vie, comme Dieu. »

Khris Albano a prouvé que José Rizal avait raison. Bien que les Philippins vivent dans des pays étrangers, cela ne les empêche pas de se surpasser et d’être égaux aux personnes d’autres nationalités, à tout le monde. La franc-maçonnerie favorise l’égalité entre les frères afin qu’ils puissent être au même niveau que leurs frères. 

En effet, le génie ne connaît pas de frontières.

Félicitations au Très Vénérable Grand Maître Khris Albano pour cette réalisation remarquable !

D’anciens membres d’une Loge s’enferment dans un Temple à Mérida

De notre confrère mexicain poresto.net

Expulsés de la fraternité, ils ont repris le siège historique de la Grande Loge Unie « La Péninsule Orientale » au Centre de Mérida.

Un groupe minoritaire, expulsé de la fraternité a pris d’assaut le siège historique de la Grande Loge Unie « La Péninsule Orientale », faisant de la franc-maçonnerie du Yucatan la victime de la dépossession des propriétés situées dans les 63e et 72e rues du centre historique de Mérida.

Dimanche dernier, vers 15 heures, une cinquantaine de membres Francs-maçons se sont présentés aux portes du Temple pour demander aux envahisseurs de quitter paisiblement.

Ceux-ci, après avoir remarqué la présence d’un important groupe de membres, ont fermé la porte avec un cadenas et ont empêché les représentants légaux de la Grande Loge Unie « La Péninsule Orientale de Antiguos Libres et Maçons Acceptés de la Gran Oriente de Yucatán, AC » d’entrer. Ils étaient pourtant légalement constitués et porteurs d’un pouvoir maçonnique.

Face au refus du groupe d’invasion et à la discussion qui s’intensifiait, les représentants légaux de l’association civile ont demandé le soutien de la Police Municipale à travers le numéro d’urgence 911.

À l’arrivée des éléments de la Police Municipale, auxquels se sont ajoutés ceux du Secrétariat de la Sécurité Publique de l’État , les représentants légaux et autres ont souligné le caractère flagrant du délit de dépossession de biens immobiliers.

Cependant, comme c’est souvent le cas dans ces cas-là, les éléments ont choisi de ne pas intervenir parce qu’il s’agissait d’un conflit entre individus : ils se sont limités à empêcher l’affrontement entre les parties. Le commandant Miguel Ángel Suaste Huex, directeur du secteur central de la Société de sécurité de l’État, est arrivé sur les lieux des événements , accompagné de plusieurs éléments.

Le groupe mutin a placé une plaque à l’entrée avec le nom de La Peninsular Sociedad Civil Particular, apparemment le même jour, quelques heures avant les événements. Le groupe d’envahisseurs est dirigé par José Luis Bustillos González, propriétaire du Grupo Mercantil Artex SA de CV, membre de la délégation du Yucatán de la Chambre nationale de l’industrie du vêtement (Canaive), il a été expulsé de la franc-maçonnerie du Yucatan avec un petit groupe de membres pour des infractions qui sont considérées comme des crimes au sein du groupe.

Sur place, Roger Armando Pardío Villareal a été identifié comme le représentant légal, qui était membre de la Coalition « Nous sommes tous le Yucatán », composée des partis Convergencia et Travailliste, ainsi que conseiller juridique des ejidatarios Pisté. qui Ils se sont opposés au projet Mayan Train, demandant une compensation supérieure à celle que Fonatur leur avait proposée.

Grâce à des vidéos du jour de l’altercation, qui a provoqué l’arrêt de la circulation dans la 63e rue, le capitaine de l’armée à la retraite, Miguel Ángel Contreras García, a menacé le commandant Suaste Huex de le dénoncer pour ne pas favoriser les envahisseurs.

Les pilleurs ont eu recours aux services d’une entreprise de sécurité privée, propriété de la sœur de Carlos Antonio Hagar Pachón, impliquée dans des conflits juridiques concernant des dettes commerciales et avec la Commission fédérale de l’électricité (CFE) pour vol présumé d’énergie électrique.

Il est également accusé d’avoir volé des ressources du Trésor de la Grande Loge. Selon l’histoire publiée sur son site Internet, depuis sa fondation, la Grande Loge Unie « La Péninsule Orientale » a traversé différentes étapes et est restée une référence importante pour la franc-maçonnerie mexicaine et également sous d’autres latitudes.

Le 15 août 1882, l’organisme appelé Conseil Suprême du Mexique a donné l’autorisation d’établir dans la ville de Mérida, la Grande Loge Symbolique de l’État du Yucatán du Rite Écossais Ancien et Accepté.

La lettre patente a été accordée à Olegario G. Cantón, Domingo Evia, Isidro González, Adolfo Cisneros, Luis García M., Luis Serrano et Carlos L. Tapia. Au XXe siècle, la Grande Loge « La Orientale » fut constituée le 24 avril 1913, avec les loges maçonniques « Renacimiento » n°1, « Ermilo G. Cantón » n°2 et « Galileo » n°3. Lodge (avec juridiction au Yucatán, Campeche et Quintana Roo, ainsi qu’au Belize) a travaillé dans le bâtiment maçonnique disparu qui était situé sur la 59ème rue avec la 64ème et la 62ème dans le centre historique de la capitale du Yucatan.

Le 24 juin 1923, est autorisée la formation d’une autre Grande Loge d’État, appelée « La Péninsulaire », composée des loges maçonniques « Établissement » n° 12, « Fiat Lux » n° 14 et « Fénix » n° 17. , avec juridiction au Yucatán, Campeche et Quintana Roo.

De cette Grande Loge émergera une autre du même nom, et trois grandes loges du Yucatán fusionnèrent à un moment donné dans les années 20 du 20e siècle. Finalement, le 14 septembre 1928, lors d’une assemblée maçonnique, les membres des deux grandes loges du Yucatan améliorèrent la direction du travail maçonnique grâce à leur unification.

Ainsi fut créée la Grande Loge Unie « La Péninsule Orientale », fruit de la fusion de tous les ateliers maçonniques existant à cette époque en une seule Grande Loge.

On va recruter chez les Francs-maçons !

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Ça va l’faire !

Je m’explique, je me demande si à l’intérieur de nos Loges, nous n’allons pas avoir besoin de sœurs et de frères de plus en plus spécialisés et notamment dans le domaine de la communication.

Pourquoi ne pas créer un poste de Franc-maçon(ne) dans nos ateliers avec comme titre : Expert(e) Communicant(e)

Ainsi, ce ou cette spécialiste synthétisera toute la complexité et l’importance de la charge à laquelle les ateliers aujourd’hui sont confrontés au niveau administratif pour la gestion de la communication dans la loge et entre loges, qui font que les conséquences pèsent de plus en plus sur le bon déroulement de nos travaux si nous n’agissons pas.

Ce n’est pas un constat alarmiste, mais il est bon à mon avis d’en prendre conscience et d’y réfléchir.

« La franc-maçonnerie a la réputation d’innover et d’aller de l’avant. »

Il me semble juste de faire des propositions dans ce sens même si ma réputation est peut-être plus celle d’un papillon qui flirte, parfois un peu trop avec le monde profane.

Je vous laisse en découvrir plus en visionnant la vidéo ci dessous lors du dernier « meeting solitaire » de la minute du Grand René sur le sujet :

Franc-maçonnerie et judaïsme : une histoire complète des valeurs, des défis et des contributions partagés

De notre confrère freemasonscommunity.life

La franc-maçonnerie et le judaïsme, deux traditions distinctes dotées d’une riche histoire, se sont croisées de manière fascinante au fil des siècles. Cet article explore la relation complexe entre ces deux groupes, leurs valeurs communes, leurs défis communs et les contributions importantes des francs-maçons juifs à la société, en particulier aux États-Unis.

Les Lumières et la réforme religieuse

Le siècle des Lumières a joué un rôle crucial dans la relation entre la franc-maçonnerie et le judaïsme. Le concept d’universalité des Lumières a donné naissance à une société dans laquelle les croyances religieuses n’affectaient pas les droits des citoyens. Ce changement a permis aux Juifs de participer plus pleinement à divers aspects de la société, y compris à la franc-maçonnerie.

Parallèlement, le judaïsme lui-même évoluait. Le développement du judaïsme réformé, en partie en réponse aux Lumières, enseignait une croyance continue dans les concepts fondamentaux de la religion sans exiger le respect de toutes les règles strictes d’observance. Cette évolution a facilité la participation de certains juifs à des organisations laïques comme la franc-maçonnerie.

De nombreux juifs considéraient l’adhésion à la franc-maçonnerie comme une forme d’« émancipation » des anciennes exclusions juridiques et sociales. La philosophie de la franc-maçonnerie, qui prône la fraternité entre tous les peuples, indiquait que la franc-maçonnerie accepterait les juifs comme membres, leur offrant ainsi la possibilité de s’intégrer davantage dans la société.

L’implication historique des Juifs dans la Franc-Maçonnerie

Les Juifs ont été activement impliqués dans la Franc-Maçonnerie depuis ses débuts en Amérique. Des preuves historiques montrent que les Juifs comptaient parmi les fondateurs de loges maçonniques dans sept des treize États d’origine : Rhode Island, New York, Pennsylvanie, Maryland, Géorgie, Caroline du Sud et Virginie.

Moses Michael Hays, un franc-maçon juif qui a joué un rôle crucial dans l’introduction du rite maçonnique écossais en Amérique, est une figure marquante de la franc-maçonnerie américaine naissante. Hays a été inspecteur général adjoint de la franc-maçonnerie pour l’Amérique du Nord en 1768 et grand maître du Massachusetts de 1788 à 1792. Il est intéressant de noter que Paul Revere a servi sous ses ordres en tant que grand maître adjoint.

Parmi les autres francs-maçons juifs importants du début de l’histoire américaine, on compte Solomon Bush en Pennsylvanie, Joseph Myers dans le Maryland et en Caroline du Sud, et Abraham Forst de Philadelphie en Virginie. Moses Seixas a exercé les fonctions de Grand Maître à Rhode Island de 1791 à 1800.

Les francs-maçons juifs ont également apporté une contribution significative à la Révolution américaine. Vingt-quatre officiers juifs ont servi dans l’armée de George Washington et plusieurs d’entre eux ont contribué au financement de la cause américaine. Haym Salomon, un franc-maçon juif de Philadelphie, s’est notamment fait remarquer pour ses contributions financières à l’effort de guerre et ses prêts personnels à des personnalités telles que Jefferson, Madison et Lee.

Valeurs et idéaux partagés

La franc-maçonnerie et le judaïsme partagent de nombreux thèmes et idéaux communs, ce qui peut expliquer l’affinité naturelle entre les deux traditions :

  1. Croyance en un Être suprême : Tous deux mettent l’accent sur la foi en Dieu comme principe fondamental.
  2. Comportement éthique : Les deux traditions soulignent l’importance de la conduite morale et de la gentillesse envers les autres.
  3. Charité et fraternité : aider ceux qui sont dans le besoin et favoriser un sentiment de communauté sont au cœur de la franc-maçonnerie et du judaïsme.
  4. L’accent est mis sur l’apprentissage : tous deux encouragent la formation continue et les bourses d’études.

Symboles et rituels courants

Plusieurs symboles et rituels sont importants tant dans la franc-maçonnerie que dans le judaïsme :

  1. Lumière : Les deux traditions utilisent la lumière comme un symbole important, représentant l’esprit divin et la liberté religieuse. La fête juive de Hanoucca, connue sous le nom de Fête des Lumières, partage des liens thématiques avec le symbolisme maçonnique de la lumière.
  2. Le Temple de Salomon : cette ancienne structure occupe une place importante dans les rituels maçonniques et dans l’histoire juive.
  3. Pratiques cérémonielles : les deux religions ont des cérémonies d’initiation et mettent l’accent sur le recours à des rituels pour inculquer la discipline et un comportement éthique. Par exemple, la cérémonie juive de Bar Mitzvah, qui marque le passage d’un garçon à l’âge adulte, présente certaines similitudes avec les rites d’initiation maçonniques en termes d’apprentissage de rituels et d’acceptation de nouvelles responsabilités.
  4. Respect de l’autorité et du devoir : Les deux traditions enseignent le respect des figures d’autorité (les parents et les rabbins dans le judaïsme, les dirigeants de loge dans la franc-maçonnerie) tout en mettant l’accent sur les devoirs de ceux qui occupent des postes de pouvoir.

Défis et controverses

Malgré ces valeurs communes, les relations entre la franc-maçonnerie et le judaïsme n’ont pas toujours été harmonieuses. À certaines périodes et dans certains lieux, les juifs ont été victimes de discrimination au sein des loges maçonniques. L’acceptation des juifs dans la franc-maçonnerie a beaucoup varié selon les pays et les périodes.

Au XIXe siècle en Allemagne, de nombreuses loges n’acceptaient pas les membres juifs et allaient jusqu’à interroger les frères maçonniques en visite sur leur religion à la porte de leurs loges. Divers arguments étaient utilisés pour exclure les juifs :

  1. Certains prétendaient que la franc-maçonnerie était une institution chrétienne et que les Juifs ne pouvaient pas en devenir membres à moins de se convertir.
  2. D’autres ont soutenu que seuls les chrétiens pouvaient posséder le bon caractère nécessaire pour atteindre les idéaux maçonniques.
  3. Certaines loges exigeaient des Juifs qu’ils prêtent serment sur les Évangiles chrétiens ou qu’ils mangent du porc lors des repas maçonniques, pratiques interdites dans le judaïsme.
  4. Il y avait même des arguments antisémites flagrants affirmant que les Juifs étaient racialement ou génétiquement inaptes à la franc-maçonnerie.

Il y eut cependant aussi des exemples de courage et d’ouverture. En 1890, le Dr Hermann Settegast, maître de la Royal York Lodge de Berlin, démissionna lorsque sa proposition d’interdire la discrimination religieuse dans les admissions fut rejetée. Il fonda alors une nouvelle Loge mère dont les membres étaient répartis à parts égales entre juifs et chrétiens, malgré une opposition importante.

Persécutions et attaques conjointes

Ironiquement, malgré ces tensions internes, les francs-maçons et les juifs se sont souvent retrouvés dans la même ligne de mire de leurs détracteurs. Les théories du complot liant les deux groupes sont devenues courantes, tous deux étant accusés de comploter pour saper les institutions sociales existantes.

Les fameux « Protocoles des Sages de Sion », un texte antisémite fabriqué de toutes pièces, impliquaient également les francs-maçons dans un prétendu complot juif visant à dominer le monde. Ce document, bien que démenti, a eu un impact durable sur le sentiment antisémite et antimaçonnique.

Sous le régime nazi, les deux groupes ont été sévèrement persécutés sous le slogan « Tous les francs-maçons sont juifs, tous les juifs sont francs-maçons ». De même, d’autres régimes totalitaires ont systématiquement attaqué la franc-maçonnerie et le judaïsme, considérant leur insistance sur la liberté individuelle comme une menace.

La franc-maçonnerie et le judaïsme aux États-Unis

Les États-Unis ont toujours été un refuge pour la franc-maçonnerie et le judaïsme. À quelques exceptions près, l’Amérique a conservé une tradition de tolérance envers les différentes idées, religions et croyances. Cette acceptation a permis aux deux traditions de s’épanouir et de contribuer de manière significative à la société américaine.

Les francs-maçons juifs ont joué un rôle important tout au long de l’histoire américaine, de la guerre d’indépendance à l’époque moderne. Leur implication dans la franc-maçonnerie et dans la vie civique américaine démontre la compatibilité de ces traditions avec les valeurs américaines de liberté et de pluralisme.

Il y a eu au moins 51 Grands Maîtres juifs américains, dont deux en Virginie : Solomon Jacobs en 1810-1812 et Seymour Jonas Levy en 1975. Cette statistique souligne l’implication significative des Juifs dans la franc-maçonnerie américaine.

Les temps modernes

Aujourd’hui, les Juifs continuent d’être actifs dans la franc-maçonnerie en Amérique et dans d’autres pays. Israël compte environ 60 loges maçonniques comptant 3 000 membres, ce qui témoigne de la relation continue entre le judaïsme et la franc-maçonnerie.

Cependant, des défis persistent. L’année dernière encore, un groupe appelé « Mouvement de résistance islamique – Palestine » a menacé la franc-maçonnerie et d’autres organisations « affiliées au sionisme », démontrant que le ciblage conjoint des juifs et des francs-maçons continue dans certaines parties du monde.

Conclusion

La relation entre la franc-maçonnerie et le judaïsme est complexe, marquée par des valeurs partagées, des défis communs et des contributions importantes à la société. Malgré des persécutions communes et des tensions internes occasionnelles, les deux traditions ont persévéré, unies par leur engagement en faveur de la liberté individuelle, du comportement éthique et de la fraternité universelle.

À mesure que nous avançons, il est essentiel de reconnaître et de célébrer les contributions positives de la franc-maçonnerie et du judaïsme à notre société. En favorisant la compréhension et le respect mutuels, nous pouvons continuer à bâtir sur les idéaux communs qui ont lié ces deux traditions à travers l’histoire.

Un homme reconnu coupable du meurtre de son ex-femme dans une loge maçonnique à Curitiba

De notre confrère brésilien g1.globo.com

Le crime a eu lieu en 2022. Celina Pereira Antunes était une journalière sur place et a été vue allongée sur le sol avec des signes de blessures au couteau par deux employés, selon la police. Jonathan Taborda Ribas a été condamné à 22 ans de prison pour le meurtre de son ex-femme, Celina Pereira Antunes, dans une loge maçonnique . La sentence du jury populaire a été rendue lundi (7).

Le crime a eu lieu en 2022. Celina était une journalière sur place et a été vue allongée sur le sol avec des signes de blessures au couteau par deux employés, selon la police. Revivez le crime ci-dessous.

José Valdeci, l’avocat de Jonathan, a déclaré que tout le travail avait été fait pour que ce procès soit équitable.

« Et le concile a compris, surtout parce qu’il était confesseur », a-t-il déclaré.

Outre lui, un autre membre de la famille de Ribas a été inculpé, soupçonné de fraude procédurale et de favoritisme. Ils ont été acquittés par le jury, selon l’avocat.

Souviens-toi du crime

Les images des caméras de sécurité diffusées par la police ont enregistré le moment où Jonathan, alors âgé de 29 ans, apparaît en train d’acheter un kit de barbecue dans un établissement quelques heures avant le crime.

Sur l’autre image, il est possible de voir le suspect forcer l’entrée d’une porte de temple franc-maçon.

La Franc-maçonnerie renaît chez Carlos Casares en Argentine

De notre confrère cadenanueve.com

La Loge Sadi Carnot a commencé ses activités au début du 20e siècle et refait surface au 21e siècle.

La franc-maçonnerie a repris vie à Carlos Casares avec la résurgence de la Loge Sadi Carnot, qui depuis 2019 a rouvert ses portes pour promouvoir la connaissance et la réflexion dans la communauté. Avec une riche histoire remontant au début du XXe siècle, cette loge est un exemple de la façon dont les traditions peuvent s’adapter aux temps modernes.

L’histoire de la Loge Sadi Carnot commence au début du XIXe siècle, plus précisément en 1905, lorsqu’un groupe d’éminents citoyens de Casares, tels qu’Antonio Maya, Francisco Borja et Daniel De La Sota, s’unissent pour former cette loge. Selon les recherches de la professeure et historienne Susana Sigwald, ces membres ont joué un rôle fondamental dans la vie sociale et politique de la ville, se distinguant dans la lutte pour l’autonomie sous Carlos Casares. Cependant, la loge ferme ses portes vers 1915 en raison de la crise économique qui touche le pays à cette époque.

Cet héritage historique a été brillamment compilé par Sigwald dans son livre « Sadi Carnot », récemment réédité et disponible à la bibliothèque José Ingenieros, où se trouvent également les archives historiques Antonio Maya. Ce travail fournit un contexte précieux sur l’activité maçonnique dans la région et son impact sur le développement local.

La Résurrection de la Loge Sadi Carnot

La franc-maçonnerie locale a refait surface en 2015 lorsqu’un groupe de francs-maçons a décidé de former un triangle maçonnique, étape préalable à la constitution formelle d’une loge. Cet effort a culminé en 2019 avec la réouverture officielle de la Loge Sadi Carnot, qui a commencé à attirer de nouveaux membres intéressés par ses principes de philosophie, d’éthique et de savoir.

Les réunions de loge sont un espace où les membres présentent des œuvres, appelées « planches », sur des sujets variés. Ces présentations sont lues par leur auteur, ce qui permet une analyse approfondie et enrichissante. Les participants peuvent exprimer leurs opinions et, en cas de désaccord, la création de nouveaux « conseils » est encouragée pour discuter de différents points de vue. Cette approche favorise non seulement un dialogue respectueux, mais renforce également la culture de tolérance et d’apprentissage continu au sein de la communauté.

La Loge Sadi Carnot adhère au Rite Écossais Ancien et Accepté, l’un des systèmes rituels les plus pratiqués dans la Franc-Maçonnerie mondiale. Bien que le contenu de leurs rituels reste réservé, on sait qu’ils comprennent une série d’étapes qui guident les entretiens et les discussions lors des réunions. Un symbole notable est le tablier, que les francs-maçons utilisent comme vêtement rituel. Dérivé des tabliers des anciens maçons, ce tablier varie en termes de conception selon le rang du membre et représente le lien avec les origines de la franc-maçonnerie dans les corporations de bâtisseurs.

Le terme « maçon » vient du français « maçon », qui signifie « maçon », soulignant ainsi le lien historique entre la franc-maçonnerie et les anciennes pratiques de construction. Ce lien symbolise non seulement l’édification physique, mais aussi la construction d’un caractère éthique et moral parmi ses membres.

Actuellement, la Loge Sadi Carnot cherche à s’adapter aux défis contemporains, en favorisant une plus grande ouverture et participation. L’accent mis sur l’éducation et l’échange d’idées permet à la communauté d’aborder des sujets d’actualité et pertinents, des questions philosophiques aux débats sur la politique non partisane, l’anthropologie et d’autres domaines du savoir.

À mesure que la Loge poursuit son travail, elle espère attirer un nombre croissant de parties prenantes, créant ainsi un espace inclusif où la diversité de pensée est valorisée et le développement personnel et collectif est encouragé.

La Loge Sadi Carnot de Carlos Casares est un exemple palpable de la façon dont la franc-maçonnerie peut évoluer et s’adapter aux temps modernes, en conservant son essence de recherche de connaissance et en promouvant des valeurs telles que la tolérance et le respect. En faisant revivre cette tradition, les francs-maçons Carlos Casares préservent non seulement leur histoire, mais contribuent également activement à la construction d’un avenir plus conscient et solidaire dans leur communauté.

La Franc-maçonnerie : un repaire de philo-cognitifs !

La science a mieux défini ce qu’on appelle les surdoués ou hauts potentiels. Deux catégories de « philo-cognitifs » sont décrites. Il s’avère qu’ils sont omniprésents en franc-maçonnerie. En êtes-vous ?

On s’était bien dit que la franc-maçonnerie n’était pas claire ! Dans cet article, vous comprendrez que la franc-maçonnerie est noyautée par un groupe d’individus qui avance avec des intentions masquées. Mais avant cela, il est nécessaire d’expliquer le contexte. D’abord, je vous explique comment j’ai découvert le pot aux roses.

Je me régalais de la lecture du livre «  les philo-cognitifs, ils n’aiment que penser et penser autrement », édité chez Odile Jacob et signé Fanny Nusbaum, Olivier Revol et Dominic Sappey-Marinier, des psys et/ou neurologues. En farfouillant sur internet, je découvre que le livre est un best-seller. Bon, les idées seraient elles novatrices, un peu comme le titre du bouquin le promet discrètement ?

Le livre est émaillé de citations de personnalités célèbres qui illustrent le propos. Parmi elles, un auteur revient beaucoup :  Rudyard Kipling. Et ses citations proviennent surtout de son poème «  If » !  Là ça commence un peu à carillonner dans mon ciboulot, ma vieille boulimie de compréhension se réveille, alors plein zoom sur ce que ces rhônalpins ont découvert.

Dans les années 70, il se disait dans les sphères enseignantes que certains élèves étaient doués d’une grande facilité d’apprentissage, et on s’est mis à les nommer des « surdoués ». Par contraste, pour réhabiliter un peu ceux qui ne l’étaient pas, Claude Zidi sortait son remarquable «  les sous-doués ».

La sphère psy a un peu creusé le problème, mais la notion de surdoué a manqué de définition claire. 

Il en fut de même avec l’appellation « zèbre », l’animal en question ayant bien une bizarrerie, mais par ailleurs est peureux et grégaire, ce qui collait mal avec ce qu’on cherchait à définir.

Plus près de nous encore, voici les « hauts potentiels », que tant de parents éblouis ont vanté aux enseignants. Là encore, une confusion entre des compétences très spécialisées et d’autres, bien plus généralistes, a brouillé l’image.

Une équipe lyonnaise a relevé le défi, tout en décidant d’en augmenter la solidité scientifique. Comment ?

Historiquement l’approche psychologique partait souvent d’une hypothèse concernant le fonctionnement des diverses régions du cerveau, comme le trio moi/surmoi/ça de la psychanalyse freudienne, ou le parent/enfant/adulte de l’analyse transactionnelle. Mais à présent la science détaille de mieux en mieux le fonctionnement biologique du cerveau, comme la spécialisation des zones locales et les réseaux de connectivité. Il s’agissait donc ici de prouver l’exactitude des concepts par des mesures quantitatives sur de cerveaux en pleine fonction. D’où le mix de compétences choisi pour l’équipe : psychologie et neurologie.

L’étude de nombreux adultes et enfants a abouti à proposer la notion de personnalité philo-cognitive.

Il s’agit d’abord de personnes qui pensent en permanence, et dans le but d’avoir la compréhension la plus large possible du monde et de son fonctionnement. Recherche de contrôle et anticipation en découlent logiquement. C’est ce qu’on appelle l’hyperspéculation. Tiens, ça me rappelle que nous faisons de la franc-maçonnerie spéculative.

Deuxième caractéristique :  l’hyperacuité. Ces gens ont des antennes émotionnelles plus performantes que le quidam moyen ; cela peut être un atout ou une fragilité. Et troisième caractéristique : l’hyperlatence, c’est-à-dire un réassemblage permanent des idées. La machine mouline et se réajuste sans arrêt.

Les trois caractéristiques peuvent se quantifier en mesurant les flux d’information parcourant les circuits neuronaux, les plus importants ayant pour nom réseau par défaut, réseau exécutif et réseau de la saillance.

Parmi les philo-cognitifs, les mesures permettent de distinguer deux groupes, dont les comportements sont également différents : les philo-complexes et les philo-laminaires.

Les philo-complexes seront les pourvoyeurs d’artistes flamboyants comme Serge Gainsbourg ou Salvador Dali. Individualistes, ils sont autocentrés, et auront volontiers tendance à s’opposer aux hiérarchies. Ils fournissent nos loges en esprits militants, toujours en recherche d’idées pouvant révolutionner la société.

Les philo-laminaires, eux, sont plus volontiers discrets. Ils sont toujours obnubilés par leur amour de la vérité (ah oui : un objectif de franc-maçon). Leur ego est sous contrôle, et la raison leur outil favori. Aussi, vous les verrez très rarement s’emporter bruyamment. Le consensus est leur objectif permanent, et leur désir de servir avec humilité est accompagné d’actes. Leurs paroles sont en ligne avec leurs actes. Leurs conseils et avis sont empreints de lucidité et de bienveillance. C’est pourquoi ils sont à l’aise avec les hiérarchies et les règlements : des salariés modèles pour les grosses entreprises ou administrations. Et ainsi on pense spontanément à eux pour des postes d’encadrants.

A ce stade, arrêtons-nous un instant.

Ne viens-je pas de dresser le portrait idéal d’un officier ?

Il tient ses émotions fermement en laisse, montre une écoute sans faille, sait faire passer une mesure difficile par ses explications éclairantes, basées sur sa parfaite compréhension du système. Il se veut appliquer la volonté des membres plutôt que la sienne. Il n’est jamais en retard pour suggérer toute amélioration de l’organisation et la mettre en œuvre. Il semble avoir anticipé toute difficulté. Ah, parfois, trop occupé à servir le groupe, il peut tomber d’épuisement, à moins que ce ne soit à force de réprimer ses propres sentiments ? Il faut lui expliquer qu’il y a des dangers à passer toutes ses journées à des activités intellectuelles !

Bref, je suis certain que vous tous pouvez nommer plusieurs philo-cognitifs, au moins quelques philo-complexes, mais de plus nombreux philo-laminaires, dans vos loges.

Réflexion faite, nous leur devons sans doute d’être ce que nous sommes : cette frénésie de recherche de vérité, de valeurs collectives est le ciment de notre égrégore maçonnique. Tout ceci étant posé, ne me faites pas dire que les philo-cognitifs forment la majorité de nos membres !

Recommandation à tous de lire le livre (vérifiez si vous êtes un philo-cognitif, et surtout si vous vous définissez comme « éternel cherchant » ou similaire !) et merci à ses auteurs ! 

Est-ce que les chiffres équilibrent l’amour fraternel ?

Le million ! Le million ! Le million ! Non, a priori le Trésorier d’une loge n’a pas la mission, même s’il garde le « trésor », d’amasser des millions d’autant que toute association « Loi 1901 » ne connaît ni profit, ni recherche de bénéfices… Le trésorier, donc, en bon gardien des comptes et des finances de son atelier, procédera au recouvrement et à l’encaissement des cotisations comme de toute somme due, gardera les fonds, les capitaux, etc, etc…

Pour en dresser un bilan annuel en rapport explicite et clair qu’il exposera à tous les membres. Le plus délicat, sollicitude fraternelle oblige, est de faire rapport au vénérable maître de tout défaut de paiement des ouvriers, pour requérir, éventuellement mais le plus souvent certainement, vers eux, la stricte application des dispositions de la loi maçonnique et des usages… Heureusement, il est de coutume surtout d’en aviser l’hospitalier en cas de difficultés…

Maniant le compas, la règle et surtout la calculatrice, comme le chef cuisinier manipule habilement les aliments biens dosés et les spatules, le trésorier gère dans la rigueur et l’ordre ; il place ses chiffres dans les bonnes cases et sait les expliquer ! Sur ce point, même si les comptes d’une loge ne semblent pas s’apparenter à ceux d’une holding ou même d’une petite S.A. (quoique « société » et « anonyme »…), quelques trésoriers ont l’art de transformer un bilan financier en un tourbillon de chiffres dignes des plus grands experts comptables, à embrouiller tout génie des mathématiques :

 « Vous trouverez les dépenses en bleu cobalt et le solde en bleu turquoise, en bas de page des commentaires sur les charges locatives, dont le montant est indiqué en bleu ciel. Ce qui signifie que c’est bon ! Concernant les recettes, nous comptons les cotisations en bleu outre-mer et la vente des pin’s pour la fête solsticiale en carmin. Si nous comptons 2 affiliations et 3 initiations, en retranchant les charges constatées d’avance en prune, et les produits antérieurs en vert, il est à présager pour trouver l’équilibre, en vert canard, qu’il nous faudra augmenter les cotisations. Voilà donc en résumé le bilan de l’année et si nos comptes sont positifs, il est plus prudent d’augmenter les capitations… Alors, voici les projections en violet augmentation de 2€, en vermillon 5€, en magenta de 10 €…

Quel âge avait le roi Salomon lorsqu’il est mort ?

De notre confrère freemasonscommunity.life

Le roi Salomon, également connu sous le nom de Jedidiah, était un monarque important de l’ancien Israël. Il était le fils et le successeur du roi David, jouant un rôle crucial dans l’histoire de cette importante civilisation. Selon la Bible hébraïque et l’Ancien Testament, Salomon était l’avant-dernier dirigeant d’un Israël et de Juda unifiés, son règne se situant entre 970 et 931 avant J.-C.

L’une des questions les plus intrigantes concernant ce personnage célèbre est l’âge auquel il est décédé. Les historiens estiment que le roi Salomon a vécu jusqu’à l’âge de 80 ans et est mort de causes naturelles en 931 av. J.-C. Son fils, Roboam, a hérité du trône, ce qui a finalement conduit à une guerre civile et a ensuite marqué la fin du Royaume-Uni d’Israël en 930 av. J.-C.

Tout au long de sa vie, le roi Salomon fut connu pour sa sagesse, sa richesse et la construction de plusieurs structures importantes, dont le Premier Temple de Jérusalem. Son histoire continue de captiver et de conserver une place importante dans divers textes religieux et analyses historiques.Table des matières

Le règne du roi Salomon

L’âge du couronnement

L’âge exact du roi Salomon au moment de son couronnement n’est pas explicitement mentionné dans la Bible. Cependant, diverses sources suggèrent qu’il avait environ 20 ans lorsqu’il monta sur le trône. Son père, le roi David, avait promis à Bath-Shéba, la mère de Salomon, que Salomon serait l’héritier royal après le décès de David. La bataille de Salomon pour la couronne commença avant même la mort de son père, car un autre fils, Adonija, avait conspiré pour revendiquer le trône.

Durée de la règle

Salomon régna sur Israël pendant 40 ans. Les dates conventionnelles du règne de Salomon sont dérivées de la chronologie biblique et se situent entre 970 et 931 av. J.-C. Sous le règne de Salomon, Israël connut une période de grande prospérité et de croissance, puisqu’il construisit le Premier Temple à Jérusalem et développa le commerce et l’influence de l’empire.

La sagesse de Salomon et sa capacité à établir un règne juste et pacifique ont fait de lui une figure emblématique, et son héritage a eu un impact sur la nation d’Israël et les régions environnantes pour les générations à venir.

Références bibliques

Récits de l’Ancien Testament

L’âge du roi Salomon au moment de sa mort n’est pas explicitement mentionné dans la Bible. Cependant, certains indices peuvent nous aider à estimer son âge au moment de sa mort. Le règne de Salomon en tant que roi a duré environ 40 ans . Bien que la Bible ne donne pas d’âge précis pour Salomon lorsqu’il est devenu roi, certaines sources non bibliques suggèrent qu’il avait environ 20 ans lorsqu’il est monté sur le trône. Sur la base de ces informations, on peut estimer que Salomon avait environ 60 ans à sa mort.

Durant son règne, Salomon était connu pour sa sagesse, sa richesse et la construction du Temple de Jérusalem. L’Ancien Testament mentionne également que Salomon avait de nombreuses épouses qui l’ont influencé et qu’à mesure qu’il grandissait, son cœur s’est détourné de Dieu.

Textes historiques

Bien que la Bible soit la principale source d’informations sur la vie et la mort du roi Salomon, d’autres textes historiques peuvent apporter un contexte supplémentaire. Dans ces textes, Salomon est souvent décrit comme un dirigeant sage et puissant. Cependant, ces textes ne correspondent pas toujours au récit biblique et les informations qu’ils fournissent sur l’âge de Salomon au moment de sa mort peuvent varier.

En conclusion, sur la base des informations disponibles dans les textes bibliques et historiques, on peut estimer que le roi Salomon avait environ 60 ans lorsqu’il est mort.

Documents historiques

Preuves archéologiques

Le Temple de Jérusalem

L’âge et la mort du roi Salomon ont fait l’objet de nombreux débats pendant des siècles, diverses sources fournissant des récits différents de sa vie. Malheureusement, il n’existe aucune preuve archéologique directe permettant de vérifier spécifiquement son âge au moment de sa mort. Cependant, d’autres sources peuvent fournir un aperçu général et quelques indices sur son âge possible.

Différences chronologiques

Bien que l’âge exact de Salomon à sa mort ne soit pas mentionné, plusieurs éléments permettent de faire des estimations éclairées. Les sources bibliques suggèrent qu’il avait environ 20 ans lorsqu’il est devenu roi et qu’il a régné pendant 40 ans, ce qui lui donne environ 60 ans au moment de sa mort. Il est essentiel de noter que ces récits présentent certaines divergences chronologiques et que tous les historiens ne s’accordent pas sur les détails précis.

En conclusion, il est difficile de déterminer l’âge exact du roi Salomon au moment de sa mort en raison du manque de preuves archéologiques directes et des récits bibliques divergents. Le consensus général est qu’il avait environ 60 ans à sa mort. Cependant, des recherches plus poussées et des découvertes archéologiques pourraient fournir des informations plus précises à l’avenir.

Arguments des savants

Estimations d’âge

Bien que la Bible ne donne pas l’âge exact du roi Salomon au moment de sa mort, certaines indications peuvent aider à le déduire. La plupart des sources non bibliques suggèrent qu’il avait environ 20 ans lorsqu’il monta sur le trône. De plus, selon 1 Rois 11:42 et 2 Chroniques 9:30, Salomon régna 40 ans, ce qui lui donnerait environ 60 ans à sa mort.

Contexte historique

Salomon, fils du roi David et de Bethsabée, est considéré comme l’un des plus grands rois d’Israël. Il régna à une époque de paix et de prospérité, et son règne fut marqué par la construction du Temple de Jérusalem, l’administration de son royaume et l’établissement de relations commerciales et internationales. Cependant, la fin de son règne fut marquée par un déclin de sa relation avec Dieu, car il se concentra sur les plaisirs terrestres et laissa l’idolâtrie s’infiltrer dans son royaume.

Le règne et les réalisations de Salomon fournissent un contexte historique permettant d’explorer l’âge exact de sa mort. Néanmoins, il s’avère difficile de déterminer avec certitude l’âge de sa mort, compte tenu des diverses interprétations et des divers documents disponibles. La communauté scientifique continue d’examiner les preuves disponibles pour développer une compréhension plus claire de l’âge et du règne de Salomon, en tenant compte du contexte historique de son époque.

Conclusion

Le roi Salomon, fils du roi David et de Bethsabée, était un personnage important de l’ancien Israël. Sa sagesse et son leadership ont contribué à façonner le cours de la nation, et son histoire reste influente à l’époque moderne. Sur la base des sources disponibles, l’âge de Salomon au moment de sa mort peut être estimé.

La Bible rapporte que Salomon a régné pendant 40 ans, et étant donné qu’il est peut-être devenu roi à l’âge de 20 ans, on peut en déduire que Salomon avait environ 59 à 60 ans à son décès. Cet âge, bien que non définitif, constitue une estimation raisonnable basée sur les informations disponibles.

Questions fréquemment posées

Combien de temps Salomon a-t-il régné en tant que roi ?

Salomon a régné pendant 40 ans selon 1 Rois 11:42 et 2 Chroniques 9:30.

Quand le roi David est-il mort par rapport à l’âge de Salomon ?

Le roi David est mort alors que Salomon avait probablement 20 ans. La naissance de Salomon a eu lieu au moins 10 ans après le début du règne de David, ce qui fait qu’il avait moins de 30 ans lorsqu’il est devenu roi, comme indiqué dans 1 Rois 3:1.

Quelle est la cause de la mort du roi Salomon ?

La cause de la mort du roi Salomon n’est pas explicitement mentionnée dans la Bible. Cependant, on peut déduire qu’il est mort à l’âge d’environ 60 ans en raison de la durée de son règne et de l’âge auquel il est devenu roi.

Qui a succédé à Salomon comme roi ?

Le roi Salomon fut succédé par son fils Roboam, comme mentionné dans 1 Rois 11:43.

Combien d’enfants Salomon a-t-il eu ?

La Bible ne donne pas le nombre exact d’enfants que le roi Salomon a eu. Cependant, elle indique que Salomon avait 700 femmes et 300 concubines, ce qui suggère la possibilité d’avoir de nombreux enfants (1 Rois 11:3).

Le roi Salomon a-t-il épousé la reine de Saba ?

La Bible ne dit pas explicitement que le roi Salomon a épousé la reine de Saba ; cependant, elle décrit leur rencontre, au cours de laquelle ils ont échangé des cadeaux et ont eu des discussions sur divers sujets (1 Rois 10:1-13). Il existe des histoires et des légendes non bibliques qui suggèrent un mariage entre Salomon et la reine de Saba, mais elles ne sont pas corroborées par le récit biblique.

Combien d’épouses Salomon avait-il ?

Selon 1 Rois 11:3, le roi Salomon avait 700 épouses et 300 concubines. Beaucoup de ces mariages étaient arrangés pour des raisons politiques, pour établir des relations diplomatiques et des alliances avec les nations voisines.

Pourquoi le maçon ne peut-il pas devenir un athée stupide ?

Du site universalfreemasonry.org

Les athées ont-ils une place dans la franc-maçonnerie ?


La première des anciennes charges, « Concernant Dieu et la religion », commence ainsi :

« Un franc-maçon est obligé, de par son titre, d’obéir à la loi morale ; et, s’il comprend bien l’art, il ne sera jamais un athée stupide… »

Il est fondamental que tous les candidats à l’obtention du diplôme expriment leur croyance en la Divinité. Il est également fondamental que tous les candidats élus qui reçoivent le diplôme d’apprenti expriment publiquement leur croyance en la Divinité. Aucune loge n’accepterait la pétition d’un homme qui ne voudrait pas professer sa foi en la Divinité.

On nous enseigne qu’aucun athée ne peut devenir franc-maçon, et la raison invoquée est généralement que, faute de croyance en Dieu, aucune obligation ne peut être considérée comme contraignante. Les véritables raisons du refus des athées dans la Fraternité sont bien plus profondes. Nous ne sommes pas tout à fait exacts lorsque nous disons qu’aucune obligation ne peut être contraignante sans prêter serment. Nos tribunaux permettent à un Quaker de « déclarer » au lieu de prêter serment de dire la vérité, dans la mesure où la croyance religieuse d’un Quaker ne lui permet pas de prêter serment.

Cependant, un Quaker qui ment après avoir affirmé est passible de la même peine pour parjure que le fervent croyant en Dieu qui jure d’abord de dire la vérité et ne le fait pas ensuite. La loi tient pour véridique un homme qui affirme, tout comme celui qui jure de dire la vérité.

Aucun athée ne peut devenir franc-maçon, bien moins à cause du manque de force contraignante de l’obligation contractée par un tel incroyant, que parce que la Franc-Maçonnerie sait qu’un athée ne peut jamais être franc-maçon « dans son cœur ». Tout notre symbolisme est fondé sur l’érection d’un Temple au Très-Haut. Nos enseignements portent sur la paternité de Dieu, la fraternité des hommes fondée sur cette paternité et l’immortalité de l’âme dans une vie à venir. Un incroyant à tout cela ne pourrait en aucun cas être heureux ou satisfait dans notre organisation.

Il est possible d’élaborer de longues théories sur le mot, d’établir des distinctions subtiles, de citer des encyclopédies savantes et de produire un brouillard d’incertitude quant à la signification du mot « athée » aussi désespéré que stupide. Du point de vue de la franc-maçonnerie, un athée est un homme qui ne croit pas en la divinité. Cela soulève immédiatement une question beaucoup plus déroutante :

Cette question a tourmenté de nombreux érudits maçonniques et des milliers d’hommes moins avisés. Elle reste encore un sujet de perplexité pour beaucoup d’hommes qui craignent que l’ami qui leur a demandé de signer leur pétition soit un athée.

« Quelle est cette Divinité en laquelle l’homme doit croire ? »

Un tel Dieu anthropomorphe, dérivé de passages descriptifs de la Bible, complétés par des dessins d’artistes et cristallisés à une époque de foi simple, a donné une telle conception à beaucoup de ceux qui la trouvent adéquate.

C’est ici que surgissent tous les problèmes et inquiétudes. L’idée que l’homme se fait de Dieu diffère de l’homme lui-même, de son éducation, de sa formation religieuse initiale. Pour certains, l’image mentale de Dieu est celle d’un personnage imposant et vénérable, aux longs cheveux blancs et à la barbe flottante – le grand artiste Dore a ainsi représenté Dieu dans sa merveilleuse Bible illustrée. Une telle conception s’intègre naturellement dans un paradis aux rues dorées, où coulent le lait et le miel. Des anges vêtus de blanc font de la musique céleste sur des harpes dorées, tandis que la Déité juge entre le bien et le mal.

D’autres conçoivent la Déité comme un Esprit Lumineux, qui se déplace dans l’univers à la vitesse de la lumière, qui est « sans forme » parce que sans corps, mais qui est tout amour, intelligence, miséricorde et compréhension. L’homme qui croit au Dieu anthropomorphe décrit sa conception, puis demande au frère qui croit en un Esprit Lumineux :

« Crois-tu en mon Dieu ? »

Si la réponse est négative, le questionneur peut honnêtement croire que celui qui répond est athée. La divinité d’un scientifique, d’un mathématicien, d’un étudiant du cosmos au moyen du télescope et du témoignage de la géologie, peut-être ni anthropomorphe ni Esprit Lumineux, mais une puissance universellement répandue que certains appellent Nature ; d’autres Grande Cause Première ; d’autres encore Impulsion Cosmique.

Un tel homme ne croit pas au Dieu anthropomorphe, ni à Dieu en tant qu’Esprit lumineux. Dira-t-il athées ses frères qui croient ainsi  ? Ont-ils le droit de le qualifier ainsi ?

Pour le géologue, l’écriture de Dieu est gravée dans les roches et sur la terre. Pour le fondamentaliste, la seule écriture de Dieu est dans la Bible. Dans la mesure où le géologue ne croit pas à la chronologie de la vie de la terre telle qu’elle est décrite dans la Bible, le fondamentaliste peut traiter le géologue d’athée. A l’inverse, le géologue, convaincu que Dieu a écrit l’histoire de la terre dans les roches et non dans le Livre, peut traiter le fondamentaliste d’athée parce qu’il nie le témoignage clair de la science.

L’un est juste, et l’autre est tout aussi faux ! Aucun des deux n’est athée, car « chacun croit en Dieu qui le satisfait ! »

Vous rechercherez la Franc-Maçonnerie depuis  le Poème du Regius , notre document le plus ancien, jusqu’à la plus récente déclaration de la plus jeune Grande Loge ; vous lirez chaque décision, chaque loi, chaque édit de chaque Grand Maître qui ait occupé l’Orient Exalté, et vous ne trouverez nulle part un ukase selon lequel un frère doit croire au Dieu d’un autre homme. Nulle part dans la Franc-Maçonnerie d’Angleterre, de ses Provinces, ou des États-Unis et des Juridictions qui en dépendent, vous ne trouverez un Dieu décrit, catalogué, limité dans lequel un pétitionnaire doit exprimer une croyance avant que sa pétition puisse être acceptée.

Car la Franc-Maçonnerie est très sage, elle est vieille, vieille et la sagesse vient avec l’âge ! Elle connaît, comme peu de religions et aucune autre Fraternité ne l’ont jamais su, la puissance du lien qui réside dans la conception d’un Dieu illimité.

On a demandé un jour à un Français plein d’esprit : « Croyez-vous en Dieu ? » Il a répondu :

« Que veux-tu dire par Dieu ? Non, ne réponds pas. Car si tu réponds, tu définis Dieu. Un Dieu défini est un Dieu limité, et un Dieu limité n’est pas un Dieu ! »

Du point de vue de la franc-maçonnerie, un Dieu défini et limité n’est pas le  Grand Architecte de l’Univers.  Seul Dieu illimité par définition ; Dieu sans limites ; Dieu sous n’importe quel nom, quelle que soit sa conception, est le concept fondamental de la Fraternité, et croire en Lui est la condition fondamentale pour devenir membre.

Dans son diplôme de Fellowship, la Franc-Maçonnerie enseigne l’importance de la Logique. Il est parfaitement logique de dire que le fini ne peut pas comprendre l’infini ; un truisme aussi exact que de dire que la lumière et l’obscurité ne peuvent pas exister au même endroit au même moment, ou que le son et le silence ne peuvent pas être expérimentés au même moment. Un esprit qui peut comprendre l’infini n’est pas fini. Ce qui peut être compris par un esprit fini n’est pas infini. Par conséquent, il est logique de dire qu’aucun homme ne peut comprendre Dieu, puisque le seul esprit qu’il possède est fini.

Mais si un homme ne peut comprendre le Dieu en qui il doit exprimer sa croyance pour être franc-maçon, c’est évidemment le comble de la folie que de juger sa croyance à l’aune d’une compréhension limitée de la Déité. C’est la meilleure des raisons pour lesquelles la Franc-Maçonnerie ne fait aucune tentative de définition. Elle ne dit pas : « Voici ma conception de Dieu, croyez-vous en LUI ? » Elle ne dit rien, permettant à chaque requérant de penser à Lui de manière aussi limitée ou aussi infinie qu’il le souhaite.

L’agnostique dit franchement :

« Je ne sais pas en quel Dieu je crois, ni comment il peut être formé ou exister. Je sais seulement que je crois en quelque chose. »

La Franc-Maçonnerie ne lui demande pas de décrire son « quelque chose ». Si c’est pour lui ce qu’on peut appeler Dieu, aussi différent soit-il du Dieu de l’homme qui lui remet la pétition, la Franc-Maçonnerie ne lui demande rien de plus. Il doit « croire ». Comment il nomme son Dieu, comment il le définit ou le limite, quels pouvoirs il lui donne – la Franc-Maçonnerie ne s’en soucie pas.

Il est probable que la majorité de ceux qui professent l’athéisme se trompent dans la lecture de leurs propres pensées. Un athée peut être un homme honnête, un bon mari et père, un citoyen respectueux des lois, charitable et honnête. S’il en est ainsi, toute sa vie contredit ce que disent ses lèvres. Selon les mots du poète :

« Il vit par la foi que ses lèvres renie, Dieu sait pourquoi ! »

Bien des hommes ont réfléchi sur la foi, le ciel, l’infini et Dieu, jusqu’à ce que leur cerveau se soit affolé devant l’impossibilité de comprendre l’infini avec le fini, et qu’ils aient fini par dire avec désespoir : « Je ne peux pas croire en Dieu ! » Puis ils ont pris leur femme ou leur enfant dans leurs bras et y ont trouvé le bonheur, oubliant complètement le fait le plus profond, le plus simple de toutes les croyances et de toutes les religions : là où il y a de l’amour, là aussi il y a Dieu !

Mais la Franc-Maçonnerie ne va pas au-delà des paroles ou des écrits. Comprenant parfaitement que beaucoup d’hommes qui nient avec défiance l’existence de Dieu ne sont pas en réalité des athées « dans leur cœur », notre Ordre insiste néanmoins sur une déclaration de croyance claire. Il n’y a pas de compromis dans la Franc-Maçonnerie ; ses exigences ne sont ni nombreuses ni difficiles, mais elles sont strictes.

Ayant accepté la déclaration, la Franc-Maçonnerie ne demande cependant aucune précision. « Aucun d’entre nous ne devrait remettre en question une déclaration. » Il ne nous appartient pas de laisser notre cœur se troubler, car la conception de la Déité d’un pétitionnaire n’est pas la nôtre. Il ne nous appartient pas de nous inquiéter parce qu’il pense à son Dieu d’une manière qui ne nous satisferait pas. La Franc-Maçonnerie demande seulement une croyance en une Déité sans réserve, illimitée, indéfinie. Ses fils ne peuvent, fraternellement, faire moins.

Lorsque le grand schisme de la Franc-Maçonnerie prit fin en 1813, et que les deux Grandes Loges rivales,  les Modernes  (qui étaient les plus anciennes) et  les Anciens  (qui étaient le corps schismatique le plus jeune) se réunirent le jour de la Saint-Jean pour former la Grande Loge Unie, elles posèrent sur ce point une base solide pour tous les temps à venir. Cette déclaration fut plus tard faite à tous par cette Grande Loge Mère, la principale de tout le monde maçonnique :

« Quelle que soit la religion ou le mode de culte d’un homme, il n’est pas exclu de l’Ordre, à condition qu’il croie au glorieux Architecte du Ciel et de la Terre et qu’il pratique les devoirs sacrés de la moralité. »

Ce qu’un Maçon pense du glorieux Architecte, par quel nom il L’appelle, comment il Le définit ou Le conçoit, en ce qui concerne la Franc-Maçonnerie, peut-être un secret entre la Déité et son frère, gardé à jamais, « dans son cœur ! »