« C’est le Grand Orient de France qui est derrière cette affaire ! »

La légalisation de l’euthanasie en France fait débat et une voix discordante s’élève avec force. François Asselineau, président de l’Union Populaire Républicaine (UPR), affirme dans une récente intervention sur La Chaîne du Dr Louis Fouché que le Grand Orient de France (GOF), une obédience maçonnique influente, serait à l’origine de cette initiative. Selon lui, cette proposition, portée par des figures comme le député Olivier Falorni ou encore le Professeur Jean-Louis Touraine, s’inscrirait dans une stratégie plus large visant à imposer une vision idéologique sous couvert d’humanisme.
Asselineau dénonce un projet qui, derrière des termes comme « aide à mourir », risquerait d’ouvrir la voie à des dérives, notamment l’industrialisation des mises à mort.
Il appuie ses accusations sur l’histoire de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD), fondée en 1980 par des membres proches du GOF, dont le sénateur Henri Caillavet. Depuis des décennies, cette organisation milite pour la légalisation, avec un succès partiel marqué par le vote récent à l’Assemblée nationale.
Si Asselineau ne fournit pas de preuves directes, il souligne une corrélation entre les positions maçonniques et les avancées législatives, invitant à une réflexion critique sur les influences occultes dans les sphères politiques. Cette polémique ravive les tensions autour de la fin de vie, entre défense de l’autonomie individuelle et craintes d’une érosion des valeurs éthiques.
Le 17 mai dernier, la rédaction avait proposé une série de 3 articles concernant 3 figures politiques dont François Asselineau, Éric Dupond-Moretti et Philippe de Villiers.
Chacun comprendra que dans ces 3 discours, il ne s’agit nullement de soutiens ou de sympathisants à la Franc-maçonnerie. Comme à l’habitude, nous laissons la parole à toutes les voix.