(Le droit de réponse du Grand Maître de la GLNF suit cet article ci-dessous)
Le vendredi 13 septembre 2024 sera une date cruciale pour la GLNF. Ce jour-là, les observateurs pourraient assister soit à la démonstration de la maturité d’une obédience capable de se renouveler, soit à un repli qui pourrait faire manquer un rendez-vous important. En effet, le Souverain Grand Comité (SGC) doit choisir à cette date le candidat à la Grande Maîtrise qui dirigera cette obédience plus que centenaire pour les trois prochaines années. Ce choix sera ratifié, e, tenue de grande loge, le 1er samedi du mois de décembre 2024 par les membres du Souverain Grand Comité, les vénérables maîtres et les frères premiers surveillants.
Comme le prévoient les règles internes de la GLNF, notamment son Règlement Intérieur, deux candidats se sont déclarés : Yves Pennes, actuel Député Grand Maître, et Emmanuel Stene, Grand Maître provincial d’honneur. Le premier est le candidat désigné par le Grand Maître actuel, Jean-Pierre Rollet. Le second, après avoir présenté sa profession de foi, propose une alternative en annonçant en toute transparence que le Très Respectable Frère Philippe Jouve sera désigné comme Député Grand Maître en cas de victoire.
Alors que l’entourage du Grand Maître sortant devrait voir dans cette alternative un signe de maturité, elle est perçue comme une menace par rapport à ce qui est appelé LA RÈGLE.
Mais de quelle menace parle-t-on ?
Ce qui est tout à fait naturel au niveau des loges semble poser problème au niveau national, comme si ceux censés être les garants de l’ordre avaient plus de difficulté à appliquer les règles qu’ils demandent aux loges de suivre.
En effet, il est courant dans les loges que plusieurs frères soient prêts à en conduire les travaux et à tenir le maillet. Les comités de loges ou des sages en régulent la temporalité et l’opportunité.
Qu’est-ce qui mène à la Grande Maîtrise ?
Un adoubement par son prédécesseur ou bien la combinaison du parcours maçonnique d’un homme et de la libre réflexion de chaque frère composant le Souverain Grand Comité qui, par son expérience et sa clairvoyance, choisit en conscience ce qu’il pense être le mieux pour l’Ordre ?
Il semble que le Grand Maître, Jean-Pierre Rollet, ait peu confiance dans le Souverain Grand Comité, pourtant composé d’environ 535 Frères.
À la lecture des deux professions de foi et d’après des propos rapportés des deux candidats, il semble que ces derniers ne soient pas engagés dans une « campagne » l’un contre l’autre. Cependant, on perçoit une grande agitation et fébrilité dans l’entourage du Grand Maître. Espérons que cette fébrilité ne débouche pas sur des réflexes profanes.
Dans le monde profane, pour décourager une candidature ou pour dicter aux membres d’une instance leur conduite, on applique de vieilles méthodes peu loyales, dignes de la série « Baron noir ».
Première étape : décourager la candidature
Essayer, par divers messagers, d’expliquer au candidat alternatif qu’il n’a aucune chance parce que l’instance censée choisir est légitimiste, ou bien qu’il n’agit pas dans l’intérêt de l’obédience. En parallèle, on fait entendre un discours de vassalité aux membres du Souverain Grand Comité que l’on jugerait un peu trop libres.
Deuxième étape : remettre en cause la légitimité
Pour cela, les sherpas peuvent être tentés de jouer sur plusieurs tableaux. Le cas le plus courant dans les organisations profanes est de faire passer les candidatures alternatives pour des candidatures dissidentes. On peut utiliser le registre de la revanche, du règlement de comptes. Pour les moins imaginatifs, utiliser l’argument de l’âge : soit trop jeune, soit trop vieux, selon l’interlocuteur. Et pour ceux qui paraissent plus dangereux pour le candidat désigné, on emploie des arguments qui, en démocratie, conduiraient devant les tribunaux : la couleur de peau, le niveau social ou encore l’appartenance religieuse. En quelque sorte, pour présider aux destinées de la GLNF, faut-il être blanc, chef d’entreprise et chrétien ?
Troisième étape : atteindre la probité des candidats alternatifs, ou technique de la « boule puante »
Les campagnes électorales profanes le montrent à chaque fois : tel candidat serait empêtré dans telle affaire, ou il aurait commis telle chose, bien sûr sans qu’aucun élément ne soit fourni. Le pouvoir peut jouer sur le fait qu’il aurait un dossier. Dans ce cas, le candidat ne peut que subir et espérer que les observateurs seront suffisamment attentifs pour remarquer qu’il serait curieux que l’autorité n’ait pas agi alors qu’elle disposerait d’éléments méritant des poursuites. Face à ce risque, certains barons noirs n’hésitent pas à monter ou faire monter des affaires de mœurs lorsqu’ils en ont les moyens. L’époque actuelle nous montre chaque jour des personnalités mises au banc par un seul tweet sans fondement, contre lequel aucune défense ne peut être produite.
Quatrième étape : neutraliser l’instance décisionnaire
Dans les partis politiques, les syndicats ou même parfois dans les associations, lorsqu’on ne veut pas voir de candidatures alternatives, on réduit les zones d’incertitude ou on évite la prise de risque en empêchant toute prise de parole des candidats le jour du vote. C’est ce que certains appellent le centralisme démocratique : inutile de vous faire une opinion puisque l’on vous a déjà dit ce que vous allez voter.
Il faudra donc observer ce qui va se passer dans les prochaines semaines à la GLNF et voir si ce scénario en quatre étapes se produit. Espérons pour cette obédience qu’elle ait atteint un degré de maturité suffisant, qu’elle ait tiré les leçons de sa crise des années 2009-2012, et surtout qu’elle souhaite incarner au sommet ce qui fait l’excellence de sa base.
Il est à craindre que le processus soit déjà enclenché et qu’une officine soit déjà à l’œuvre pour préparer une campagne de dénigrement sur fond de fausses informations contre l’un des candidats. Ce serait bien regrettable si tel était le cas, et cela nous rappellerait les heures peu glorieuses de la franc-maçonnerie des années 2000.
Affaire à suivre !
Droit de réponse à l’article intitulé « Les barons noirs de la Grande Loge Nationale Française »
« A la suite de la publication le 13 août 2024 dernier d’un article intitulé « Les barons noirs de la Grande Loge Nationale Française », le Très Respectable Grand Maître de la Grande Loge Nationale Française, M. Jean-Pierre ROLLET, entend rappeler qu’il porte une entière confiance aux membres du Souverain Grand Comité, appelés à désigner le 13 septembre prochain le candidat à la Grande Maîtrise qui sera ensuite soumis à la ratification de la Grande Loge. A ce titre, le Très Respectable Grand Maître précise que contrairement à ce qui est indiqué dans l’article en question, ni lui ni son entourage n’entretiennent aucune agitation ni fébrilité de quelque sorte à l’égard du processus électoral en cours, qui se déroule selon les modalités prévues par les dispositions du Règlement Général, dont le Grand Maître, garant de son respect, est attentif à la parfaite application par tous.
Le Très Respectable Grand Maître précise également que, contrairement à ce qui est suggéré dans l’article, sans que ne soit apporté aucun élément probant au soutien de ces propos, aucune action ou manœuvre visant à dénigrer, calomnier ou priver l’un ou l’autre des candidats déclarés de son droit à la parole n’est, en aucun cas et d’aucune manière, mise en œuvre, ni par lui-même, ni par son entourage, ni par quelque « officine » qui agirait à sa demande.
Au contraire, la Grande Loge Nationale Française, au vu de l’information – non corroborée à ce jour par des éléments de preuve concrets – portée à sa connaissance par l’un des candidats, faisant état de propos de dénigrement et/ou discriminatoires qui auraient été proférés à son encontre, susceptibles de constituer des infractions pénales, a procédé à un signalement par voie de plainte auprès de Monsieur le Procureur de la République près le Tribunal Judiciaire de Paris, en lui demandant de bien vouloir enquêter sur les faits ainsi dénoncés et d’y donner toutes suites adéquates. »
Qu’est ce que ce SGC ? Il est composé d’officiers (ou ex) nommés par le GM et lui ayant prêté allégeance.
C’est donc ce groupe qui valide le GM proposé.
Il est à noter que, depuis l’expulsion du GM Francois Stifani, lors de l’Assemblée Générale sont aussi presents les VM en chaire, mais minoritaires. Le SGC a été depuis son successeur (JPS), renforcé, pour éviter les risques d’une remise en cause par la base.
Alors cette structure choquante pour tout citoyen est evidemment anti-democratique. Mais …. les dirigeants de la GLNF ne se reclament nullement de la démocratie ! Ils se reclament d’une onction divine (pretendue). Le discours scandaleux du GM JPS (alors GOrateur) où le GM est présenté comme “ultime lien entre Dieu et les hommes” et cohérent avec ces principes. C’est dans ce même discours qu’il énonce que l’election du VM par sa loge n’a aucune valeur, seule l’onction du VM peut lui attribuer ce rôle. Il est à noter que dans l’installation du VM à la GLNF, jamais cette “onction” n’a lieu. La presence du representant du GM etant même facultative.
Pour beaucoup de nos FF de la GLNF, cette contre-maçonnerie ne choque plus … ne s’etat pour la plupart pas interrogés sur le bien-fondé.
NB : Celà serait-il nécessité par la “régularité” ou la reconnaissance par la GLUA ? Nullement ! Tel n’est pas le cas à la GLUA où les loges sont des “private lodges”.
La GLNF est un monde très particulier, rejetant la democratie, avec des accents gourouesques (“ultime …etc”) des allégeances, une propagande interne pesante (dont nous avons quelques échos ici), diabolisation des “apostats” (ceux qui ont quitté), une volonté d’enfermement (pas de frequentation d’ “irreguliers”).
J’ai une drôle d’impression finalement, peut-être que les barons noirs ne sont pas à la GLNF, mais plutôt sur 450, en effet, je pense qu’ils ont tenu ici la plume, je pense comme Christophe, cet article est un peu tordu… Cet article, serait-il une commande ?
Très Cher Patrick,
Il est possible que cet article ait heurté votre sensibilité. Cela résulte peut-être du fait de votre appartenance à l’Obédience concernée. Nous en sommes totalement désolés, car ce n’est pas notre objectif recherché. Le propre de l’information est d’être par nature bonne ou mauvaise, car si elle est neutre, ce n’est plus une information. En effet, personne ne s’interesse aux trains qui arrivent à l’heure.
Je prends donc « la plume » pour vous répondre, car vous semblez insinuer que notre Journal rédigerait ses articles sous l’impulsion d’une motivation financière ou une pression quelconque (« …serait-il une commande ? »), cela devient un soupçon que je me dois d’effacer.
A ce jour, notre Association qui supporte le Journal n’a jamais facturé ou perçu la moindre somme en échange d’un article complaisant ou déplaisant. Notre modèle repose sur la gratuité totale d’accès à l’information. Aucun commanditaire n’a jamais financé le moindre publireportage.
En revanche, ce qui est vrai, c’est que notre rédaction, composée d’une quarantaine de personnes, s’attèle parfois à des dossiers ou des enquêtes qui lèvent le voile sur des pratiques qui n’ont plus rien de maçonniques. Comprenez bien que vous ne pouvez aucunement accuser votre facteur de déposer dans votre boite aux lettres des courriers déplaisants. Il en est de même avec les journaux et tous autres médias. Si vous pensez que les informations contenues dans l’article en question sont diffamatoires, les Tribunaux de la République seront là pour vous rendre justice. En revanche, si vous pensez que notre discours ne va pas dans le sens de de la doxa, je ne pourrai que vous donner raison.
Les deux questions fondamentales sont les suivantes :
– Quel est l’intérêt d’un journal indépendant gratuit à donner une information ?
Réponse : Donner une information, tout simplement !
– Quel est l’intérêt d’une Obédience (ou de ses membres) qui critiquerait un journal qui donne une information déplaisante ?
Réponse : Préserver le système de pouvoir qu’elle a mis en place
Si vous avez une autre explication, j’aurais grand intérêt à la découvrir.
Très Fraternellement
Franck Fouqueray
Directeur de la Publication
Tout à fait d’accord avec Franck…
Nous avons vécu le pire avec certains acteurs majeurs qui ont vidés les rangs de plus de 10 000 membres pour de sinistres raisons neuro égocentriques….
Allons-nous assister à une autre crise anti démocratique ?
Merci pour votre réponse, je ne parlais pas d’argent, mais je constate que vous êtes souvent à charge contre cette obédience, je ne suis pas à la Gfln, ce n’est pas parce que vous êtes 40 ? qu’il ne pourrait y avoir aucun « baron noir ».
Très Cher Patrick,
Si vous faites le décompte des articles que nous publions. Vous verrez que les deux Obédiences dont nous parlons le plus, sont le GODF et la GLNF, ce qui est absolument logique, puisqu’elles sont les plus peuplées en maçons.
En revanche, il me semble que vous faites une sérieuse confusion entre attaquer l’Obédience et accuser ceux qui en ont le mandat de la gestion de celle-ci.
A aucun moment sur nos 6300 articles, vous ne trouverez un seul mot contre la GLNF, le GODF, la GLDF, le DH, l’Alliance, la GLFF… car les Obédiences sont comme les pays de notre planète, elles sont peuplées de gens merveilleux et de quelques personnes douteuses. Le vrai problème vient uniquement de ceux qui dirigent et se sont emparés du pouvoir pour leur seul intérêt personnel. Dans certaines structures humaines, cela devient totalement mafieux. Le propre de la presse libre est justement de dénoncer ces fonctionnement illégaux. Seriez-vous contre la presse libre ou la transparence ?
Donc par pitié, ne nous faites pas de procès d’intention, nous n’avons rien contre aucune des Grandes Obédiences maçonniques.
Vous devriez de votre côté, vous réjouir qu’il existe des personnes comme nous qui, bénévolement, consacrent du temps à éviter que le cancer détruise les structures qui portent notre Art Royal. Un jeune homme il y a 5 siècles avait écrit un pamphlet à ce sujet, un certain Etienne de la Boetie.
Fraternellement.
Franck Fouqueray
Directeur de la Publication
Merci de votre réponse Mr Fouqueray, pourtant des freres de la glnf ne me disent que du bien du gmn actuel M Jean Pierre Rollet ?
La vérification de la mise en place ou non de chacune de ces étapes fera démonstration soit de la réalité de cet article soit de son erreur.
Mais il est où Alain Brau de la communication de la Grande Loge nationale française ?
“Bon sang, mais c’est et bien sûr”, à la une de son Facebook voyons ! https://www.facebook.com/brau.alain
Merci avec plaisir 🙏
Difficile de “passer” après le TRF JP Servel… qui était admirablement humble et bienveillant… ce qui malheureusement n’est pas le cas actuellement.
Tout ceci illustre bien qu’il faut un et un seul candidat proposé par son prédécesseur et avalisé par un comité des ex…
Plusieurs candidatures entraînent TOUJOURS des frustrations pour celui qui n’est pas élu et ses soutiens et donc une certaine division dans la loge ou l’obédience.
Rappelons qu’il ne s’agit pas d’un honneur mais d’une charge.
Je préfère un VM ou un TEGM qui n’a pas mon soutien mais qui sera remplacé dans 3 ans que d’instiller le germe de la division au sein de ma loge ou mon obédience (GLB).
Ce n’est pas vraiment démocratique, mais si tout le monde y travaille, c’est la méthode la plus initiatique qui soit.
Je pense que l’article est plein de biais liés à l’obédience de l’auteur. Que chacun soit heureux dans l’obédience et dans la loge de son choix sans vouloir imposer sa manière de voir les choses chez ceux et celles qui ont fait un autre choix.
Appartenant à la GLNF, je suis comme certain surpris par cette deuxième candidature ce qui n’est pas l’usage chez nous. Pour autant mettre dans le titre de ton post : « les Barons noirs » et émettre comme hypothèse certaines suppositions et les faire passer pour des certitudes finalement assez vagues, laisse entendre que ça va mal se passer. Faire du sensationnalisme avec une élection en franc-maçonnerie n’est pas très fraternel.
Pourquoi le prévoir dans les textes si ce n’est pas l’usage mon TCF ?
Sans doute es-tu un jeune maçon qui ne connaît pas l’histoire de notre obédience… Revisite les élections à la Grande Maîtrise depuis 1968.
Sans doute n’es-tu pas membre du Souverain Grand Comité (d’ailleurs filmé pour la première fois en mars dernier !) et n’as-tu pas entendu la réponse de notre Grand Maître d’Honneur, le TRF Jean-Pierre Servel, répondant à un certain frère sur l’usage et le droit.
Sans doute, n’as-tu pas lu notre Règlement Général 2023 (Art. 55 al. 2) sur les modalités des élections à la Grande Maîtrise.
Cette affaire étant à suivre et comme “À mon initiation, on mʼa enseigné la prudence”, attendons…
Sans doute n’as-tu pas lu le règlement auquel tu te réfères. Sans doutes par habitude l’écrit et la règle n’a pour toi pas la même force que les usages. L’article 55 qui n’est que la précision de l’article 9 prévoit justement le vote à bulletin secret et prévoit explicitement plusieurs candidature. Il n’est pas fait référence à LA candidature mais à TOUTE candidature. Il n’est marqué nul part “sur proposition du GM”.
Tout cela pour dire qu’il ne faut pas s’offusquer de plusieurs candidature. C’est plutôt bon signe je trouve. De plus j’ai toute confiance dans le Souverain Grand Comité pour faire son travail en toute liberté. Peut importe qui il choisit il fera le bon choix.
Le vieux maître que tu es ne doit donc pas avoir peur de cette sagesse collective.
Bien frat.
Entièrement d’accord avec toi Boaz.
En tant que FM à la GLNF depuis 19 ans, j’ai suivi mon parcours maçonnique au REA A et au RER, en loge bleue et en loge de perfectionnement, rites dans lesquels j’ai travaillé sous l’égide d’Yves Pennes.
Ses qualités humaines et ses connaissances maçonniques m’ont permi d’évoluer positivement dans la recherche de ma lumière intérieure.
Je ne connais pas Emmanuel Stenes et n’apporterai aucun témoignage négatif pour ce Frère qui est certainement capable de nous guider.
Quelque soit l’issue de vote, j’ai confiance en l’avenir de notre obédience dont le passé déstabilisant ne se renouvellera pas
En tant que FM à la GLNF depuis 19 ans, j’ai suivi mon parcours maçonnique au REA et au RER, en loge bleue et en loge de perfectionnement, rites dans lesquels j’ai travaillé sous l’égide d’Yves Pennes.
Ses qualités humaines et ses connaissances maçonniques m’ont permi d’évoluer positivement dans la recherche de ma lumière intérieure.
Je ne connais pas Emmanuel Stenes et n’apporterai aucun témoignage négatif pour ce Frère qui est certainement capable de nous guider.
Quelque soit l’issue de vote, j’ai confiance en l’avenir de notre obédience dont le passé déstabilisant ne se renouvellera pas
TCS Gisèle, l’esprit des différentes obédiences n’est pas le même en France, c’est un fait. Le VMEC peut être considéré comme le capitaine de navire, seul maître après Dieu, ou comme le dernier relais administratif dans une pyramide écrasante. Pour moi, l’installation ésotérique complète que j’ai reçue en Suisse dans la GLSA, ainsi que le fait d’avoir été reçu au dernier degré de mon rite, me semblent les conditions de mon autorité ésotérique, et mon élection par mes FF l’acte administratif statutaire décisif. Mais comme l’indique avec sagesse le symbole du théorème de Pythagore, porté par le passé maître, si le carré de l’hypothénuse est le plus grand des trois côtés, il est égal aux deux autres ! Frat:. CC
Il me semble que le profane fait confiance à son parrain pour le suivre dans l’obédience à laquelle il appartient. Ce genre de chicaneries sur l’obédience initiale va à l’encontre des fondamentaux de la démarche maçonnique.
Le franc-maçon évolue dans sa réflexion en passant les différentes étapes de son parcours initiatique.
Un FF a bien commencé au Grand Orient, est passé par la GLNF et est devenu GM à la GLAMF.
La crise de 2009 à la GLNF a profondément marqué l’obédience et a eu des répercussions durables. Elle a mis en lumière les enjeux de gouvernance au sein des organisations maçonniques et a montré comment des tensions internes peuvent mettre en péril la cohésion d’une obédience.
La seule question que doit se poser le Supreme Grand Conseil, lequel est celui qui par sa bienveillance, son écoute pilotera de manière responsable et intègre l’obédience. En gardant pour objectif de rassembler ce qui pourrait être épars, tout en évoluant avec son temps.
L’auteur de l’article est provocateur avec cette description “Barons Noirs” qui laisse transparaître un certain parti pris, avec une rancœur non avouée, voir au delà de la frustration à l’égard de l’organisation décrite.
Sa critique, bien qu’argumentée, semble teintée d’une subjectivité qui dépasse le cadre d’une analyse objective, ce qui pourrait indiquer une prédisposition négative ou un ressentiment latent envers l’entité en question.
Une question aux membres du Souverain Grand Comité qui auront à sélectionner le Candidat qui devra être ratifié par l’Assemblée de Grande Loge en décembre prochain :
La date limite de réception des candidatures à la Grande Maîtrise par le Conseil des Sages, étant fixée dans le règlement général de l’Obédience au 30 juin, celle du TRF Pennes datée de juillet sur sa profession de foi adressée à tous les membres du SGC, est-elle valide ?…
L’un des deux candidats, donc, n’a-t-il pas respecté le Règlement Général ?… Ce serait bête de la part de celui qui aurait pour mission de faire respecter les règles de notre vieille confrérie…
Bonne question ! Cela vient corroborer le fait que les membres du SGC ont d’abord reçu la profession de foi d’Emmanuel S. (simple scann de travers, présenté volontairement comme un vulgaire torchon pour décrédibiliser sa candidature) et qu’il fallut attendre un jour de plus (le temps que Y. Pennes la rédige ?…) l’autre présentation parfaitement présentée sous format pdf…
Article tordu. L’un des candidats représente toutes les vertus maçonniques à commencer par la modestie et la prudence (je le connais). L’autre non : vindicatif et injuste (je le connais aussi). En tant que VMEC de la GLNF, mon choix est vite fait. Il ne s’agit pas d’une « boule puante ». Peu m’importe le soutien du TRGM, seule la personne compte.
Cher Christophe, mon frère,
Tu parles de celui qui est nommé par ton suprême chef de l’ordre ?
Tu parles de celui qui cache l’obédience qui lui a donné la lumière, sa vraie date d’initiation et son rite
d’origine ?
J’espère qu’il ne s’agit pas du Droit Humain, tout comme François Stifani ! On a vu où cela a mené ta grande loge.
Tu parles de celui qui n’est pas transparent quant à la nomination de son député grand maître, le futur n° 2…
Pour moi, il a tout avalisé (avait-il le choix ?), y compris le retour du parjure Foellner !
Par l’emploi du mot “prudence”, sous-entends-tu qu’il ne décide jamais de rien ?
« Il est plus aisé de connaître l’homme en général que de connaître un homme en particulier. »
François de La Rochefoucauld
TCF Gilles, je ne suis entré à la GLNF qu’en 2018, venant de la Grande Loge suisse Alpina, dont je reste membre. En France, j’ai été reçu dans la Province de Provence, puis affilié à Paris où je vais recevoir le maillet d’une de mes LL. J’ai rencontré l’un des candidats dans les rites de perfection, au plus haut niveau où je suis garant d’amitié. J’ai donc une connaissance personnelle des deux candidats. Voici pourquoi je me suis cru obligé de donner mon avis, craignant que la tournure de l’article cité ne réfute d’avance comme des manœuvres d’appareil toutes les critiques nécessaires qui viendront dans le débat. Frat:. CC
C’est quoi VMEC ? La Ventilation Mécanique Électronique Contrôlée ?
voyons, voyons ! un peu d’imagination ou de pratique plus régulière en Loge : VM en ch…
Cher Janushiam,
Chez nous, la notion ou le concept de VMEC n’existe pas.
Le VMEC est s’appelle simplement VM. Un passé, passé immadiat, ancien ou ex VM porte un autre titre. Nous n’avons donc pas besoin de preciser qu’il préside son atelier.
TAF.
Vénérable, mettre en convalescence. 🤣😂