De notre confrère lechorepublicain.fr
En octobre, à côté de la mairie d’Authon-du-Perche dont le parvis a connu une réfection courant 2023, un square a été aménagé. Et baptisé square Louise-Koppe.
Square Louise-Koppe.
C’est le nom du nouvel espace arboré d’Authon-du-Perche, situé à côté de la mairie. Il a été inauguré début octobre, en même temps que le parvis de l’hôtel de ville, les travaux de l’école primaire, mais aussi l’enfouissement des réseaux rue Basse et rue de la Juiverie. Autant de chantiers qui font partie d’une rénovation globale du centre bourg.
Biographie

Louise Koppe, née Catherine Laurence Koppe à Paris (ancien 4e arrondissement) le 4 mai 1846 et morte à Paris 19e le 31 mai 1900, est une écrivaine féministe française. Elle a fondé plusieurs journaux et la première maison maternelle française.
Née en 1846 à Paris dans une famille modeste, Louise Koppe est la fille d’un tailleur. Sa mère meurt alors qu’elle a huit ans. Élevée dans un pensionnat de l’Oise, elle se marie à l’âge de 18 ans avec Louis Armand Rétoux et de cette union naissent cinq enfants. Rien dans sa vie ne peut alors indiquer un engagement féministe à venir. La Commune, à laquelle elle assiste à 25 ans, et la rencontre avec Victor Hugo dont elle découvre les écrits avec émotion, influencent certainement ses engagements.
Elle est initiée en franc-maçonnerie au sein de la Grande Loge symbolique écossaise – Droit humain en 1894. Cette obédience ayant été créée en 1893, Louise Koppe fait partie des premières personnalités féministes appartenant à celle-ci.
Louise Koppe participe au Congrès international du droit des femmes à Paris en 1878. Elle aime écrire et crée différents journaux dans lesquels paraissent ses poèmes, articles, pièces de théâtre. La fonction maternelle y occupe une place prépondérante. En 1879, elle fonde le journal La Femme de France, remplacé par La Femme dans la famille et dans la société. En 1882, le titre devient La Femme et l’Enfant.
Louise Koppe meurt en 1900 à Paris et est incinérée au crematorium du Père-Lachaise. Ses cendres sont déposées au columbarium, puis transférées en 1910, dans un caveau de la division 90, avec celles de son mari. Ses trois filles, Angèle, Mathilde et Hélène-Victoria, continuent de développer son œuvre.
Merci de citer la source de cet article dans sa partie biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louise_Koppe. Comme la totalité est un copier-coller de la page Wikipédia. Il convient d’en indiquer la source pour utiliser librement ce texte libre de droit, mais sous licences CC partage à l’identique — Cordialement.
Très Cher K.A,
Comme indiqué au début de notre article, la source est « de notre confrère lechorepublicain.fr. »
Il est tout à fait possible que ce journal soit allé se sourcer sur Wikipedia ?
Votre commentaire permettra de réparer cet « oubli » de leur part.
Une chose est évidente, le traçage intégral de l’information au sein de 450.fm est difficilement réalisable. Sinon nous allons devoir rendre notre journal payant et embaucher une armée de détectives. Pour preuve… même Wikipedia est en sous effectif pour assurer le contrôle de la rubrique Franc-maçonnerie. D’où le caractère partial de certains choix.
Franck Fouqueray
Directeur de la Publication… et auteur maçonnique