Les oboles…
Certains chemins de vie font que, malheureusement, nombreux naissent et grandissent sans connaître leur père (quoique d’autres souhaiteraient ne pas l’avoir connu…). VIDUITAS… VIDUA… C’est le vide à combler. Alors, il “nous plait” de voir circuler, en tenue, le tronc de bienfaisance appelé encore le tronc de la veuve.
Bourse de nos aumônes, nous manifestons, matériellement, notre aide fraternelle en toute discrétion. Parce que “donner avec ostentation, ce n’est pas très joli. Mais ne rien donner en toute discrétion, ça ne vaut guère mieux” !
Una pequeña investigación realizada en la Gran Logia de Chile, arrojó el resultado que la caridad masónica, solo alcanza a 25 centavos de dólar por Hermano. Pero en el ágape gastan 18 dólares y en el post ágape, otros 10 dólares.
Patético
« J’ai désiré faire le bien mais je n’ai pas désiré faire du bruit, car j’ai senti que le bruit ne faisait pas de bien et que le bien ne faisait pas de bruit. » (Louis-Claude de Saint-Martin).
En effet constaté aussi au plateau d’hospitalière. Toujours quelques pièces “jaunes” qui trainent. Heureusement que la majorité pense que certains de nos FF.: et nos SS.: peuvent en avoir besoin.
“Le rire repousse le courant d’air de la déprime.
Le rire éloigne les frimas de la dépression.
Prends soin de réveiller ce petit cardiologue. Il réchauffera ton coeur en toute saison de la vie.”
Xavier Lacassagné
Et n’oublions jamais que “l’humour est l’impolitesse du désespoir” Dominique Noguez.
Bon dimanche
Merci MTCS pour ton commentaire qui ramène à une vue plus globale et en même temps, à une définition ou contexte plus précis, qui traduisent la réalité de notre idéal fraternel. Oui, il nous appartient d’œuvrer à rassembler ce qui est épars…
Quand à l’instant humoristique qui capte des petits travers constatés (oui, oui…) il appelle, je crois, à réaction ou à une forme d’émotion et tant mieux. 😉 Parce que, comme disait Braque « j’aime la règle qui corrige l’émotion. J’aime l’émotion qui corrige la règle » .
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«L’utilisation des fonds réunis dans le tronc de la veuve sont utilisés dans le cadre d’une œuvre d’assistance fraternelle globale, rassemblant ainsi chaque donation individuelle en un «tronc» commun, un acte de bienfaisance mené collectivement, par une Fraternité qui s’est mise en place par le biais de la Franc-maçonnerie… au même titre que chaque pierre, une fois assemblée aux autres, participe à la réalisation de l’édifice.» (p.328 : )
En 1808, on trouve dans le Vocabulaire des francs-maçons de J. L. Laurens l’expression boète des pauvres.