ven 22 novembre 2024 - 06:11

Sommes-nous perfectibles ?

 Jamais il ne s’est autant vendu de livres sur ce que le marketing nomme « le développement personnel », cette promesse  de mieux-être ! L’importance de leur demande  participe même à la survie des points de vente en ce temps viral qui nous  tourmente et confine !

   C’est heureux pour le commerce actuellement en difficulté. Leurs titres alléchants,  qui font espérer  « La maitrise de soi en 10 leçons » ou « Le bonheur ici et maintenant », « Parler en public facilement »,  « Etre vite apprécié » centrés sur l’immédiateté,  peuvent constituer, avant même leur contenu, une précieuse « aide à vivre », au delà de tout narcissisme.   En ce sens, ces ouvrages répondent à un  besoin de l’époque à prendre en compte. Les moquer serait  déconsidérer des milliers de gens en manque relationnel !

Mais  bien sûr, il ne faut pas assimiler « la pensée positive » qui les fonde à la « psychologie positive » à visée scientifique.

De la parole, les sciences humaines

Certes, il est toujours préférable de voir le verre à moitié plein qu’à moitié vide ! Quoique ce point de vue relève davantage de l’optimisme proverbial et de la recette  populaire proposée partout, pour tous et toutes, pour tout et tout le temps,  que de l’étude méthodique et reproductible, de l’individu en « contact ». Le premier constate  la puissance de l’imagination,   la seconde observe le comportement individuel. Au vrai, l’un annonce l’autre et sont complémentaires. Et ainsi  par la valorisation de « l’humain » et l’équanimité recherchée, ils nous renvoient à la philosophie.

Depuis que le descendant des primates vocalise et manie le verbe, l’éloquence n’a fait que progresser. Dans l’antiquité, les sophistes instrumentalisaient l’art oratoire à visée persuasive tandis les philosophes dits « authentiques »   y trouvaient le support de la raison qui conduit à la vérité. Au XXème siècle, en 1922, le pharmacien Emile Coué propose l’autosuggestion  consciente pour soulager  les maux bénins par la répétition quotidienne d’une phrase « guérisseuse » : « Tous les jours, à tous points de vue, je vais de mieux en mieux ». Raillée en France, elle a fait le tour du monde et, par étapes créatives, de l’hypnose du docteur Ambroise Liebault au Training autogène du psychiatre Johannes Schultz, elle a donné naissance  à la sophrologie forgée dans les années 1960 par le psychiatre colombien Alphonso Caycedo. Même cheminement novateur pour la psychanalyse freudienne,  née à la fin du 19ème siècle, à partir de la préscience de l’inconscient, entre autres, par les médecins allemands Gustav Carus et Georg Groddeck,  puis surtout le philosophe Friedrich Nietzsche, reconnu par le créateur comme son  vrai précurseur. En déduisant que dans notre esprit, ce n’est pas le rameur qui mène la barque mais un passager clandestin, le génie de Sigmund Freud a été, non pas de découvrir mais, en véritable « spéléologue de la psyché », de faire parlerledit inconscient de ses patients sur son divan.

La psychanalyse, fille de la philosophie,  a elle même engendré un modèle de communication, l’Analyse Transactionnelle  (centrée sur le Moi relationnel) conçue par le psychiatre  canadien  Eric Berne dans les années 1960.  De nombreuses méthodes thérapeutiques ont suivi, dont la Programmation Neuro-Linguistique (PNL). Cette technique de « transformation de soi » a été élaborée dans les années 1970 aux Etats-Unis par le linguiste John Grinder et le mathématicien Richard Bandler, inspirés notamment par la Méthode Coué.  Elle est fait partie  aujourd’hui de « l’outillage » de la psychologie positive précitée, laquelle s’inscrit à son  tour dans le corpus des sciences humaines et sociales.

Apprendre de soi

On peut ainsi constater qu’au fil de son histoire – et depuis le Moyen-Age grâce au livre imprimé, précieux dépositaire de sa mémoire –  l’homme ne cesse de faire de lui-même un objet d’études. Afin, sans nul doute, de répondre à l’exigence de sa nature qui est de désirer. Comme le dit le philosophe Baruch Spinoza, le désir étant son essence, il s’assigne en permanence de persévérer dans son être.  Ce qui ne signifie pas devenir parfait, état d’autant plus impossible qu’il stopperait son conatus, cet effort même qui le détermine.

         Dès lors, qu’en est-il de cette « obstination à prospérer » inscrite en nous?  Elle passerait – pour les occidentaux que nous sommes –  par la connaissance de soi,  à laquelle nous convie la fameuse injonction « Connais toi toi même » de Chilon inscrite au fronton du Temple de Delphes et que Socrate (469-399 av. JC) a fait sienne. La franc-maçonnerie spéculative  l’a  empruntée à son tour à Socrate et la propose comme premier devoir à ses adeptes, avec pour sens et pour chacun, chacune,  l’évaluation et l’acceptation de ses limites, physiques, émotionnelles et mentales, le rappel de sa  condition de mortel  et l’évitement  conséquent de toute démesure (hubris, en grec).

A noter que pour Platon (428-347 av JC) la devise socratique est à comprendre comme une injonction à ne pas dépasser les limites du savoir humain. Il l’oppose à la prétention des Sophistes au savoir total.

C’est de la sorte,  en « apprenant de soi », de ses possibilités, en toute modestie, une façon de se respecter et s’aimer.  Mais, prendre conscience de sa personne, c’est aussi admettre avec humilité, qu’approcher sa propre réalité, revient  à seulement  se voir « en surface ». Comme on voit les vagues sur l’océan mais pas les profondeurs sous-marines. 

Seule  la mémoire, donc le passé,  par l’intermédiaire de mes sens peuvent me donner, par instants, accès au vécu de mon être intérieur : la vue d’une photo de classe primaire, la senteur d’une rose, le toucher d’un meuble ciré, la voix d’un chanteur à la radio, le goût d’une noix fraîche, autant de fugaces « madeleines de Proust » qui, en surgissant dans mon cerveau me font revivre un événement et me donne alors, la plénitude, le sentiment de moi-même. D’être en mon être. Le souvenir est d’ailleurs la matière première de la séance de psychanalyse, lieu où l’analysant « extrait » et verbalise ses instincts et pulsions, éventuellement générateurs de conflits, pour identifier ses désirs. Et vivre en harmonie avec lui-même.

La fièvre ascensionnelle

Comme son appellation l’indique, l’homme  contemporain  dit homo sapiens est d’essence double. En tant que vivant, être biologique, il appartient au règne animal de l’espèce Homo, évoluant parmi ses semblables. Comme il pense, se pense, se représente, imagine, invente,  crée, apprend, parle, échange et transmet, il est progressivement devenu  Sapiens   (tenant de sagesse et savoir), genre auquel il appartient désormais. Il est conscient de son existence, il agit ou est agi selon une intentionnalité (personnelle ou transcendantale, au gré des thèses) et  ses capacités physiques et intellectuelles.

Le fait de penser et communiquer, de choisir et décider,  produit des attitudes et  des comportements uniques, sans équivalents  dans le règne animal. L’immense majorité des êtres humains ne vit plus vraiment aujourd’hui au sein de la nature, mais dans un milieu culturel, social, technique et économique  forgé au fil des générations. La qualification de « sapiens » attribuée par l’anthropologie à cet « homme évolutif » est fondée en termes de connaissances, d’acquisitions et d’applications de son intelligence, mais ne fait pas de lui « le sage » annoncé ! Il a les défauts de ses qualités. Par exemple : curiosité, volonté, courage, orgueil, autant d’adjectifs qui peuvent engendrer intrépidité, entêtement, imprudence, vanité. Son intelligence « faussée » est alors à même de  créer un « ego boursoufflé » dont la surdimension entraîne le fameux « hubris », terme  qui, chez les Grecs anciens,  désignait la démesure précitée, pouvant lui être fatal !

On peut aussi constater que le « rêve d’Icare » – ce désir chimérique de voler comme l’oiseau – habite toujours son inconscient. Il l’a sublimé au fil du temps, par une « verticalité constructive » !  De la légendaire Tour de Babel aux Pyramides d’Egypte,  de la Tour Eiffel à Paris aux Twin Towers (tragiquement disparues en 2001) à New York, entre autres. Aujourd’hui,  elle est véritablement devenue « fièvre ascensionnelle » avec la construction, notamment à Dubaï,   de « gratte-ciel » toujours plus hauts. La dernière tour – nommée Kingdom Tower –  qui culmine à plus de mille mètres confirme cette inquiétante grandiosité de l’architecture planétaire contemporaine ! 

Une telle démesure redevient « bonne mesure » quand l’homo passant du sapiens  au societus est conscient que sa tête aspirant aux étoiles ne l’empêche pas d’avoir les pieds sur terre ! Etre paradoxal, volontiers orgueilleux, prétentieux, égoïste, colérique, il sait passer de la lumière éblouissante à la lucidité éclairante. Alors, dans l’agressivité ambiante et du chacun pour soi – où le nombrilisme atteint lui aussi des sommets ! – il est capable de refuser la violence, de respecter les autres et de leur montrer solidarité et générosité. Aider quelqu’un à se relever, c’est s’élever soi-même. L’Homme debout vaut un gratte-ciel !

Du Moi au Soi

Ainsi pour le franc-maçon, la franc-maçonne, friand (e) de symbolisme, tailler sa pierre, ne consiste pas à y  sculpter  un personnage artificiel mais – c’est bien différent –  à s’extraire soi-même de cette gangue socio-culturelle qui l’emprisonne. Et partant,  du précepte socratique  « Connais toi toi -même », il, elle rejoint celui de Pindare :  « Deviens ce que tu es ». Cette naissance de soi, c’est bien le sens de l’initiation : L’Homme rendu à lui-même ! Libre !

Penser, évaluer, communiquer, interagir avec les autres, affine raisonnements, jugements, langages et attitudes. L’individu n’est plus de la sorte taraudé par le sempiternel Qui suis-je ? Se dégager de cet « auto-centrisme », c’est accéder au Que suis-je ? Autrement dit, avec cette question, non seulement découvrir mon identité,  mais en passant du Moi social au Soi profond – notre espace intime que francs-maçons nous nommons notre « temple intérieur » – trouver ma place dans la société des hommes (en tant qu’être inscrit dans un récit, familial, amical, professionnel, associatif). Pas uniquement pour conquérir une « position sociale » mais aussi bénéficier d’un « espace de contentement » privé, où je peux être heureux et rendre heureux mon entourage. Dans la reconnaissance et considération mutuelle,  aimer et être aimé : notre épanouissement dépend de cette harmonie qui est elle-même stimulante, engageante à entreprendre et croître. L’ambition n’est pas un défaut quand il s’agit d’augmenter ma « puissance d’être », d’élargir mon esprit, de découvrir et de créer. Bref,  de mieux être pour mieux vivre, de mieux échanger pour mieux partager.

La tradition monothéiste occidentale a conçu un dieu omnipotent et infini, donc parfait,  ce qui, du même coup, « réduit » l’Homme – limité (en capacités) et  fini (éphémère) – à un être imparfait.   Ce n’est pas la conception des Grecs anciens, pour lesquels le « fini » représente non pas un défaut, mais, au contraire,  le « parfait ».  Ainsi, de la naissance à la mort, la trajectoire humaine, par sa brièveté annoncée, serait selon la sagesse antique,  une incitation à en constituer, précisément, avec son acceptation joyeuse,  un « temps privilégié d’offrande » à soi, aux autres et au cosmos !

Une puissance interne

Nous constatons ici, au gré des cultures, que la perfection est de fait une élaboration mentale.   Notre création d’une divinité toute puissante, parée de toutes les vertus, nous confirme que nous ne sommes que des humains, avec nos moyens,  forces et faiblesses réunies. La comparaison ne peut nous suggérer de viser, de toute évidence, qu’un idéal de perfection. Qu’est-à-dire ?L’étymologie nous répond :

Idéal (du grec idea, forme, archétype, modèle) : Il représente le théorique, le pensé, l’imaginé, le souhaité, l’absolu…mais l’inatteignable!

Perfection (du latin per,  supplément, excès de quantité et fectio,  faire) Elle indique la production,  l’effort, le progrès constant à accomplir,  pour parvenir au plus haut degré possible d’une échelle de valeurs.

Dès lors, pourquoi s’investir jusqu’à l’impossible ? Parce que, nous répond le philosophe  Baruch Spinoza, notre « nature désirante » est animée par une force interne, le « conatus ». Cette dynamique nous commande et assigne à une constante persévérance dans notre être précitée pour déployer et valoriser notre existence. En clair, pour nous maintenir vivants ! Mais nous avons le droit de tempérer nos élans car une quête exacerbée de la perfection nuit au plaisir de réaliser les choses. Une « manie » fâcheuse pour les êtres d’émotion que nous sommes !

« C’est une perfection de n’aspirer point à être parfait » dit l’écrivain François Fénelon.

Différemment  de l’animal qui naît  « complet », programmé pour une tâche répétitive et « définie », l’homme, lui,  est inachevé en venant au monde. Alors que le poulain gambade dans le pré, une heure après sa naissance, le petit d’homme a besoin d’une assistance pour  croître physiquement  (croissance longue), pour « grandir » dans tous les sens du terme, jusqu’à l’efficience.  « Qui veut être éclair doit rester longtemps nuage » affirme joliment Friedrich Nietzsche.

C’est en fait une chance, car cet inachèvement donne  un sens à sa vie. S’il le veut (intervention de la volition), l’homme est perfectible par lui-même. Son inné (programme génétique) le dirige d’entrée vers l’acquis   (apprentissages). Il devient ainsi progressivement responsable, d’abord de lui-même, des autres ou d’une tâche ensuite. La responsabilité demande donc une formation, avec le passage à  l’âge dit de raison. Dans la vie,  chacun devient responsable de chacun.

Le « corps-esprit » en action

Cette raison acquise, dans son espace de liberté (même restreint) l’homme adulte peut faire des choix (libre arbitre, liberté de pensée, liberté d’agir dans le cadre réglementé de la communauté). Il est alors disponible à la réception des savoirs et des connaissances. Le savoir étant constitué par les informations reçues (éducation, enseignement)  et la connaissance, par les informations acquises (auto-formation, recherches individuelles). A ne pas confondre avec la Connaissance (majusculée) définissant le mysticisme intellectuel dans un cadre religieux et ésotérique.  Elle est au programme de certaines obédiences maçonniques.

La perfection de soi comprise – dans un esprit spinozien – comme une augmentation de la personne, conduit à des changements d’état. En l’occurrence dans deux directions, nature et culture. L’amélioration du corps, par sa gestion saine, cible l’entretien de la santé. Celle de l’esprit, par l’enrichissement intellectuel, vise la réflexion approfondie.

Ce « corps-esprit » en action est donc à interpréter avant tout comme un développement de la capacité  humaine à « se penser », à penser  le monde, à penser les autres. Un tel « progrès de soi », permettant de comprendre avant de juger, est à même d’amener à la bonne relation, à l’accord avec soi-même et notre semblable. C’est à dire à l’écoute et à l’empathie, pour « aller plus loin » ensemble. La perfection relationnelle conduit ainsi à « nouer et entretenir du lien », ce rapport indispensable entre animaux sociaux que nous sommes, précisément reliés par la grande chaîne du langage.

Le perfectionnement de soi nous fait constater ce que nous pouvons faire et ce que nous ne pouvons pas faire.  Ce qui est de notre ressort et ce qu’il ne l’est pas ( Epictète).  Et ainsi quel niveau de responsabilité nous pouvons accepter. Intervient donc ici, à nouveau,  une notion de limite. C’est à dire prendre la responsabilité de ce que je peux entreprendre, refuser ce qui n’est pas de mes compétences. Faire de mon mieux, c’est atteindre ma  « réalité de perfection ».  Le sentiment du « bon travail » est à même de générer  le contentement de soi, la satisfaction du devoir accompli.  Et non la culpabilité du « peut mieux faire », rappel de mauvais trimestres au temps de notre carnet scolaire !  

Du désordre à l’ordre

Il convient donc d’avoir un comportement « médian » avec la perfection : « Faire ce que doit et peut », avec un droit à l’erreur. Honnêteté avec soi et les autres, savoir raison garder, bonne conscience, cœur et âme tranquille, largeur d’esprit, sûreté de jugement, contentement du bonheur de l’autre (contraire de la jalousie), sans craindre son regard, c’est aussi cela le travail de perfectionnement. De « mon idéal de perfection » à la  mise en oeuvre de cette amélioration  : ce cheminement intellectuel – qui « convoque » la raison –  engage en même temps tout maçon, toute maçonne à se poser la question : « Comment penser et bien penser ?! ».

Penser (qui vient par déclinaison du verbe « peser ») c’est établir un dialogue avec soi (peser le pour et le contre). C’est « un dialogue de l’âme avec elle-même » dit Platon.  Cet auto-perfectionnement passe par  la définition de la pensée : la parole intérieure ». C’est avec cet échange (entre le moi et le soi) qu’il prend tout son sens.

Pas d’illusions toutefois : chacun, chacune de nous dépend bien entendu du programme génétique précité qui caractérise sa nature profonde. Il est impossible de la changer et tout effort en l’occurrence serait inutile !  En revanche, nous pouvons changer de regard sur le monde et notre existence. Et ainsi rectifier si besoin  certaines de nos attitudes.

 Personne n’est parfait ! dit l’adage. Tant mieux ! La vie serait vraiment sans attrait, si nous n’avions pas en nous de « défauts conscients » à combattre, de mauvais penchants à redresser, de ressentiments à évacuer ! Si nous ne disposions que de la morale pour boussole. Le défilé des jours, n’aurait aucune saveur, n’offrirait aucun frisson, si nous ne bougions plus, ni ne prenions aucun risque, si nous n’avions plus en nous quelque peur à dompter ! Si, enfin, nous ne conjuguions pas le verbe « oser » ? Oser penser, dire, faire, être ! Bref, nous ne serions plus vraiment humains, sans désirs,  sans projets, sans  obstacles à franchir, quelque défi à relever,  une adversité à vaincre !  Toutes proportions gardées, bien entendu. Le Mal est la doublure du manteau du Bien. Ce sont les difficultés surmontées qui fondent nos valeurs existentielles.

         Le franc-maçon, la franc-maçonne savent qu’ils ont besoin du désordre pour bâtir l’ordre. C’est des oscillations du fil à plomb que vient sa parfaite fixité. Et des lapsus dans nos discours qui  nous révèlent et en font la vérité.

 Alors seulement, nous saisissons mieux Friedrich Nietzsche quand il affirme : « Il faut avoir du chaos en soi pour enfanter une étoile qui danse ! »

                                                                              Gil GARIBAL

1 COMMENTAIRE

  1. « Il faut avoir du chaos en soi pour enfanter une étoile qui danse ! », N’est-ce pas une autre manière de présenter notre devise: Ordo ab chao….

    Merci MTCF pour toute la sagesse que tu nous livres au travers des tes articles combien profonds…

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Gilbert Garibal
Gilbert Garibal
Gilbert Garibal, docteur en philosophie, psychosociologue et ancien psychanalyste en milieu hospitalier, est spécialisé dans l'écriture d'ouvrages pratiques sur le développement personnel, les faits de société et la franc-maçonnerie ( parus, entre autres, chez Marabout, Hachette, De Vecchi, Dangles, Dervy, Grancher, Numérilivre, Cosmogone), Il a écrit une trentaine d’ouvrages dont une quinzaine sur la franc-maçonnerie. Ses deux livres maçonniques récents sont : Une traversée de l’Art Royal ( Numérilivre - 2022) et La Franc-maçonnerie, une école de vie à découvrir (Cosmogone-2023).

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