Rassembler ce qui est épars. On pourrait croire qu’analyser c’est séparer comme le prône la démarche cartésienne. La Franc-Maçonnerie, c’est le contraire de la démarche réductionniste analytique qui accepte, conformément à la méthode que proposait Descartes, de réduire le tout à ses parties, pour mieux le comprendre. Elle propose une autre voie : s’engager avec une conscience holistique qui permet d’élargir et de rassembler.
Pluraliser la parole par le la tolérance et le respect ; la tolérance comme outil de veille et le respect comme outil de réalisation.
S’interroger sur l’engagement citoyen du franc-maçon : En effet, si la quête de spiritualité reste toujours personnelle, l’engagement citoyen doit-il être aussi personnel ou bien collégial à travers les obédiences. De la réponse dépend le choix que l’on peut faire d’une obédience qui se veut plus ou moins «sociale» que d’autres.
Ce sont quelques éléments de la pensée de Christian Roblin à écouter sur : franceculture.fr/emissions/divers-aspects-de-la-pensee-contemporaine/grande-loge-de-france-liberte-de-conscience-et-laicite