L’histoire nous plonge dans un dialogue intemporel entre une femme et son ange gardien, cette petite voix murmurant dans sa tête. Frédérique, à la croisée des chemins, s’apprête à vivre une aventure inattendue et extraordinaire, qui la mènera au cœur des méandres de l’inconnu.
Si la vie n’est qu’une suite d’obstacles, faut-il les résoudre pour en sortir grandie ? Pouvons nous refuser la mort au prétexte qu’on a encore « trop de choses à faire » l’héroïne vit une expérience de mort imminente et ses « guides » lui retracent ses expériences passées. Comme Platon devons nous imaginer que l’âme survit ? Qui conduit le train de notre destinée ? Il y a du « MATRIX » et du HARRY POTTER dans les interrogations de l’auteure et si le pari de Pascal se rejouait à chacune de nos interrogations sur le sens de notre vie ?…Si comme le dit l’adage : « partir, c’est mourir un peu », l’ouvrage nous apprend que mourir n’est peut-être pas partir du tout.
L’AUTEURE
Donat-Sol aime les voyages et la nature. C’est dans la plénitude des ballades en campagne qu’elle puise son inspiration. Poésie et musique accompagnent la rédaction de ce roman pour aller chercher au plus profond de son âme: émotion, humour et peut-être, dérision. Comme elle l’écrit, en préambule c’est son « ange gardien » qui a tenu sa plume pour rédiger un dialogue intemporel sur ses doutes, ses incertitudes et ses colères.
Merci pour cette interview; Cette personne a une façon délicieuse de parler de ses questionnements et des réponses qu’elle y apporte. Une belle âme, c’est évident.
La seule chose qui me dérange est l’emploi des mots “être positif” pour qualifier ce que je préfère appeler “garder la foi et l’espérance en soi,” et ainsi de choisir d’avancer avec confiance. L’expression qu’elle emploie et redit à plusieurs reprises est aujourd’hui devenu un élément de langage tellement galvaudé que c’est un “fourre-tout” qui ne veut plus rien dire car chacun lui fait dire ce qu’eil veut. Bien nommer est une des premières choses qu’on apprend sur le chemin initiatique pour bien développer sa pensée symbolique. Il me semble qu’elle n’en manque pourtant pas.