L’AUTEUR
BERNARD CHAUVIERE prend contact avec l’alchimie à l’âge de 16 ans en lisant le Matin des Magiciens de Pauwels et Bergier – Etude des classiques de l’alchimie Philalèthe , Flamel ,Cosmopolite, et consort – Le Mutus Liber , Première correspondance avec Eugène Canseliet Janvier 1976 puis visites
Rencontre avec Roger Bourguignon ,Robert Delvarre , puis Jean Laplace 1983, 1987.
Construction du four de fusion par Roger Bourguignon 1984 ,1985 – Première récolte de la rosée1978 – Mise en route du four de fusion et premier travaux au laboratoire- Correspondance avec Emmanuel d ‘Hoogsworth. 1993 ,1995
L’OUVRAGE
Concernant le travail au laboratoire ( cf Fulcanelli & Canseliet)
* Nécessité absolue de travailler avec la matière préparée, afin de ne plus œuvrer avec l’antimoine vulgaire mais avec le plomb des sages, (assation)
* De là découlent certaines manifestations différentes du travail spagyrique, avec l’antimoine
* Ce qui permet par exemple l’obtention d’un vitriol différent quant à sa fusibilité notamment lors des sublimations
* Une constatation très intéressante aux sublimations, le vitriol devient magnétique alors qu’il ne l’est pas avant lesdites sublimation
* Suite à ce travail en commun avec un ami nous obtenons un bouton de retour, infusible ,de texture terreuse, non métallique, de forme elliptique que nous n’oserons pas appeler rémore étant donné que la quantité obtenue est relativement faible (2mm de diamètre environ) il faut donc traiter toute la masse afin d’obtenir une quantité plus importante. Examinée au microscope cette matière présente une couleur rouge sur une face et plus foncée sur l’autre.
* Restons prudent car en Alchimie il convient de rester humble et ne pas affirmer des choses fausses et ne pas prendre des vessies pour des lanternes..