Pourquoi parler de vacances maçonniques puisque nous n’aspirons pas au repos.
Quand on y regarde de plus près, on s’aperçoit que notre mode de fonctionnement en loge s’apparente par certains côtés au système social et professionnel du monde « profane », à moins que certain(es) frères et sœurs aient de leur côté, proposé des aménagements ou des améliorations dans l’évolution sociale et politique d’une époque d’après guerre. Ce qui n’est plus à démontrer notamment avec l’accession aux congés payés.
Le Grand René
« COMME JE PERÇOIS UN SALAIRE EN LOGE, APRÈS TOUT J’AI DROIT AUX CONGÉS PAYÉS »
Je ne suis pas sociologue, je ne me lancerai pas dans des analyses approfondies et je me contenterai de rester dans mon rôle d’amuseur. Avec les vacances dites aussi par extension maçonniques, nous avons l’impression de laisser nos métaux à l’entrée des universités d’été.
Nous passons nos soirées d’été avec la flute enchantée et le requiem de Mozart ou la symphonie N° 94 de Joseph Haydn dans des lieux réputés où sont organisés des nocturnes qui vont de la musique baroque aux concerts, manifestations théâtrales, cirques et tous types de spectacle vivants. Bref on se détend, on s’enrichit, certains seraient tentés de rajouter, à juste titre d’ailleurs, quand on le peut!
Et puis il fait aussi place au repos paisible avec la découverte des paysages en montagne, à la mer, dans les clubs de vacances, lieux de villégiatures ou tout simplement en famille. Bref un classique qui chaque année progresse dans de nouvelles directions et idées.
Nous attendons chaque année les fêtes maçonniques qui célèbrent le solstice d’été avec souvent la fameuse Saint Jean d’été où nous découvrons des « profanes » avec qui échanger, c’est un peu la porte qui s’ouvre vers les vacances!
Aussi comme vous connaissez ma mauvaise foi, vous trouverez dans la vidéo ci-dessous quelques conseils pratiques pour aborder cette épreuve d’été, difficile à passer!