mer 30 octobre 2024 - 07:10

Questions et mot de passe du Maître maçon

De notre confrère thesquaremagazine.com

Le Troisième Degré de la Franc-Maçonnerie est appelé le Degré Sublime et ce titre est tout à fait justifié. Même dans son aspect exotérique, son pouvoir simple, mais dramatique, doit laisser une impression durable dans l’esprit de chaque candidat. Mais sa signification ésotérique contient certaines des instructions spirituelles les plus profondes qu’il soit possible d’obtenir aujourd’hui.

Même l’homme moyen, qui est entré dans l’Artisanat avec peu de conscience de sa véritable antiquité et avec la solennité de celle-ci, son plus grand degré.

C’est dans sa franchise et son apparente simplicité que réside son immense pouvoir.

L’exotérique et l’ésotérique sont entrelacés d’une manière si merveilleuse qu’il est presque impossible de séparer l’un de l’autre, et plus on les étudie, plus on se rend compte de la sagesse profonde et ancienne qu’ils cachent.

Il est en effet probable que nous ne maîtriserons jamais tout ce qui se cache dans ce degré jusqu’à ce que nous traversions en vérité cette réalité dont il est une allégorie.

Les deux degrés qui précèdent, aussi grands et beaux soient-ils, ne sont que la formation et la préparation au message que le Troisième Degré contient dans presque chaque ligne du rituel.

Ici, nous apprenons enfin le véritable but de la Franc-Maçonnerie. Ce n’est pas simplement un système de moralité voilé d’allégorie et illustré de symboles, mais une grande aventure, une quête de ce qui a été perdu ; en d’autres termes, la Quête Mystique, le désir de l’Âme de comprendre la nature de Dieu et de parvenir à l’union avec Lui.

Les hommes sont très différents les uns des autres ; certains sont attirés par les enseignements les plus profonds, tandis que d’autres recherchent uniquement des instructions plus simples et plus directes.

Mais il n’y a guère d’homme qui n’ait pas, à un moment ou à un autre, au milieu du tumulte et des distractions de ce monde matériel, ressenti un désir étrange et inexplicable de savoir pourquoi il a été envoyé ici, d’où il est venu et où il va.

À ces moments-là, il se sent comme un vagabond dans un pays étranger, qui a presque oublié son pays natal, parce qu’il l’a quitté il y a si longtemps, mais qui se rend vaguement compte qu’il est un exilé, et désire ardemment un message de ce pays qu’il a connu autrefois.

C’est la voix de l’Étincelle Divine dans l’homme qui appelle à l’union avec la Source de son être, et à de tels moments, le Troisième Degré porte avec lui un message que jusqu’alors, peut-être, le frère n’avait pas réalisé.

Les véritables secrets sont perdus, mais on nous dit comment et où les trouver. La porte de la mort ouvre la voie vers le point, à l’intérieur du cercle, où l’esprit désireux trouvera la paix dans les bras du Père de tous.

Ainsi, on verra que le Troisième Degré frappe une note plus solennelle que celle de la mort elle-même, et j’ai essayé dans ce petit livre de transmettre sous forme schématique une partie au moins de ce sublime message.

Comme dans mes livres précédents, je reconnais volontiers que je n’ai pas couvert tout le sujet. Non seulement il serait impossible de le faire dans un livre de cette taille, mais en le faisant, j’aurais contrecarré l’un de mes principaux objectifs en écrivant, à savoir inciter les autres à étudier par eux-mêmes et à s’efforcer de trouver dans nos cérémonies des significations plus profondes et plus approfondies.

Le succès des premiers livres montre clairement que mes efforts n’ont pas été vains et que les frères sont plus que désireux de sonder le sens profond des cérémonies que nous aimons tous tant.

Ce livre complète la série traitant de la signification des trois degrés d’artisanat, mais leur popularité m’a convaincu que l’expérience de produire un petit manuel peu coûteux était complètement justifiée.

J’ai donc été encouragé à écrire d’autres volumes, et le prochain de la série sera un aperçu de l’histoire de la franc-maçonnerie « depuis des temps immémoriaux ».

Chapitre 1 – Questions et mot de passe

Ceux de nos Frères qui ont lu les deux livres précédents de cette série n’auront pas besoin de beaucoup d’aide pour comprendre la signification des questions qui sont posées au candidat avant d’être soulevées.

Pratiquement toutes les questions ont été traitées en détail dans les livres précédents ; la majorité d’entre elles sont tirées d’incidents survenus dans les cours et le tableau de traçage, et comme ce dernier a été expliqué en détail, nous ne retiendrons pas longtemps nos lecteurs.

Le mode de préparation au Second Degré mettait l’accent sur le côté masculin qui le caractérise.

L’admission sur un carré indiquait que le candidat avait profité de la formation morale reçue au Premier Degré, et que sa conduite avait toujours été sur un carré.

Il y a cependant une profonde signification ésotérique dans la platitude apparente selon laquelle il s’agit de la quatrième partie d’un cercle.

Chez toutes les nations antiques, le cercle est le symbole de Dieu l’Infini, dont nous avons découvert le nom au Deuxième Degré dans la Chambre du Milieu, où nous avons appris qu’il était composé de quatre lettres.

Ainsi le Candidat était admis sur une lettre du Nom Mystique, et si les quatre carrés sont unis au cercle d’une manière particulière, ils forment la croix cosmique, emblème de la matière, dans le cercle de l’Infini.

Nous avons si longuement considéré dans le dernier livre ce que signifient les mots « Mystères cachés de la nature et de la science » que nous n’avons besoin ici que de renvoyer nos lecteurs à cette section, où nous avons vu que dans les temps anciens ces mystères cachés se référaient sans aucun doute à certains pouvoirs occultes, qui seraient dangereux s’ils étaient acquis par un homme qui n’aurait pas prouvé qu’il était de la plus haute moralité.

Le « salaire » que nous recevons consiste en le pouvoir de comprendre la nature de Dieu, qui réside dans la chambre médiane de l’âme de chaque franc-maçon.

Le Compagnon reçoit son salaire sans scrupule ni méfiance car le bénéfice spirituel qu’il reçoit de la Franc-Maçonnerie est exactement proportionnel à son désir et à sa capacité à comprendre sa signification intérieure.

Il ne peut recevoir ni plus ni moins que ce qu’il a gagné, car s’il n’a pas compris la profonde leçon de la Divinité en lui, il ne peut naturellement pas en bénéficier.

Ses employeurs sont la Divine Trinité, dont la Justice est l’un des attributs les plus remarquables. Dieu ne pouvait pas être injuste et rester Dieu.

Cette conception est presque une platitude, mais l’homme moyen, tout en réalisant que Dieu ne refusera aucune récompense méritée, est parfois enclin à supposer que parce que Dieu est amour, Il nous récompensera plus que ce que nous méritons.

C’est clairement une erreur, car Dieu ne pourrait pas être partial sans cesser d’être Dieu, donc le Compagnon reçoit exactement le salaire Spirituel qu’il a gagné, et ni plus ni moins, mais certains Compagnons obtiendront néanmoins une récompense plus grande que d’autres, parce qu’ils l’ont gagné spirituellement.

La signification des noms des piliers a été expliquée dans le dernier livre, mais compte tenu de la nature du Troisième Degré, il semble opportun de souligner une fois de plus que leur signification kabbalistique secrète est ;

(1) Fortifié par toutes les vertus morales,
(2) vous êtes maintenant correctement préparé,
(3) à subir cette dernière et plus grande épreuve qui vous prépare à devenir un Maître Maçon.

Ainsi nous voyons que même les paroles des degrés précédents conduisent à celui-ci, le dernier et le plus grand.

Comme dans le cas précédent, la remarque du WM qu’il posera d’autres questions s’il le souhaite indique la possibilité pour les membres de la Loge de poser des questions basées sur les Conférences du Second Degré, ou même sur le Tableau de Traçage.

Il est en effet dommage que ce droit ne soit pratiquement jamais exercé. Par exemple, une question particulièrement appropriée serait : « Quel était le nom de l’homme qui a coulé les deux grands piliers ? »

Tel qu’il est, le Candidat représente de façon dramatique les derniers incidents de la vie de ce grand homme, dont il n’a jusqu’alors guère eu l’occasion de se rendre compte de l’importance.

Après avoir répondu à ces questions d’examen, le candidat se voit à nouveau confier un mot de passe, etc., pour lui permettre d’entrer dans la Loge après qu’elle ait été élevée au Troisième Degré pendant cette absence temporaire.

Nous avons expliqué dans le livre précédent que l’élévation d’une Loge doit modifier les vibrations des personnes présentes par un processus bien reconnu dans les cérémonies de Magie, et, pour permettre au Candidat de se mettre rapidement en harmonie avec ces vibrations spirituelles supérieures, un mot de « pouvoir » lui est donné, qui en un instant le place sur le même plan que les autres membres de la Loge.

Cette parole, il doit la prononcer, non seulement devant la porte de la Loge, mais aussi immédiatement avant sa présentation par le SW comme « convenablement préparé pour être élevé au Troisième Degré ».

C’est seulement après que cela a été fait que commence la véritable cérémonie du Troisième Degré, en ce qui concerne le Candidat, et donc que toute la force des vibrations des Maîtres Maçons entre en jeu.

Le mot de passe lui-même est d’une importance capitale, surtout lorsqu’il est associé au mot de passe menant du premier au deuxième degré. Autrefois, les mots de passe étaient inversés. TC étant le mot menant au deuxième degré, et Sh… . le mot menant au troisième.

Il en est encore ainsi dans les Grandes Loges étrangères, comme la Hollandaise et la Française, qui nous sont venues avant 1740, lorsque les paroles furent modifiées à la suite de certaines révélations non autorisées.

Cette modification fut l’un des griefs légitimes qui provoquèrent la sécession des soi-disant « Anciens », qui accusèrent la Grande Loge de modifier les Anciens Monuments.

Lorsque les Irlandais ont suivi notre exemple, ils ont continué l’interdiction de l’introduction des métaux jusqu’au Troisième Degré, ce qui est une procédure logique, car il est clair que vous n’avez pas le droit de les introduire en Loge avant d’avoir été symboliquement présenté au premier artisan de ce matériau.

Telles que les paroles sont rédigées, elles véhiculent la leçon spirituelle suivante : – le Compagnon est celui qui trouve que les nécessités simples de la vie, comme le blé et le vin, suffisent à ses besoins.

Elles sont abondantes pour l’homme spirituel, dont l’âme est obstruée et entravée par l’acquisition de biens matériels et comme il est difficile pour un homme riche d’entrer dans le Royaume des Cieux, immédiatement le candidat a symboliquement reçu des biens matériels, il est tué.

Tubal Caïn transmet la leçon selon laquelle les possessions matérielles en elles-mêmes apportent la mort à l’âme et empêchent sa progression vers le haut.

Aujourd’hui, le fleuve de la mort associé au mot de passe menant au Deuxième Degré a largement perdu sa signification, alors que lorsqu’il était un mot de passe menant au Troisième, il était en soi une belle allégorie.

Il faut se rappeler que « Le voyage du pèlerin » de Bunyan était bien connu et largement lu au début du XVIIIe siècle, et ceux qui réorganisaient nos rituels à cette époque ne pouvaient pas ignorer la similitude de l’allégorie cachée dans le mot Sh. et le récit de Bunyan de la traversée à gué de la rivière de la mort par Christian en route vers la Ville Sainte.

Le changement d’environ 1740 a détruit cette allégorie, et sa survie dans le Tableau de traçage n’est plus qu’une de ces nombreuses notes de bas de page qui, pour l’étudiant attentif, sont des indications inestimables des diverses transformations par lesquelles notre rituel est passé au cours des années.

Néanmoins, je ne regrette pas le changement, car je pense que la leçon spirituelle actuelle est encore plus belle que la précédente, mais l’autre arrangement était plus logique.

Premièrement, du point de vue pratique, le Compagnon avait besoin d’utiliser des outils en métal pour accomplir ses tâches opératoires et, au cours de son travail, il acquérait des biens matériels, contrairement à l’Apprenti Entré, qui ne faisait que des travaux grossiers et ne recevait que de l’entretien : c’est-à-dire du blé, du vin et de l’huile.

Deuxièmement, du point de vue symbolique, la séquence était également plus logique, car le Compagnon, ayant acquis la richesse grâce à son habileté, était amené au fleuve de la mort et le traversait au Troisième Degré.

Selon le frère Sanderson, dans son « Examen du rituel maçonnique », la traduction réelle du mot hébreu Sh. est un « épi de blé ou une chute d’eau » – d’où la manière dont il est représenté dans une loge de compagnons – tandis que le mot Tubal Cain en hébreu signifie seulement un forgeron, bien qu’un autre mot prononcé de la même manière signifie acquisition. Ainsi, comme il le souligne, « un titre allégorique a été pris, dans la traduction de l’Ancien Testament, pour le nom d’une personne réelle, car le nom lui-même signifie « un ouvrier dans les métaux ».

Le lien avec Hiram Abiff est donc évident. Fr. Sanderson, citant la « Discipline secrète » de SL Knapp, dit : « Dans un ouvrage sur l’histoire ecclésiastique ancienne, on trouve ce qui suit : « Par un plasus linguae singulier, les modernes ont substitué Tubal Caïn au troisième degré à tymboxein – être enseveli ».

Bien que je ne sois pas en mesure de dire si Knapp est justifié dans cette affirmation, il est tout à fait probable que ce mot de passe, et en fait tous les mots de passe, sont des substituts relativement modernes, tirés de la Bible pour remplacer d’anciens mots de pouvoir dont le sens complet a été perdu et dont la forme en conséquence est devenue corrompue et inintelligible.  

Le mot grec tymboxein conviendrait particulièrement bien à un mot de passe menant au Troisième Degré, compte tenu de sa signification, et les cérémonies magiques médiévales regorgent de mots grecs corrompus mélangés sans discernement à de l’hébreu et de l’arabe tout aussi corrompus.

Il n’y a donc rien d’intrinsèquement improbable dans l’hypothèse selon laquelle ce mot grec ancien serait l’original à partir duquel Tubal Caïn aurait évolué.

Nous savons que de larges pans de l’histoire biblique ont été importés en masse dans nos rituels au XVIIIe siècle, et quoi de plus probable qu’une œuvre inintelligible, déjà si corrompue qu’elle n’est même pas reconnaissable comme grecque, soit modifiée en un personnage biblique bien connu ?

Cependant, le mot tel qu’il est, en raison de sa signification hébraïque d’acquisition, peut être correctement traduit par « possessions terrestres », tandis que comme il signifie un artisan des métaux, il fait clairement référence à Hiram Abiff, qui a fabriqué les deux piliers, et que le candidat doit représenter.

Ainsi, en suivant cette ligne d’interprétation, nous percevons que le Candidat représente réellement Hiram Abiff lorsqu’il entre dans la Loge, bien que sous le titre déguisé véhiculé par le mot de passe.

En traitant ces mots de passe, je me suis efforcé de montrer qu’il existe des significations dans les significations, et il en va de même pour pratiquement chaque incident important de toute la cérémonie.

Dans un livre de cette taille, il est évidemment impossible de tenter de donner toutes ces significations, et même si on le faisait, le résultat serait de brouiller les pistes pour le jeune lecteur et de l’empêcher d’obtenir une interprétation claire et cohérente de la cérémonie.

C’est pour cette raison que je me concentre principalement sur une ligne d’interprétation, mais j’ai pensé qu’il était souhaitable dans cette section de donner une indication aux étudiants plus avancés, afin qu’ils puissent eux-mêmes suivre des lignes d’investigation similaires.

Préparation

Dans les pratiques anglaises et écossaises, il n’y a pas de câble enroulé autour du candidat en préparation au troisième degré, mais dans la pratique irlandaise, il est enroulé une fois autour de son cou, deux fois au deuxième degré et trois fois au premier.

Si nous considérons le câble de remorquage comme symbolisant les choses qui entravent le progrès spirituel d’un homme, son déroulement progressif tel qu’il est utilisé dans les travaux irlandais prend une grande signification.

Cette interprétation implique que le candidat est gêné dans son corps, son âme et son esprit au premier degré, alors qu’au moment où il atteint ce point au troisième degré, le corps et l’âme ont triomphé des péchés qui les assaillent particulièrement, et à ce stade symbolisé par le degré lui-même, l’esprit n’a plus qu’à triompher des péchés spirituels, tels que l’orgueil spirituel.

À cette exception près, le mode de préparation est le même dans tous ces travaux britanniques, et indique que le candidat est maintenant sur le point de consacrer les deux côtés de sa nature, active et passive, créatrice et conservatrice, etc., au service du Très-Haut.

L’explication déjà donnée dans les livres précédents sur les différents détails, comme le fait d’être mal chaussé, est valable ici, et un bref coup d’œil aux autres volumes me permettra de ne pas occuper un espace précieux à ce sujet dans ce troisième livre.

Le candidat est ensuite amené à la porte de la Loge et frappe à la manière d’un Compagnon (1|2).

Ces coups indiquent que l’Âme et le Corps sont en union, mais l’Esprit est toujours hors de contact alors que les coups appropriés d’un Maître Maçon (2|1) indiquent que l’Esprit domine l’Âme et est en union avec elle, le corps étant tombé dans l’importance.

On se souviendra que dans le premier livre de cette série, j’ai souligné que les trois coups distincts d’un apprenti entré symbolisent que chez l’homme non initié, le corps, l’âme et l’esprit sont tous en désaccord.

Entre-temps, la Loge a été élevée au Troisième Degré par une cérémonie dont la profonde signification exige d’être examinée dans un chapitre séparé.

Lire le Manuel du Maître

Article de : JSM Ward

John Sebastian Marlow Ward (22 décembre 1885 – 1949) était un auteur anglais qui a publié de nombreux ouvrages sur la franc-maçonnerie et l’ésotérisme.

Il est né dans ce qui est aujourd’hui le Belize. En 1908, il a obtenu son diplôme d’histoire à l’Université de Cambridge avec mention, suivant les traces de son père, Herbert Ward, qui avait également étudié l’histoire avant d’entrer dans la prêtrise de l’Église anglicane, comme son père l’avait fait avant lui.

John Ward est devenu un écrivain prolifique et parfois controversé sur une grande variété de sujets. Il a contribué à l’histoire de la franc-maçonnerie et d’autres sociétés secrètes.

Il était également un médium psychique ou spiritualiste, un éminent homme d’église et est toujours considéré par certains comme un mystique et un prophète des temps modernes.

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Erwan Le Bihan
Erwan Le Bihan
Né à Quimper, Erwan Le Bihan, louveteau, a reçu la lumière à l’âge de 18 ans. Il maçonne au Rite Français selon le Régulateur du Maçon « 1801 ». Féru d’histoire, il s’intéresse notamment à l’étude des symboles et des rituels maçonniques.

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