mer 04 décembre 2024 - 19:12

Cheminement vers l’infini d’une matière spiritualisée avec le grand philosophe grec Anaximandre de Milet

« Pour l’homme sage, le monde n’est pas secret, qu’a-t-il besoin de s’égarer dans l’éternité ? »

Albert Camus (Carnets, 1941)

Nous utilisons volontiers le concept d’ « infini », en Maçonnerie, comme si il était commun de prendre l’indéfinissable par excellence pour exprimer une pensée que nous voudrions rendre intelligible, donc finie ! Cela provient sans doute que nous oublions que les philosophes de l’Antiquité, présocratiques notamment, vivaient dans la conception d’un monde limité contre lequel ils durent déployer leurs connaissances et leur audace. Non seulement les socratiques puiseront largement dans leurs intuitions ; mais l’époque moderne s’y référera avec bonheur constatant « qu’ils avaient déjà tout compris », selon la formule consacrée ! Concernant l’infini, nous allons, bien entendu, nous référer à Anaximandre de Milet.

Anaximandre de Milet (dans la Turquie d’aujourd’hui) fait partie, incontestablement, de ceux que les Grecs nommaient les « Oï Archoï », « ceux qui étaient au-début de l’histoire », les pères fondateurs qui vont faire sortir la pensée grecque du monde du chaos et mettre à distance la religion, l’archaïsme et la magie, pour faire naître un monde de la logique, de la philosophie et de la science, allant pour cela jusqu’au sacrifice de leur propre existence. Peu à peu, le philosophe remplace le sorcier. Anaximandre s’inscrit dans cette révolution de pensée et Saint Hyppolyte de Rome (217-235), théologien chrétien de renom, mort en martyr avec le Pape Pontien en 235, durant les périodes de persécutions du christianisme par Maximin, ne relève pas la pensée d’Anaximandre pour en soulever la justesse, mais au contraire pour en pointer le danger, la mise en péril de la théologie chrétienne et de la « Philosophia Perennis » (1)

Ce qui peut nous frapper, avec Anaximandre, c’est le provincialisme des philosophes : de grandes écoles verront le jour à partir d’implantations locales, qui, de lieux excentrés avec les présocratiques se rentrerons par la suite autour d’Athènes avec les socratiques. Anaximandre succède à Thalès comme maître de l’école milésienne et aura pour élèves Pythagore et Anaximène. Le philosophe britannique Bertrand Russel pense que l’influence d’Anaximandre sera beaucoup plus importante que celle de son maître Thalès et il écrit (2) : « Anaximandre, le second philosophe de Milet est beaucoup plus intéressant que Thalès…Il affirmait que tout vient d’une seule substance primitive, mais qui n’était pas l’eau, comme Thalès le croyait, ni même aucune autre substance à nous connue. Elle est infinie, éternelle et sans âge, elle « enveloppe tous les mondes » ; il pensait que notre monde faisait partie d’un ensemble. C’est cette substance primitive qui, d’après lui, se transforme dans les différentes substances qui nous sont familières et celles-ci, à leur tour, se transforment réciproquement. A ce sujet, il fait le remarquable raisonnement suivant : « Et les choses retournent à ce dont elles sont sorties comme il est prescrit ; car elles se donnent réparation et satisfaction les unes aux autres de leur injustice, suivant le temps marqué » ». Il est également le premier grec connu pour tenter de décrire l’origine du cosmos en scientifique, c’est-à-dire en éloignant toute mythologie de ses études. Ce qui est une révolution.

Il était le fils de Praxiadès et naît à Milet. Son apogée se situera à l’époque de Polycrate, tyran de Samos (-538-522). Il sera, à l’origine, un élève de Thalès et Héraclite naîtra au moment de sa mort. Ceci pour nous mettre en lumière la période historique dans laquelle il se situe. Thémistos mentionne qu’Anaximandre aurait été le premier grec à publier un texte en prose sur la nature, ce qui est nouveau, et donne le nom de « monde » à l’univers. Une anecdote nous éclaire sur son humour et son humilité : Diogène Laërce dans les « Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres », nous raconte que des enfants se moquant de lui quand il chantait, aurait répondu qu’il lui faudrait apprendre à mieux chanter pour les enfants !

I-et l’ « apeiron » vit le jour !

L’oeuvre d’Anaximandre est considérable, tant sur le plan scientifique que sur le plan philosophique. C’est lui qui va utiliser le premier la fameuse formule « En Arké », à l’origine, au commencement de tout, qu’utiliseront avec constance les philosophes et théologiens qui le suivront, dont Philon d’Alexandrie (pour traduire le terme hébreu « Berechit »), et les chrétiens naturellement (« Au commencement était le verbe » !). Hyppolyte de Rome lui attribue aussi la paternité du mot « Apeiron » qui va révolutionner la science et la philosophie.

Pour Anaximandre, l’Apeiron serait une substance qui est origine, source et réceptacle du Tout, éternelle et indestructible. Elle est la cause complète de la génération et de la destruction de tout : tout ce qui devient a un commencement, une fin, des limites spatio-temporelles et donc, ce qui a un commencement et une fin ne peut être la cause éternelle de tous les êtres ; donc ce qui est illimité et indéterminé peut-être une cause universelle, indestructible et permanente. L’étymologie du mot Apeiron vient, en grec, du mot « Peraô », traverser, parcourir, mais qui précédé d’un « a » privatif veut dire « Ce que l’on ne peut parcourir », car trop vaste pour que l’on puisse en trouver une fin. Par exemple, chez Homère, l’océan est Apeiron. L’image pourrait aussi être celle de sphères ou de cercles que l’on peut parcourir, sans jamais en trouver le terme.

L’Apeiron est illimité, de manière qualitative ou quantitative et, l’espace et la matière sont conçus conjointement sans limites internes, de façon indéterminée. Il n’est pas engendré, il n’a ni commencement ni fin, existe de tout temps et est impermanent. Il est cause génératrice, cause permanente de toutes les choses de leur naissance et de leur destruction. Mais, deux questions se posent : l’Apeiron est-il immanent au devenir ou distinct de lui et comment engendre-t-il les choses ? Pour Aristote, l’Apeiron est un mélange des opposés et il est donc immanent au devenir, qu’il en est la matière. D’autres commentateurs pensent que l’Apeiron doit se distinguer intrinsèquement de ce qu’il produit : il n’est rien de matériel, ne contient pas, littéralement, ce qu’il produit, car n’étant pas qualitativement défini, il n’en est pas composé. Il n’est donc ni un mélange, ni un intermédiaire entre les éléments et il n’est pas plus un espace infini que la matière, de même qu’il n’existera pas dans le temps puisqu’il est à l’origine de toutes les choses. Une cause génératrice ne peut se confondre avec un quelconque substrat matériel. Cette définition pourrait d’ailleurs correspondre à la définition du Tao de Lao-Tseu.

Cette formidable et nouvelle théorie va influencer considérablement les penseurs de son époque, notamment Démocrite qui va y puiser son matérialisme et, par la suite, tous les panthéismes futurs y feront référence, par exemple Spinoza. Cette théorie va rencontrer de très fortes oppositions aussi, car la religion s’en trouve expulsée de la terre et des cieux ! Platon va rejeter cette théorie, surtout vers la fin de sa vie où il est devenu très croyant et politiquement réactionnaire, oubliant que le prétexte de la condamnation de Socrate fut le détournement de la jeunesse vers l’incroyance aux dieux ! Anaximandre eut la chance de ne point être condamné pour « Asébie » (3), sort dont sera victime Anaxagore (-500-428).

Le génie d’Anaximandre va s’exercer dans de nombreux autres domaines :

Schémas du modèle de l’univers d’Anaximandre : à gauche, le jour en été ; à droite, la nuit en hiver.
  • La cosmologie, où il avance que la terre est suspendue dans l’espace et se meut autour du centre du monde qui serait le soleil, se faisant fi des hypothèses mythologiques. Il explique comment se forment les quatre éléments de la physique ancienne (air, terre, eau, feu) et comment, sous leur interaction, naissent la terre et les éléments qui l’habitent. Dans une sorte de tourbillon (« Dinê » en grec), toute chose qui meurt retourne à l’élément dont elle est issue, l’Apeiron. Simplicius nous livre la définition que nous en donne Anaximandre, très similaire à celle d’Héraclite : « Ce d’où il y a génération des entités, en cela aussi se produit leur destruction, selon la nécessité, car elles se rendent les unes aux autres justice et réparation de leur injustice, selon l’assignation du temps. » C’est la loi constitutive du cosmos, la « Diké » (4). L’idée que la terre flotte dans l’espace et qu’elle dépend d’un modèle mécanique sera considéré par Karl Popper comme l’une des idées les plus prodigieuses de la pensée humaine et ouvre la voie à Aristarque, Copernic et Newton. Anaximandre va même jusqu’à avancer l’idée que la création verrait son origine dans une explosion, le « Big Bang » avant la lettre ! Il fut aussi le premier à expliquer les phases lunaires et à présenter un système où les astres tournoient à des distances différentes et où les saisons viennent des inclinaisons de la sphère céleste par rapport au plan terrestre.
  • Les sciences de la nature ne lui furent pas non plus étrangères : il fut le premier à avancer la théorie, bien avant Darwin, que toute vie vient de la mer et de la transformation des espèces à partir de ce berceau. Il défendra aussi que le tonnerre n’est pas un dieu, mais résulte du choc des nuages et participera à la naissance du « Gnomon » qui fut un cadran solaire servant à l’indication des solstices et des équinoxes. Il était connu également pour ses talents de cartographe.

Au-delà de cette connaissance remarquable, Anaximandre va se livrer à de fondamentales spéculations sur le langage.

Ii- au commencement était le verbe.

Epicure

Dans l’appréhension de l’infini en extension, Anaximandre définit que l’homme est, avant-tout, un être de langage et donc le produit d’une évolution à partir de la matière, mais en même temps, dans le processus de la permanence de l’évolution, un être avec un langage insuffisant pour traduire son affect réel. Ce « pas fini » continue à hanter les philosophes, les psychanalystes et les théologiens. Cette théorie du langage sera, plus tard, étudiée par Martin Heidegger (5) : le langage supposerait une constance de l’environnement où les objets pourraient être nommés et ainsi devenir une appropriation, telle l’acquisition de la « langue-mère », en référence à la présence identifié de l’objet aimé. Mais des pans entiers du cosmos échappent à la nomination, ce vide conceptuel est dès lors remplacé par le symbolique, la poésie, le chant. Il est intéressant d’ailleurs de se souvenir que Platon, obsessionnel de la « parole vraie », bannissait les poètes de la cité idéale et il faudra attendre Aristote et sa poétique pour assister à une restauration de ce qui servait de carence à la nomination langagière, balbutiante ou incomplète (« Je ne sais ni lire ni écrire, je ne sais qu’épeler » !).

Lucrece

Mais, dès l’Antiquité, sans doute sous son influence, de nombreux textes existaient sur la nature du langage. Nous nous contenterons de n’en citer qu’un, un fragment de la lettre à Hérodote par le disciple romain d’Epicure, Lucrèce (6) : « Ce n’est point tout d’abord délibérément qu’on donna des noms aux choses, mais les natures des hommes, selon leurs nationalités différentes, avaient des sentiments particuliers et recevaient des impressions particulières et ainsi chacune, à sa manière, émis des formes par chacun de ces sentiments et de ces impressions, conformément aux différences que faisaient dans les différentes nations les lieux et leur habitat. Et alors, plus tard, par consentement commun dans chaque nation, des noms spéciaux furent délibérément donnés pour rendre les désignations moins ambiguës et plus brèves. Et parfois des hommes introduisirent des choses jusque-là inconnues et des sons qui les désignaient tantôt naturellement contraints à les émettre, tantôt amenés à les choisir par raisonnement, conformément au mode dominant de formation des mots, et rendant ainsi les significations claires ». Lucrèce, après Anaximandre montre la difficulté de la désignation d’objets qui s’étendent à l’infini et donc qui rendent la communication infirme, bien que le langage marque la différence entre l’animal et l’homme. Il est symbolique par excellence, car l’homme n’est qu’un animal symbolique, dans la quête permanente d’une parole perdue qu’il faut décrypter à-travers le monde comme représentation, ce que pense Schopenhauer. Ce que nous rappelle aussi le philosophe Michel Onfray (7) : « Enfin puisque le monde n’est pas une substance, mais une représentation, un genre de projection de Dieu dans l’inconscient, il faut jouir de ce savoir venant de cette surâme qui est Dieu et savoir que la contemplation de la nature y conduit ». Mais, cette admiration du cosmos nous conduit à une forme de déification de la nature…

Iii- l’apeiron ou le cheminement vers une métaphysique de la matière.

René Descartes

Eloignant toute théologie et toute vision divine de sa réflexion, Anaximandre est à l’origine de la métaphysique au sens propre du terme : une recherche de sens d’un au-delà de la « Phusis », de la nature. Cette spéculation allant avec une immersion en elle, afin de comprendre l’inter-action avec le sujet. Ce que contestera Platon qui pense que c’est en s’isolant le plus possible que l’âme va parvenir à la connaissance de ce qui est. Cette orientation sera reprise par Descartes dans sa « Troisième Méditation » : « Je fermerai maintenant les yeux, je boucherai mes oreilles, je détournerai tous mes sens, j’effacerai même de ma mémoire toutes les images des choses corporelles, ou du moins, parce qu’à peine cela peut-il faire, je les réputerai comme vaines et comme fausses ; et ainsi m’entretenant seulement moi-même, et considérant mon intérieur, je tâcherai de me rendre peu à peu plus connu et plus familier à moi-même. Je suis une chose qui pense »…

Nous avons là le choix fondamental d’une métaphysique de la matière : ou nous étudions la nature par familiarité, étant de la même étoffe et trouvant la sagesse en cette fusion, comme le conseille Anaximandre, ou en conservant une distance, celle-ci étant différente de nous et nous servant simplement de réflexion pour l’édification de notre âme éternelle par rapport à la nature instable du réel, comme le pense Platon et le christianisme par la suite. Anaximandre initie la pensée que l’univers est l’Être lui-même et que, bien entendu, il existe de toute éternité et pour toute éternité, sans genèse, sans usure ni corruption, puisqu’il est l’Être et la divinité. L’Apeiron, pour Anaximandre.

Pour maintenir intelligible l’hypothèse de l’univers éternel, il faut le supposer en régime de création continue, la question étant de savoir si c’est la matière qui est infinie ou le Principe qui serait créateur de cette matière comme va le proposer le monothéisme juif. Pour la pensée grecque, la création ou l’Apocalypse sont proprement impensables. Dans sa lettre à Hérodote, Lucrèce écrit (8) : « L’univers se compose des corps et de l’espace. L’existence des corps nous est garantie par-dessus-tout par la sensation, car c’est sur elle que se règlent, comme je l’ai dit, toutes les conjonctures que le raisonnement dirige vers les choses cachées. Quant à l’espace, que nous appelons aussi le vide, l’étendue, l’essence intangible, s’il n’existait pas, les corps n’auraient ni siège où résider ni intervalle où se mouvoir, alors que nous voyons cependant avec évidence qu’ils se meuvent. Hors de ces deux choses, la pensée ne peut plus rien saisir d’existant soit par une intuition, soit immédiatement par analogie avec ce dont elle peut avoir intuition ; rien d’existant à titre d’êtres complets ou de substances, car il n’est pas question de ce que nous appelons les attributs accidentels ou essentiels des substances ». S’il est vrai que l’Être ne peut pas périr, pas plus qu’il n’a pu commencer, toute la question sera de savoir s’il est vrai que l’univers serait le seul Être pris absolument sans précision, sans restriction, sans explication ? Une seule certitude demeure : l’ Apeiron est l’infini. Mais Heidegger posera la question fondamentale de la métaphysique (9) : « Pourquoi y-a-t-il de l’être plutôt que rien ? ». Question que pose déjà Anaximandre et qui hantera les mystiques rhénans.

Iv- conclusion. « Like a Rolling stone »…

L’homme n’est qu’une étape dans l’évolution, constitué homo sapiens par le langage et prenant conscience du terrible infini dans lequel il baigne. Comment comprendre l’existence dans l’univers d’un être capable de penser cet univers ?

Pascal, penseur secouriste de l’esprit cartésien: je panse donc je suis…

Toute métaphysique, qu’elle soit religieuse ou athée, nous conduit à la question de l’interlocuteur « vrai » que je pressens au-delà du visage de l’autre : est-ce l’Apeiron, cette matière immortelle qui me noie dans son immortalité même de manière panthéiste, ou est-ce Dieu créateur impliqué, partie prenante dans le transformisme, ou comme le pensaient les écoles platoniciennes, chaque religion, chaque homme, ne serait qu’un éclat de verre du miroir d’Aphrodite ?

L’homme, confronté à ce vide qui l’angoisse, tente de le meubler par des « distractions pascaliennes » : matérialisme, pouvoir, sexualité, imaginaire religieux ou philosophiques. Le Franc-Maçon partage lui aussi cette interrogation anxieuse devant « le silence des espaces infinis » décrits par Blaise Pascal et de n’être qu’ « une pierre qui roule ». Mais il va tenter, comme le faisait Anaximandre il y a quelques siècles, de trouver un sens à cette éternité de l’infini.

Quelqu’un peut m’indiquer où est la sortie ? Merci d’avance !

NOTES

Rovelli Carlo : Anaximandre de Milet ou la naissance de la pensée scientifique. Paris. Ed. Dunod. 2009.

(1) Philosophia Perennis : Terme qui désigne la croyance qu’une certaine philosophie, originaire d’Egypte ou de Grèce formerait une tradition unique et permanente au-delà des oppositions. René Guénon s’en est largement inspiré pour son concept de « tradition primordiale ».

(2) Russel Bertrand : Histoire de la philosophie occidentale en relation avec les événements politiques et sociaux de l’Antiquité jusqu’à nos jours. Paris. Ed. Gallimard. 1952. (Page 40).

(3) Asébie : Son contraire est « Eusébie ». Le platonisme en donne cette définition : « Propension à se mettre de son plein gré au service des dieux, conception juste de l’honneur qu’il convient de rendre aux dieux, car Dieu est la vraie mesure de toute chose ». Naturellement, l’Asébie est synonyme d’athéisme et d’anarchie chez Platon. Et donc condamnable…

(4) Diké : La justice

(5) Heidegger Martin : Approche de Hölderlin. Paris. Ed. Gallimard. 1973. (Page 250).

(6) Nizan Paul : Les matérialistes de l’Antiquité. Paris. Ed. Maspéro. 1979 (Page 79).

(7) Onfray Michel : Vivre une vie philosophique- Thoreau le sauvage. Paris. Ed. Le Passeur. 2017. (Page 63).

(8) Nizan Paul : idem. (Page 61).

(9) Heidegger Martin : Einführung in die Metaphysik. Tubingen. 1953. (Page 1). Bibliographie

Aristote : La Poètique. Paris. Ed. Du Seuil. 1980.

Buttin Anne-Marie : La Grèce classique. Paris. Ed. Les Belles Lettres.
2000.

Dumont jean-Paul : Les Présocratiques. Paris. Ed. Gallimard. 1988.

Hertrich Charles : Qu’est-ce que la métaphysique ? Saint-Etienne. Ed. Des Flambeaux. 1943.

Jeannière Abel : Les présocratiques : l’aurore de la pensée grecque. Paris. Ed. Du Seuil. 1996.

Lahaye Robert : La philosophie ionienne. L’école de Milet. Paris. Ed. Du cèdre. 1966.

Legrand Gérard : Les présocratiques. Paris. Ed. Bordas. 1987.

Nietzche Friedrich : La philosophie à l’époque de la tragédie grecque. Paris. Ed. Gallimard. 1990.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

Michel Baron
Michel Baron
Michel BARON, est aussi conférencier. C'est un Frère sachant archi diplômé – entre autres, DEA des Sciences Sociales du Travail, DESS de Gestion du Personnel, DEA de Sciences Religieuses, DEA en Psychanalyse, DEA d’études théâtrales et cinématographiques, diplôme d’Études Supérieures en Économie Sociale, certificat de Patristique, certificat de Spiritualité, diplôme Supérieur de Théologie, diplôme postdoctoral en philosophie, etc. Il est membre de la GLMF.

Articles en relation avec ce sujet

Titre du document

Abonnez-vous à la Newsletter

DERNIERS ARTICLES