mer 09 octobre 2024 - 06:10

La démarche maçonnique : une auto-formation à la sagesse, collective dans un cadre rituel !

Si aujourd’hui, l’audience de la franc-maçonnerie n’est pas à la hauteur de nos attentes, se désespérer n’est pas la solution ! Il est possible de mieux faire ! Comprendre pourquoi aujourd’hui nous ne jouons pas notre rôle et comment y parvenir, tel est l’objectif de cet article !

La démarche initiatique, telle qu’on peut la concevoir aujourd’hui, pourrait se comprendre comme une autoformation collective rituelle à la fraternité universelle !

C’est une auto-formation car pour l’essentiel c’est le travail de recherche personnel qui nous permettra d’acquérir une pensée claire, un comportement digne et une assurance respectable ! Rappelons que la franc-maçonnerie n’est pas un ésotérisme dans la mesure où nous n’avons pas de maître spirituel !

C’est une auto-formation collective car l’ensemble des membres de la loge suit le même cheminement avec des variantes bien sûr ; cette collégialité peut permettre une réelle entraide !

Une auto-formation rituelle car nous avons conscience qu’un rituel est un support qui facilite la réflexion !

Nous avons la chance de vivre à une époque où nous bénéficions à la fois de la connaissance traditionnelle et des considérables savoirs contemporains ; bien qu’il reste encore énormément de découvertes à faire, l’ensemble des savoirs mis à notre disposition nous permet, théoriquement, d’acquérir cette sagesse que tout un chacun recherche.

Mais en réalité, les êtres humains, trop préoccupés d’acquérir de la richesse et de consommer, n’ont pas accès aux savoirs. Certains cependant sont demandeurs !

C’est une des spécificités de la loge maçonnique que d’offrir un lieu, une méthode et la possibilité d’accéder à la connaissance  et à la Sagesse !

Encore faut-il que cela se fasse convenablement.

L’histoire de la franc-maçonnerie pourrait se résumer en l’histoire des biais qui ont rendu le projet initial « problématique ».

Pendant ce temps-là, le monde a changé ! Aujourd’hui, le chaos règne ! Il règne à un niveau tel que la survie sur notre planète est remise en question !

Ce monde a besoin de Paix et de Raison, c’est aussi le sens de la démarche maçonnique ! Cela n’est pas facile car les êtres humains sont biologiquement des prédateurs !

Quel peut être l’intérêt aujourd’hui de se réunir dans un lieu clos ?

  • Singer les religions ?
  • Faire tourner les tables et voir apparaître les défunts ?
  • Devenir des zombis ?
  • Prédire l’avenir ?
  • Obtenir la martingale du succès et de la richesse ?
  • Se soumettre à l’autorité pour espérer avoir le 33e cordon ?

Il y a mieux à faire : rechercher cette Sagesse qui nous permettra de Vivre dans l’Harmonie et dans la Paix ! 

Dans la définition de la Sagesse, la fraternité universelle tient une grande place !

C’est elle qui nous permet cette approche bienveillante, cette capacité d’écoute et ce respect qui nous incite à ne pas ressentir de haine, d’être foncièrement pacifiste et de savoir pardonner les offenses qui pourraient nous être adressées !

La Sagesse, c’est aussi la recherche de la Paix !

Paix dans nos pensées, paix sociétale aussi ! C’est aussi cette paix sociétale que recherchaient les initiateurs de la franc-maçonnerie anglaise et nous y reviendrons.

Si la démarche maçonnique a encore un sens aujourd’hui, après plus de trois cents d’existence, c’est parce que la raison d’être de sa création demeure.

À la création de la franc-maçonnerie :

À la fin du XVIIe siècle, dans une Angleterre déchirée par les querelles entre les différentes sectes religieuses, le besoin de renouer le dialogue et d’apaiser les tensions ont été les raisons premières de ce mouvement philosophique qui se concrétisa par la création de la première obédience, première Grande Loge, à partir de quatre loges fondatrices.

Pour différentes raisons, ce mouvement s’accompagna d’une complexification du fonctionnement de cette obédience et des loges, avec l’apparition de nouveaux rituels, l’apparition de différentes dissidences et au total une réelle désunion de la dynamique maçonnique initiale.

Toujours est-il, qu’au fil des ans, ce mouvement pour la Paix, eut à affronter des situations particulièrement dramatiques avec les guerres mondiales, la colonisation, les crises économiques et tous les problèmes inter-régionaux.

Aujourd’hui

D’une certaine manière ne serions-nous pas aussi dans une situation similaire à celle de l’Angleterre du XVIIe siècle ?

Objectivement, nous vivons en 2022 dans une perspective qui s’annonce dramatique : guerres, crise environnementale, pauvreté extrême dans certains continents !

Cette démarche maçonnique pour la Paix est d’autant plus nécessaire !

L’initiation est l’acte qui permet d’entrer dans ce processus ! C’est un engagement à œuvrer pour réaliser cette entente sociétale qui fait tant défaut !

Comment lui donner une réelle efficacité tel est l’objectif de cette réflexion !

Plus de trois cents ans d’histoire amènent forcément à revoir le film des événements !  Toute entreprise humaine est sujette aux risques liés à des situations conflictuelles internes et externes.

Les obédiences maçonniques, qui sont responsables pour l’essentiel du fonctionnement des loges, ont eu à les connaître. Tout cela est riche d’enseignement.

Un préalable : une liberté reconnue

Un des enseignements de notre propre histoire n’est-il pas de constater l’inanité d’un dirigisme qui voudrait être imposé à tous ?

Que ce soit en loges ou au niveau obédientiel, la recherche du consensus doit être privilégié.

La liberté c’est aussi accepter des manières d’être différentes pour peu qu’elles respectent d’autres façons de faire.

Plusieurs approches de la démarche initiatique peuvent co-exister sans être antinomiques ! L’important c’est que chacune prône ce « vivre ensemble » fait de tolérance, d’une recherche d’harmonie et de Paix.

Améliorer le fonctionnement des obédiences

Chaque obédience a une histoire et il est compréhensible que celles et/ou ceux qui en font partie veuillent préserver leur spécificité.

Si l’objectif est de rassembler les obédiences afin qu’une certaine mutualisation améliore leurs fonctionnements, il est clair que le mode fédéral est le plus adapté.

Une fédération d’obédiences pourrait permettre une progressivité, un apprentissage et une consolidation.

  • Progressivité dans la mise en commun d’activités pour potentialiser les solutions !
  • Apprentissage de la connaissance mutuelle, du partage possible et de la mise en place de nouveaux outils collaboratifs.
  • Consolidation : étape après étape on peut espérer que cette organisation fédérale améliore la confiance et les services rendus.

Chaque obédience conserverait son organigramme et seuls les domaines délégués seraient gérés par la structure fédérale ; un service pourrait être créé pour gérer les relations entre les différentes obédiences, proposer des initiatives et anticiper les évolutions.

L’idéal serait que cette mise en commun concerne toutes les obédiences européennes.

Améliorer le fonctionnement des loges

Ce pourrait être une des préoccupations du regroupement fédéral.

Premier défi : la formation des officiers de la loge

C’est un des constats que nous pouvons tirer de notre histoire commune : sachant le rôle crucial que jouent les officiers ou officières d’une loge, il est indispensable, pour qu’une loge bénéficie d’une dynamique de groupe, qu’ils soient correctement formés.

Cette formation pourrait se faire sous forme de cinq week-end de formation étalés tout au long d’une année.

Deuxième défi : Étudier la pertinence d’outils collaboratifs destinés à faciliter l’émergence de l’intelligence collective.

Troisième défi : Étudier l’opportunité de créer d’autres formes de réunion maçonnique pour s’adapter aux réalités sociales. Si la tenue maçonnique avec sa mise en scène du rituel est un temps majeur dans notre démarche, d’autres modes de réunion peuvent se concevoir pour différentes raisons :

  • Mieux se connaître ;
  • Evoquer des questions techniques méthodologiques ;
  • Mettre en œuvre les formations ;
  • Garder un lien malgré l’éloignement ;
  • Permettre une pré-adhésion pour mieux découvrir ce qu’implique la démarche maçonnique;
  • Permettre une post-adhésion pour garder un contact dans des situations de relatif éloignement pour des raisons médicales ou autres.

Plusieurs formes de réunion peuvent être élaborées, chacune seraient liées à une problématique particulière.

Devenir franc-maçon aujourd’hui a un sens : essayer d’acquérir cette sagesse qui donnera un sens à notre vie !

Cette démarche est aussi un élément de réussite de la paix sociétale !

La démarche maçonnique est ainsi une réponse à une attente sociétale pour créer les conditions d’une Paix durable !

Dans ce sens, la vie en loge est une épreuve : si celles et ceux qui ont la responsabilité d’animer la vie en loge ne sont pas capables de créer la paix et l’harmonie dans la loge, c’est qu’ils ne sont pas à leur place et une phrase du rituel nous le rappelle : « Malheur à celle ou celui qui accepte une charge qu’il ou elle n’est pas capable d’assumer ! »

La difficulté de réussir est évidente !

De nombreux articles dans ce site évoque les pièges dans lesquels nous pouvons nous immobiliser. Citons en particulier :

Il existe une saine compétition entre les loges et entre les obédiences pour réussir ce pari et seul l’avenir dira la méthode qui semble la plus performante !

Nous sommes convaincus que l’offre maçonnique peut trouver un écho dans la jeunesse mais encore faut-il que nous puissions la rendre attractive et cohérente avec les connaissances dont nous disposons !

Faire de la loge, un lieu où l’harmonie, la Joie et la Responsabilité doivent pouvoir faire émerger un réel consensus et une réelle fraternité et être un modèle de paix sociale tel pourrait être le credo d’une franc-maçonnerie moderne décomplexée et dévoilée !

Si cette démarche peut intéresser votre loge, nous sommes à votre disposition pour vous aider à la mettre en oeuvre !

13 Commentaires

  1. Nous n’avons, à distance, que nos “pauvres” mots pour échanger” : sans la voix, le ton, le regard, le sourire – bref tout ce qui fait “l’humain” – nous aboutissons trop souvent dans nos écrits à des contradictions, à des “mal-entendus” ( ce que j’ai dit, ce que je crois avoir dit, ce que j’ai voulu dire, ce que l’autre a compris…). Ainsi la plupart des “critères de qualité” que notre frère propose dans son encadré pour le bon fonctionnement d’une loge me font frémir tant s’y dessine – dans leur raideur – un “maçon robotisé”, une sorte de produit jetable après 65 ans! La vision d’une chaine d’union de soldats de plomb qui s’en dégage me donne envie de dire : “Et le rire, la poésie, la tendresse, l’Amour dans tout çà?! Je suis sûr que notre frère, médecin de surcroît, les possède! Dans leur expression même, dans “le souci de l’Autre”, là sont les vrais critères qui rendent l’Homme encore plus Homme! GG

    • MTCF tout est possible et au final c’est aux loges de décider leur manière de fonctionner ; rien n’est imposé ; l’évaluation est un principe de rigueur scientifique qui permet de quantifier autant que faire se peut le résultat d’une pratique ! Ce n’est pas l’évaluation qui décide de la méthode ! En avoir peur peut sembler puérile ! Bien sûr il est fréquent que des soeurs et frères ne voient dans la vie de loge qu’un bon moment passé entre copains, copines à refaire le monde et à se raconter des histoires drôles ! Cela existera toujours mais peut-être que d’autres sont plus exigeants et souhaitent emprunter cette recherche de la sagesse qui n’est pas facile et qui implique un travail et une émulation (d’où le nom du rite) ! Fraternité

  2. “La saine compétition” en maçonnerie – expression que je pointe dans le texte ci-dessus – ne m’incite à aucun procès d’intention mais au constat d’un triste oxymore qui – même lu lentement – n’a vraiment rien de subtil! Loin d’engendrer l’excellence, le concours entretient en loge la jalousie! Quand l’ego nuit à l’égal… GG

  3. Lire la suggestion “d’une saine compétition entre les obédiences” est consternant. Celles-ci, poursuivant le même but humaniste doivent être au service des loges et pas l’inverse! Tant que les Obédiences ( du dangereux verbe Obéir!) seront concurrentes et trufferont leurs Constitutions d’interdits divers ( notamment en forme de “police d’appartenance” !) la franc-maçonnerie française du XXIème siècle ne constituera pas la véritable “force sociétale et sociale de proposition” unitaire qu’elle fut et qu’elle devrait toujours être! L’union fait la force et la désunion une faiblesse!
    En termes symboliques : Ce n’est pas le tablier qui fait le tailleur de pierres ni le degré d’un vin le nectar!

    • Si l’article fait la proposition d’une fédération d’obédiences c’st bien que nous sommes conscients que seule l’entente est à privilégier ! Me faire un faux procès sous prétexte que j’évoque une saine compétition n’est pas très fondé mais enfin … passons ! La saine compétition se définit comme la compétition dans la recherche de l’excellence ; elle fait partie de la nature humaine ! Elle ne serait plus saine si cela devait s’accompagner d’une volonté de nuire ou de ne plus rester dans l’esprit d’équipe ! La subtilité de la lexicographie échappe parfois à une lecture trop rapide !

  4. Cela me semble effectivement être la base de la démarche : que venons nous faire en maçonnerie ? Pour moi il est clair après 30 ans de pratique qu’il co-existe deux voies. Guénon dirait exotérique et ésotérique. Une voie spiritualiste et une voie humaniste. Je ne porte aucun jugement sur l’une ou sur l’autre. Elles pourraient très bien se reconnaître comme telles et vivre fraternellement cote à cote. En revanche je ne comprends toujours pas en quoi une superstructure est “toujours indispensable ” puisque c’est le noeud du problème récurrent : les poissons pourrissent par la tête, disent les chinois ! L’économie nous montre que très vite la mutualisation devient une usine à gaz qui créé sa propre raison d’être et perd de vue (volontairement ou pas ) sa vocation première. Big is not beautiful !

    • C’est effectivement difficile mais à ce jour aucune organisation ne fonctionne sans ce que l’on pourrait appeler une “autorité” ! Bien sûr il y en a de toutes sortes et elle n’est qu’un élément du puzzle ! Il me semble que nous avons gardé un mode de fonctionnement des siècles passés sans prendre le temps de réfléchir à le faire évoluer au rythme de nos connaissances et puis il y a tout ce qui est foncièrement créé pour que cela ne marche pas ! Alors, il faut être fataliste et espérer que nos conseils de l’ordre comprennent qu’avec un petit effort on peut trouver une solution qui convienne à tout le monde y compris les exclus des uns et des autres ! Le rejet des obédiences part d’un bon sentiment mais au final on cultive l’entre-soi qui offre une perspective plutôt limitée ! Nous avons un projet génial que l’on n’a pas su “vendre” et aujourd’hui on se querelle comme des chiffoniers pour des détails ! Pour arrêter la spirale du découragement, je suis convaincu que le mouvement partira des loges : qu’elles prennent des initiatives, qu’elles ouvrent les fenêtres et tout s’éclairera ! Fraternité !

  5. Mon TCF,

    Je trouve cocasse de dire que je diabolise au moment où tu me traite de politicien ! La majorité des frères que je rencontre font à peu de chose prêt le même constat que toi. Là où nous divergeons, c’est dans les solutions à apporter. Pour moi, cela ne peut passer que par la disparition des obédiences sclérosées et incapables de se transformer : on ne peut pas trouver des solutions avec les équipes qui sont à l’origine des problèmes. Les loges peuvent trouver des intérêts à former une fédération d’affichage mais elles n’ont pas besoin d’obédiences telles celles que nous connaissons qui sont devenues des nids d’égos parce que le pouvoir (même imaginaire) attirent irrémédiablement les gens de pouvoir comme les mouches ….. Ce sont les loges qui doivent être attractives localement, pas les bureaux parisiens …..

    • Je te rejoins mtcf quant à la pertinence de modes de fonctionnement anciens qui ne sont plus adaptés à notre époque mais malgré tout une superstructure est toujours indispensable ne serait-ce que pour mutualiser un certain nombre de tâches. Le diagnostic est relativement aisé mais élaborer des solutions crédibles est beaucoup plus ardu ! Ma réflexion a été de partir du “pourquoi” avant d’arriver au “comment” ! Pourquoi existons nous ? Pour quel rôle ? Nous ne sommes ni des religieux, ni des experts en sciences humaines, ni des politiques, ni des mystiques : il me semble qu’être des sages en devenir pourrait convenir à tout le monde !

  6. Cet article rejoint tout à fait mes convictions et préoccupations. Les 3 défis énoncés sont essentiels. J’aimerais pouvoir écrire que cette démarche intéresse ma Loge mais je ressens un tel poids, une telle pesanteur. Et je pense que nous sommes plutôt dans les 75% de plus de 65 ans avec un bon taux d’ absentéisme. Je n’ai que 5 ans et j’ai beaucoup de travail sur ma pierre qui m’occupe. Mais je ne suis pas optimiste sur l’avenir de ma Loge. Et je ne vois pas d’espace, de cadre, de lieu où poser mes questions, mes inquiétudes. C’est un peu : “tais-toi et travaille !” Bon. Oui mais …

    • Merci mtcs Claire pour ton message si émouvant ! Après près de 45 ans d’ancienneté dans la maison je te dirais ne te décourage pas pour la simple raison que la démarche maçonnique ne se résume pas à ce qui se passe en loge ! Travailles, lis, écoute, et aussi prends du recul sur ce que tu vois ! Ton 1er objectif avec bienveillance prendre tes soeurs et frères comme ils sont sans exigence ! Tu verras tout se passera bien ! la FM est une extraordinaire expérience et une école de sagesse ! Tu vas y arriver ! Nous sommes là pour t’aider si nécessaire !

  7. Penser que l’avenir de la FM est dans la meilleure organisation des structures fédérales est totalement profane ! La FM est et restera le fait des maçons dans leur travail en loge. Voir une obédience faire du racolage publicitaire montre à quel niveau de déchéance ses chefs sont tombés. La démarche suggérée est celle d’un parti politique ou d’un club de réflexion ou think tank. Si les maçons ne sont plus capables de coopter autour d’eux les futurs maçons, alors c’est qu’elle a fait son temps et doit disparaître pour que naissent d’autres ateliers de l’Esprit. Ne reportons pas sur l’Autre la responsabilité de ce qui nous arrive.

    • Dans mon esprit ce n’est pas seulement un problème d’organisation ! C’est une réflexion que je soumets pour répondre aux inquiétudes que l’on peut percevoir ! Ce n’est pas grave si vous n’y voyez aucun intérêt ! PS : Il n’est peut-être pas nécessaire de “diaboliser” une réflexion pour la rejeter ! Cela c’est vraiment une habitude de politicien !

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Alain Bréant
Alain Bréant
Médecin généraliste, orientation homéopathie acupuncture initié en 1979 dans la loge "La Voie Initiatique Universelle", à l'orient d'Orléans, du GODF Actuellement membre d'une loge du GODF à l'orient de Vichy Auteur sous le pseudonyme de Matéo Simoita de : - "L'idéal maçonnique revisité - 1717- 2017" - Editions de l'oiseau - 2017 - "La loge maçonnique" - avec la participation de YaKaYaKa, dessinateur - Editions Hermésia - 2018 - "Emotions maçonniques " - Poèmes maçonniques à l'aune du Yi King - Editions Edilivre - 2021

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