La rigueur est indispensable à la réussite d’une tenue maçonnique, c’est-à-dire à toute réunion de Francs-maçons. La rigueur est celles des mots, bien sûr, mais aussi celle des gestes, des attitudes, de tout, ce qui plus qu’il n’y paraît, est porteur de sens. Rien n’est indifférent, rien ne peut ni ne doit être laissé au hasard. Il ne s’agit pas de priver les participants de leur libre-arbitre, encore moins de faire d’eux des marionnettes, jouant une pièce imposée de l’extérieur. Il s’agit au contraire de donner à chacun l’envie de concourir à une forme de symbiose, compris ici comme l’association librement acceptée par chacune et/ou chacun, potentiellement différents, mais qui choisissent de s’associer pour un mutuel bénéfice.
Contrairement aux mots qui ont besoin de silence entre eux pour faire sens, la gestuelle ne laisse aucun espace silencieux ; tout est signifiant, que ce soit dans le mouvement ou que ce soit dans l’immobilité – il y a un silence impossible du corps qui, comme tout langage, a une fonction de dénomination.
La Franc-Maçonnerie donne des significations particulières aux attitudes, aux gestes du franc-maçon en tenue qui bouge, et même s’il ne bouge pas. Il est encadré par le rituel qui s’impose à lui par des impératifs verbaux, posturaux, matériels, contextuels, et chacun d’eux complète et précise le sens des autres.
Rien en cela n’est fortuit ou insignifiant.
C’est précisément dans l’exercice de ce rituel, et dans le cadre collectif d’une loge, que se manifestent les mystères, également appelés « secrets de la Franc-Maçonnerie ». Ces mystères ne se révèlent qu’à l’intérieur de chacun. Ils constituent l‘invitation permanente faite au maçon de se connaître lui-même. La rigueur et le sens des gestes rituels soutiennent donc activement cette démarche de connaissance de soi en structurant et en chargeant de sens l’expérience vécue durant la tenue.
La nature profonde de ces secrets prend racine dans l’expérience individuelle vécue durant le rituel. Cette expérience souligne le passage du « moi » au « soi ». L’exercice rigoureux du rituel, incluant la précision des gestes et des attitudes qui sont chargés de sens, est donc le cadre et un élément essentiel de cette expérience individuelle du sens. « Toute expérience est expérience du sens » et « Tout ce qui apparaît à la conscience… est sens ». Les gestes rituels, par leur caractère signifiant et non fortuit, participent directement à ce Heidegger a appelé cette « phénoménalité du phénomène » qu’est le sens.
L’égrégore est défini comme cet esprit de groupe constitué par l’agrégation des intentions, des énergies et des désirs de plusieurs individus réunis dans le même lieu et le même temps sacrés.
C’est précisément la rigueur collective des gestes et postures qui permet l’atteinte de l’égrégore. Chacun, même sans fonction particulière, est essentiel, et sa volonté de conformité au sens voulu par le rituel contribue à l’ensemble qui permet l’émergence de l’égrégore. Elle permet d’éviter que quiconque soit « décalé, asynchrone ou hors du rituel », assurant ainsi une unité et un alignement des intentions, énergies et désirs des individus. En donnant à chacun l’envie de concourir à une forme de « symbiose » – une association librement acceptée pour un bénéfice mutuel –, en assurant que chaque participant soit aligné et participe pleinement au rituel selon ses règles précises, cela empêche la dispersion ou la « destruction » de l’énergie collective.
Un seul participant décalé, asynchrone ou hors du rituel suffit à l’annihiler. Cela signifie que la négligence même d’un seul individu, peut détruire cet esprit de groupe.
Si l’on scrute les postures, elles ne sont pas que des gestes mais bien une attitude, un positionnement du corps tout entier. Rien de fortuit ici, rien qui ne soit insignifiant. C’est pourquoi, on ne saurait venir en Loge en jean et en polo. Il faut anticiper et être vêtu de manière appropriée, il s’agit de travail collectif sur un chantier. Certaines obédiences féminines ont réglé le problème en faisant de la robe une tenue solennelle que les Sœurs portent lorsqu’elles sont en Loge…
Il va de soi que certains gestes, comme celui consistant à se mettre «à l’ordre», ou celui dans la Chaîne d’Union, entre autres exemples, ont une portée majeure, qui justifie que l’on ne puisse y admettre l’approximation. Voyons cela plus en détail avec ces deux exemples sus-cités.
Être debout et à l’ordre
Debout et à l’ordre est l’attitude prise par les maçons sur la demande du Vénérable, notamment lors de l’ouverture et de la fermeture des travaux.

Cette stature précède toute prise de parole et/ou l’exécution des signes. En dehors des officiers, toute parole se fait debout et à l’ordre du degré de la tenue ou au signe de fidélité selon le rite. C’est une attitude immobile, alignée et silencieuse qui se montre aux autres, attestant de ce que le franciscain Duns Scot, au 13ème siècle, nommait déjà l’eccéité de chacun. « L’eccéité » désigne ce qui fait qu’un être humain est lui-même et non un autre, qu’il est distinct de tout autre être humain.
Comme l’écrit Merleau-Ponty dans Phénoménologie de la perception« Les sens, et en général le corps propre, offrent le mystère d’un ensemble qui, sans quitter son eccéité et sa particularité, émet au-delà de lui-même des significations capables de fournir leur armature à toute une série de pensées et d’expériences[1] ».
C’est pourquoi les officiers, lorsqu’ils parlent au nom du rituel, et non en leur nom propre, devraient rester assis.
Debout et à l’ordre, c’est ainsi que le franc-maçon se positionne, selon les usages, pour signaler qu’il demande la parole (parfois, il fait sa demande assis en levant la main ou en tapant dans sa main tendue ou non). C’est à l’ordre qu’il se déplace à l’intérieur du temple.
Dans les rites maçonniques, on est toujours debout face à une personne ou à un point cardinal, jamais dans une direction floue.
La verticalité, l’hominisation, la spiritualité, le questionnement sont constitutifs du « debout et à l’ordre » – posture d’ouverture sur la parole, concrétisation de la mémoire qui invite à l’accomplissement d’une transcendance. À chaque injonction du Vénérable « debout et à l’ordre », chaque franc-maçon présent, en se levant, s’érige, dans le temple, en médiateur du ciel et de la terre comme un axis mundi.
Comme l’expression « à l’ordre » l’indique, c’est une sortie du chaos, pour servir la maîtrise de la parole ou de l’écoute, c’est un ordonnancement du corps assurant le pouvoir de l’esprit sur tout désordre intérieur ; le corps, dans cette position, matérialisant symboliquement la rectitude de l’esprit et les pieds en équerre symbolisant la justesse des actions.
La mise à l’ordre du Grand Expert et du Maître des Cérémonies est particulière : pour se mettre à l’ordre, le Maître des Cérémonies cale la pointe de la canne contre son pied droit et tend son bras droit dans le prolongement de la ligne des épaules, puis « le frère Expert et le Maître des Cérémonies se font face, tiennent respectivement du bras tendu, l’épée et la canne d’ébène, qu’ils croisent en équerre au-dessus des trois grandes Lumières (le volume de la loi sacrée, l’équerre et le compas)[2] ».
Ne retenons, pour cet article, que la mise à l’ordre d’Apprenti au premier degré

C’est une posture immobile, debout, talons joints et pointes en équerre, la tête redressée, la main droite bloquant la gorge (au REAA, le pouce en équerre par rapport aux autres doigts), le bras gauche le long du corps, le regard droit.
Les pieds sont le réceptacle et le vecteur de toutes les énergies humaines venues d’en-haut. En médecine orientale, on admet que le pied, qui a la forme d’un germe, contient le corps tout entier, et qu’en lui est inscrit le devenir de l’homme.
La main droite[3] constitue un emblème de vérité et de fidélité,en même temps qu’un symbole de pouvoir. Dans le système hiéroglyphique égyptien, la main signifie «le principe manifesté, l’action, la donation, le labeur». On peut considérer la main sous la gorge comme le symbole du Principe Directeur d’Activité. De ce fait, la main droite, est le symbole de l’énergie positive efficiente : la force qui s’exprime du dedans vers le dehors.
Par conséquent, la main, et particulièrement le pouce constituent des instruments de la volonté et de la pensée. Le pouce est précisément l’expression de l’ego humain et reflète la partie corticale du cerveau, véhicule physique de la manifestation de la conscience, de la volonté et de la capacité à rationnaliser[4]. Le larynx, organe du Verbe, est appelé «la porte des dieux», ou «la porte qui garde l’entrée». Le pouce contre la gorge c’est la volonté de spiritualiser l’action.
Cette attitude permet de séparer symboliquement deux parties du corps :
1°/ la noble portion, qui contient la tête, siège de la raison et des affects, des facultés intellectuelles et spirituelles, naturellement inscrite dans un triangle, pointe en haut dirigée vers le ciel
2°/ les zones corporelles, sièges des passions (plexus solaire et parties génitales camouflées sous le tablier), symbolisées par un triangle pointe en bas dirigée vers la terre. Ainsi, celle qui doit travailler est protégée, par la conscience du geste, des influx considérés comme inférieurs, que l’on pourrait appeler « l’ego »[5].
Au RÉR et au RF traditionnel : le bras droit est relâché contre le buste, pas nécessairement à l’horizontale. Au RÉAA, dans la position à l’ordre, le larynx est entre le pouce droit et les quatre autres doigts serrés en équerre.
Aux ROS, RÉR, RAPMM, RF traditionnel : la main droite est sur le cœur, le pouce étant relevé en équerre, la main gauche pendante[6].

Le Due guard est la posture pour toutes les mises à l’ordre exécutée avant le signe pénal pendant l’ouverture et la clôture des travaux des trois premiers grades aux RY, Rite Standard d’Écosse ou Rite Écossais d’Écosse, dans les cas où le franc-maçon est autorisé ou invité à prendre la parole. Il passe par tous les signes (due guard + signe pénal) et se tient au signe de fidélité, le talon du pied droit à l’équerre dans le creux du pied gauche dirigé vers l’orient.
L’origine de la locution désignant cette mise à l’ordre est un mystère, toute filiation historique entre la Maçonnerie et l’Ordre du Temple étant improbable, malgré l’importante littérature romantique et fantaisiste à ce sujet.
En effet, le cri « Dieu garde ! » est un authentique cri de guerre et d’encouragement lors de la charge de certains « vrais » Templiers à l’époque de l’ordre, au même titre que « Dieu aide », « Beaucéant », « Madame Sainte Marie », etc. Les Templiers de la Maison Écossaise de Ballantrodoch (province d’Écosse) ont réutilisé phonétiquement le cri français, qui donna « Due Guard ». Il s’est retrouvé dans les loges du XVIIIe siècle en Irlande et en Écosse pour désigner le signe d’obligation d’apprenti. Il signifie, de toute façon, que le secret est bien gardé par l’apprenti qui se place, lui-même, sous la garde de Dieu.
Il existe beaucoup de variantes sur la posture exacte de ce signe. Par exemple : « tenez la main gauche un peu devant le corps et alignée avec le bouton du bas de la veste, la main ouverte et la paume tournée vers le haut. Maintenant, placez la main droite horizontalement sur la gauche à environ deux ou trois pouces au-dessus de celle-ci, en pronation [7]. »
ATTENTION, La posture de la mise à l’ordre est une posture immobile. Elle n’a pas le même sens que le signe pénal qui lui est un mouvement.
Le signe pénal ne complète que la posture à l’ordre par un mouvement traçant l’horizontale puis la verticale ; on dit qu’il se fait par équerre, niveau et perpendiculaire.
Il convient de distinguer ce geste en conscience. Il favorise l’éveil de la conscience et la concentration nécessaire à tout travail d’ordre intérieur. On peut mesurer l’efficacité du geste et du rite à l’attention qui lui est donnée dans son accomplissement, autant que par l’excellence de sa bonne exécution. Au premier degré, étant à l’ordre d’Apprenti, il se fait en glissant la main le long de la gorge, de gauche à droite, avant de laisser retomber le bras le long du corps, pour rappeler la promesse faite au cours de la cérémonie d’initiation : « Je préférerais avoir la gorge tranchée plutôt que manquer à mon serment. »
Ce signe, rappelant les serments[8] prêtés lors des différentes réceptions de grade, est un geste de synchronie discursive[9]. Plus qu’une pénalité en cas de manquement au serment, il correspond à un engagement vis-à-vis de soi-même.
Lors de l’ouverture des travaux, les Surveillants circulent pour vérifier l’appartenance des membres des colonnes au grade de la tenue. Au passage des Surveillants, debout et tourné vers l’orient, le franc-maçon effectue : au premier degré une simple mise à l’ordre ; aux deuxième et troisième, à l’ordre suivie par le signe pénal de son grade au passage des Surveillants.
Le signe pénal se fait lors de l’appel en loge, toujours précédé par la mise à l’ordre ; à la fin de chaque prise de parole (il est ponctué par l’expression : « J’ai dit ! ») ; lors des marches ; à chaque salutation des officiers lors de l’introduction en loge du Maçon quand les travaux sont déjà ouverts.
Ce signe pénal du 1er degré est considéré comme un signe de reconnaissance même en dehors du temple.
La Chaîne d’Union
Dans la plupart des rites, à la fin de chaque tenue, les frères (et sœurs) forment une chaîne en se tenant par les mains dégantées ; cette chaîne s’élargit idéalement à toute l’humanité. La Chaîne d’Union symbolise tout particulièrement la fraternité qui unit le franc-maçon d’une part avec tous les francs-maçons vivants, d’autre part avec tous ceux qui l’ont précédé et tous ceux qui lui succéderont. Il est à noter que la Chaîne d’Union illimitée vers l’avenir apparaît comme n’ayant, dans le passé, d’autre délimitation que le point qui correspondrait à l’origine même de l’espèce humaine. Elle place chaque participant dans la continuité de la Tradition.
Chaque maçon présent constitue un maillon. Dans une chaîne courte, les francs-maçons croisent leurs bras devant eux et prennent la main gauche de leur voisin de gauche avec leur main droite protégeant ainsi leur cœur. Idéalement, dans certaines obédiences, elle se pratique bras et jambes écartés, les pieds en contact ; chaque franc-maçon est alors une étoile pentagonale reliée aux autres – tous et toutes formant une constellation. Ces étoiles s’animent lorsque les bras se soulèvent par trois fois à l’injonction : « Quittons cette chaîne ! »
Se tenir la main ne suffit pas pour fluidifier l’énergie qui doit couler et traverser chacun, dans le cercle fermé. Ce qui est reçu doit être reversé dans le nœud des mains, rappelant ceux des lacs d’amour de la Houppe dentelée qui en constituent le symbole.
En magie, comme en magnétothérapie, la main gauche aspire l’énergie (en supination de l’avant-bras, la paume tournée vers soi), elle est censée la recevoir ; tandis que la main droite la dispense en restituant le don (en pronation, la paume de main tournée à l’opposé du visage). Chaque individu peut toujours se recharger en fonction de son propre rythme, pour peu qu’il sache se connecter à une source, qu’elle soit en lui-même ou hors de son corps physique.
Dans la Chaîne d’Union, le maçon est comme une pile avec ses polarités. Le cercle fermé – avec les francs-maçons mis en série entre leurs sœurs et frères – crée un champ magnétique au centre de la loge où chacun équilibre son énergie sur celle de l’ensemble des participants, « pas par le geste, mais par ce geste, ce geste fait de cette manière, avec cette ardeur, cette envie, cette application… ce respect ».
Le balancement des bras permet, à la fin de la chaîne, de couper en douceur ce flux, qui, trop précipitamment, pourrait donner une décharge électromagnétique.
Ce faisant, le cercle ainsi formé par les membres peut symboliser la fraternité universelle des maçons dans laquelle chaque initié est un maillon de la chaîne ; cette multiplication d’anneaux pouvant symboliser « la préservation de l’unité à travers la multiplicité ».
C’est l’inscription fraternelle du franc-maçon dans le « Grand Temps », celui des vivants, des morts et des pas encore nés. Ce temps cosmique est aussi symbolisé par le cordeau. Pour Bruno Étienne, « la fusion entre tous les êtres les fait participer à la totalité de l’énergie en réunissant le micro et le macro[10] ».
Dans une chaîne longue, on prend la main droite du voisin de gauche dans la main gauche.
Lors d’une cérémonie de réception, chaque nouvel apprenti se doit d’être encadré par deux participants aux travaux pour qu’ainsi lui soit transmis la posture et la position des mains.
Au Rite de Style Émulation, la Chaîne d’Union n’est pas matérialisée en se prenant par les mains. Elle réside, en fait, à l’ouverture comme à la fermeture des travaux dans les mots : « Unissez-vous à moi pour ouvrir la loge… » et « Unissez-vous à moi pour fermer la loge… »[11]
Au Rite d’York, la Chaîne d’Union n’apparaît qu’à partir du degré de Maçon de l’Arche Royale (première catégorie des Hauts Grades) et selon une connotation différente (en Écosse, ce grade se pratique toujours selon son origine, en loge bleue et en complément du grade de compagnon).
En mêlant nos souffles dans un espace clos, nous respirons, telle une chaîne d’union, les particules de notre être-ensemble qui transforment le moi en Nous.
Alors, comme l’a écrit, il y a vingt siècles, l’empereur mais aussi philosophe stoïcien Marc Aurèle dans Pensées pour moi-même Livre V, par. XVI p.78. « telles que sont le plus souvent tes pensées, telle sera ton intelligence, car l’âme se colore par l’effet des pensées. Colore-la donc par une attention continue… »
Vous retrouverez ce thème dans le livre de Solange Sudarskis « Interprétations de la théâtralité maçonnique », à paraître très bientôt aux éditions Le compas dans l’œil.
[1] Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception, Gallimard, 1945, p. 147.
[2]. Luc Néfontaine, La Franc-Maçonnerie : une fraternité révélée, Éd. du Cerf, 1990, p. 79-80.
[3]. La main droite, en hébreu iamin (ימין), est à rapprocher du mot « amen » (אמן) qui signifie être fidèle, être confiant. La main droite est la main bénissant active. La main gauche est la main de la réflexion et de la sagesse (non action).
[4]. Le blog de Anck 131, La gestuelle maçonnique, 4 février 2012.
[5]. « Nous avons la raison pour refroidir nos passions furieuses, nos élans charnels, nos désirs effrénés », W. Shakespeare, Othello, acte 1, scène 3.
[6]. Compléter avec l’article des p.13 à 19 de la revue Le symbolisme des rites, octobre 2024.
[7]. Duncan’s Ritual and Monotor of Freemasonry, Fig. 1. Duegard of an entered Apprentice
[8]. À propos du serment, lire la planche de Nicolas Roll, Autorité, Hiérarchie, Serment, 2008, sur le site de la loge maçonnique Cordialité et Vérité no 15.
[9]. Les éléments du discours sont autres que le noyau informatif du message, et ils travaillent à la constitution d’une structure discursive.
[10]. Bruno Étienne, Une voie pour l’Occident : la Franc-Maçonnerie à venir, Dervy, 2012.
[11]. Pierre-Philippe Baudel, Verbum Diminum.
Excellent rappel de la mise à l’ordre que l’on peut interpréter aussi par une « mise «en ordre » et toujours éviter les automatisme et prenant un léger temps d’arrêt avant de s’exécute , et cela en pleine conscience : hic et nunc. À préciser également que pour la chaîne dite courte, le VM est dans la même position que tous les autres FF ou SS pour permettre à l’énergie de circuler. On voit quelquefois le VM dans une position différente avec les FF à ses côtés mettant leurs mains sur ses épaules ce qui est une erreur car il n’est en rien à ce moment un transmetteur quelconque.
Article descriptif très intéressant mais pourquoi diable mêler l’électromagnétisme , l’énergie et les particules à la communication inter-humaine qui utilise des signifiants et des signifiés non verbaux comme la gestuelle et ainsi prendre le risque de décridibiliser le propos
Bien fraternellement
Bon rappel sur la gestuelle, toujours nécessaire.