dim 04 mai 2025 - 22:05

Tout se vaudrait-il en matière de construction initiatique ?

Tout se vaudrait-il en matière de construction initiatique ? Pourrions-nous imaginer un autre temple que celui réputé avoir été bâti à Jérusalem par Salomon pour servir de cadre à une large part du parcours maçonnique ?

On pourrait mettre fin au questionnement en apportant d’emblée la réponse : non, aucun autre Temple ne pourrait remplacer le Temple de Salomon, au moins dans les pays et les cultures qui se réclament des religions du Livre et de la tradition telle qu’elle y figure.
Mais il nous faut expliquer pourquoi : bien entendu, il ne faut pas prendre les mots pour des idées, ni les représentations pour des faits avérés. Nulle preuve archéologique ne permet aujourd’hui d’assurer formellement que ce Temple, décrit dans la Bible hébraïque dans le livre des Rois et dans le livre des Chroniques, n’ait jamais existé comme et où cela nous est conté.

Mais peu importe : de même que le Maître Hiram dont nous pleurons l’assassinat n’a jamais existé en tant qu’architecte d’un Temple quel qu’il fût, de même, le Temple dont la tradition compagnonnique et maçonnique attribue la conception à ce mythique Maître Hiram a une valeur symbolique irremplaçable et exclusive, au cœur de notre propre construction initiatique comme dans l’agencement même des temples où nous nous réunissons.

Mais il faut naturellement justifier cette position, en commençant par rappeler ce qu’est le Temple de Salomon tel que le présente la Bible : le temple de Salomon, également connu comme le Premier Temple, est selon la Bible hébraïque un lieu de culte édifié par le roi Salomon sur le mont Moriah.

Or le mont Moriah, l’une des collines de Jérusalem, est le lieu supposé de la ligature d’Isaac, cet épisode biblique de la Genèse, dans lequel Dieu demande à Abraham de lui offrir son fils unique Isaac en holocauste, avant qu’un ange de Dieu l’arrête, lui disant de ne pas lever la main contre son fils. Dieu a le droit de réclamer le fils qu’il a donné, mais il ne veut pas qu’il soit mis à mort ; il le fait remplacer par un bélier.

Un bélier qui s’était opportunément pris les cornes dans un buisson fût sacrifié sur le lieu, appelé « la montagne du Seigneur » dans les Chroniques, les Psaumes, Ésaïe et Zacharie. Ce lieu est identifié au Rocher de la Fondation, désigné aujourd’hui comme Mont du Temple, à Jérusalem. La ligature d’Isaac est mentionnée dans le Nouveau Testament, dans l’Épître aux Hébreux, comme l’un des nombreux actes de foi apparaissant dans l’Ancien Testament.

Pour la plupart des penseurs chrétiens, la foi d’Abraham en la Parole de Dieu et en sa promesse font de ce passage spécifique de l’Ancien Testament un exemple de confiance significatif et exemplaire. Il faut ajouter que pour la plupart des commentateurs chrétiens, cet épisode préfigure le plan de Dieu de voir son Fils, Jésus, mourir sur la croix pour l’humanité tout entière.

La soumission d’Isaac durant toute cette rude épreuve est également semblable à celle du Christ, les deux choisissant d’abdiquer leur propre vie pour que la Parole de Dieu soit accomplie : en effet, la Genèse ne fait mention d’aucune lutte entre Isaac et Abraham.
D’autres commentateurs remarquent que les deux histoires montrent qu’Isaac et Jésus portent le bois nécessaire à leur propre sacrifice en haut de la montagne.

Certains vont même plus loin en suggérant que le Calvaire, la colline où le Christ a été crucifié, se situait sur une partie du Mont Moriah, qui a été séparée de l’ensemble rocheux afin de permettre la fortification et la défense de Jérusalem. Selon cette lecture, la crucifixion aurait donc eu lieu sur la même montagne.

Pour donner toutefois crédit à ceux qui penseraient qu’un autre édifice, un autre lieu et un autre récit aurait pu être choisi, il faut rappeler ici que dans la mythologie grecque, Athamas de Béotie tend la main pour immoler son fils Phrixos mais Héraclès envoyé par Zeus crie à Athamas d’épargner son fils et le bélier appelé Chrysomallos, envoyé par Zeus, apparaît alors…
Quoi qu’il en soit, le Temple de Salomon aurait donc été construit entre 970 et 930 avant notre ère, avant d‘être détruit lors du siège de Jérusalem par l’armée babylonienne de Nabuchodonosor II en 586 avant J-C.
Pour ceux que la suite de l’histoire intéresse, un Second Temple sera reconstruit une quarantaine d’années plus tard, après l’édit de Cyrus II, autorisant le retour des Judéens dans leur pays et la reconstruction de leur temple, ce qui prendra un peu plus de vingt années. Ce Second Temple, achevé en 516 avant J-C, devait être détruit par les Romains en l’an 70 de notre ère.
Il n’en reste aujourd’hui qu’une partie, 57 mètres pour un total de près de 500 mètres, du mur de soutènement qui renforçait le flanc occidental de ce Second Temple, d’où son appellation juive traditionnelle de Mur occidental. C’est ce fragment de mur que nous connaissons sous le nom de Mur des Lamentations.

Précisons au passage que ce nom vient d’un texte méprisant de Jérôme de Stridon, Saint Jérôme, mort en 420 à Bethléem, qui évoque les Juifs interdits de séjour à Jérusalem mais qu’on autorise (contre paiement) à se « lamenter » devant des ruines, une fois l’an.
L’expression « mur des Lamentations » est ensuite reprise au 19e siècle par les mandataires britanniques qui le traduisent de l’arabe il-Mabka (« le lieu des pleurs »). Ce terme de « mur des Lamentations » vaguement moqueur est tombé en disgrâce dans les milieux arabes des années 1920, lesquels le nomment alors El-Bourak, le nom de la monture de Mahomet lors de son voyage nocturne.
Pour être complet, le Mur occidental revêt une importance nationale pour Israël, tandis que sa proximité avec des lieux saints de l’islam, le Dôme du Rocher et la Mosquée Al-Aqsa, en fait l’un des points contentieux les plus sensibles du conflit israélo-palestinien.
Revenons au Premier Temple : selon le Deuxième Livre de Samuel chapitre 7 verset 2, le roi David avait eu un échange avec le prophète Nathan et fait le parallèle avec le fait qu’il habitait dans une maison en cèdre tandis que l’Arche d’alliance était dans une tente. David voulait donc construire un Temple.

Mais Dieu dit au prophète Nathan que ce sera le fils du roi David qui construira le temple, car David, s’il était un poète reconnu et un musicien de talent, avait aussi versé beaucoup de sang dans les multiples guerres qu’il avait livrées. Il n’avait pas non plus hésité à envoyer à un combat perdu d’avance le mari de la belle Bethsabée, afin de pouvoir alors épouser cette dernière, ce qu’elle fit en effet avant d’avoir avec son royal époux un fils, qu’ils appelèrent Salomon.
Selon le Premier Livre des Chroniques chapitre 28 verset 11, le roi David a donné les plans du temple à Salomon, non sans avoir, avant sa mort, rassemblé du matériel pour la construction du Temple en grande abondance.

Ce Temple sera construit sur le sommet

Quant au Temple lui-même, son plan rappelle, mais avec une taille réduite, celui des temples égyptiens.
Le grand architecte et archéologue Luigi Canina, au début du 19ème siècle, a montré que le temple de Jérusalem reproduisait la disposition de la salle hypostile bâtie par Ramsès II à Karnack. À Jérusalem, il y avait une nef centrale comme en avait celle de la salle hypostile. Sur cette nef régnait un double rang de fenêtres obliques qui mettait la voûte en pleine lumière et qui éclairait tout le bâtiment. Au demeurant, c’est aussi la disposition adoptée dans toutes les églises du moyen âge.
Mais à la question de savoir si nous pouvons penser qu’un autre Temple pourrait remplacer le Temple de Salomon, la réponse est, répétons-le : « certainement pas ! »

D’abord parce que le Temple de Salomon a été édifié là où d’autres traditions légendaires placent également plusieurs évènements bibliques, tels que la création d’Adam, le sacrifice d’Isaac, l’échelle de Jacob… Un lieu sacré et unique donc.
Ensuite, souvenons-nous que cet édifice contenait, dans le Saint des Saints, la précieuse Arche d’Alliance, dont le nom en hébreu (Aron ha’Edout), signifie « Arche du témoignage ». Cette arche était le coffre qui, selon la Bible, contenait les Tables de la Loi (c’est-à-dire les Dix Commandements) données à Moïse par Dieu sur le mont Sinaï.

Selon la Bible, de la sortie d’Égypte jusqu’à l’entrée des Israélites dans le pays de Canaan, l’Arche est portée par les Lévites, qui marchent à trois journées devant les autres tribus. L’Arche d’Alliance était, selon le récit biblique (Exode, chapitre 25 versets 10 à 21), un coffre oblong en bois d’acacia recouvert d’or pur à l’intérieur et à l’extérieur et sur elle il y a tout autour une bordure d’or.
L’Arche était surmontée de deux chérubins aux ailes déployées vers le haut, couvrant le coffre, et ayant leurs faces tournées l’une vers l’autre. Ils formaient ainsi le couvercle de l’Arche, couvercle ou propiatoire qui était considéré comme le trône, la résidence terrestre de l’Eternel lui-même.

C’est donc le point où la verticale, la transcendance, la spiritualité, rejoint l’horizontale, la matérialité.
Or après la prise de Jérusalem par Nabuchodonosor II en 586 avant J.-C., l’arche disparaît dans les récits bibliques. Elle n’est pas dans la liste des objets pris dans le temple de Salomon. L’Arche d’alliance n’est pas non plus dans la liste des objets ramenés de Babylone après l’exil. De fait, nul ne sait ce qu’il est advenu de l’Arche d’alliance après la chute du temple de Salomon : perte ? vol ? destruction ?
Si l’on se limite aux textes bibliques, il semblerait que l’Arche, après avoir résidé de nombreuses années dans le temple de Salomon, ait purement et simplement disparu, même si certains pensent qu’elle aurait été dissimulée par les prêtres quelque part, dans un des tunnels souterrains du Mont du Temple, ou dans un autre endroit tenu secret jusqu’au moment propice de sa réapparition, lors de la construction, à ce jour hypothétique, du Troisième Temple.

Mais peu importe : pour tous ceux qui accordent quelque crédit au récit biblique, c’est bien dans le Saint des Saints du Temple de Salomon, et dans ce lieu uniquement, que l’Arche d’Alliance a été entreposée et vénérée.
Et pour les Francs-maçons, c’est bien à l’édification de ce Temple, et de nul autre, que Maître Hiram s’était voué, avant d’y être assassiné pour ne pas en révéler les secrets à qui n’avait pas qualité pour les connaître.

Sauf à substituer un autre héros pour figurer l’homme vertueux, acceptant de sacrifier sa vie pour respecter ses serments, Hiram est donc irremplaçable en ce qu’il est, par son assassinat, perçu comme nécessaire, le personnage qui assure la cohérence du parcours maçonnique tel qu’il existait dans sa globalité dès la fin du 18ème siècle.
Une concordance s’impose à cet instant : le martyre d’Hiram et la perte du mot de Maître, le choix du mot substitué, trouvent un écho puissant dans le déroulement du rituel du 18ème degré, celui de Chevalier Rose-Croix, tel que l’évoque la cérémonie de la Cène, avec la Passion de Jésus, la parole perdue, puis retrouvée.

Toutes les étapes du parcours maçonnique jusqu’à ce 18ème degré se déroulent dans des événements de l’Ancien Testament, seule celle de Chevalier Rose-Croix racontant la Passion du Christ prend place dans le Nouveau Testament.
Or, comme le fait remarquer à juste titre Jean-Charles Nehr dans un article paru dans La Chaîne d’union en 2019, dans toute la tradition chrétienne, l’Ancien Testament annonce et préfigure les événements et les personnages du Nouveau. Ainsi, le grade de Maître va annoncer et préfigurer celui de Chevalier Rose-Croix.

Pourquoi et comment ? Relisons ensemble le « Discours historique » du Grade de Rose Croix dans les Travaux datés de 1786 du Souverain Chapitre Métropolitain :

« Ce fut alors que le Grand Architecte de l’Univers abandonna l’édification des Temples matériels à l’ignorance et à la témérité des mortels, pour en construire, par sa sublime et suprême intelligence de spirituels, dont l’existence ne cessera jamais. »

Nous sommes donc bien en train de passer de la matérialité à la spiritualité, du monde matériel à l’univers spirituel.
Voici donc pourquoi à la question, “Tout autre Temple pourrait le remplacer” la réponse est « non ».
Le choix du Temple de Salomon amène les Maçons à se projeter dans ce qui est possiblement un mythe, donc une représentation. Nous n’en possédons que la description énoncée dans la Bible, récit allégorique et symbolique bien plus que narration factuelle, à prendre au pied de la lettre.

La science ne suit donc pas certains créationnistes qui adhèrent à la théorie de l’origine des espèces animales et végétales selon laquelle chacune de celles-ci serait apparue brusquement, sans avoir d’ancêtres, sans processus évolutif, par la volonté divine.
Que le Temple de Salomon ait existé tel qu’il est décrit ou non, que l’Arche d’Alliance ait contenu ou non les Tables de la Loi gravées sur le Mont Sinaï par Dieu lui-même, si l’on en croit le Deutéronome (9/10) peu importe à la vérité : notre mémoire collective tient ces récits comme véridiques ou du moins comme fondements de notre culture commune.

Et on peut même remettre en cause Hiram lui-même, évoqué dans la Bible, au premier livre des Rois (I Rois, 7:13) avec le statut de spécialiste du travail du bronze, « rempli de sagesse, d’intelligence et de connaissance », et dont il est précisé qu’il s’occupa, à la demande de Salomon, de la décoration du Temple, c’est-à-dire qu’il moula et dressa les deux colonnes Jakin et Boaz avec leur chapiteau près du vestibule du Temple, mais aussi qu’il conçut la « mer d’airain » c’est-à-dire la vasque circulaire placée à l’extérieur du temple, ainsi que des chaudrons et des calices.

Mais que penser de cette progression que l’on peut lire dans le deuxième livre des Chroniques (II Ch. 2,14), qui évoque le même Hiram, appelé Hiram-Abi, et précise qu’il connaît « tout l’art de la gravure et la fabrication de tous les objets » ?
Et au-delà que penser de l’évolution future qui pour tous les Francs-maçons du monde depuis le début du 18ème siècle en fait l’architecte du Temple, puisque dans la Bible, l’histoire de Hiram, l’artisan, s’arrête là.

Le temple n’est donc pas une simple représentation. Ou plutôt il est davantage que cela. Il est LA représentation.
Cet édifice rectangulaire de tout juste trente mètres de long, dix de large et quinze de haut est LE symbole de la démarche initiatique à laquelle de voue le Franc-maçon.

Comme l’a écrit le philosophe Alain Delaunay, l’Arche d’Alliance au cœur du Saint des Saints, à la croisée d’un axe vertical et d’un axe horizontal, constitue l’épure symbolique de l’expérience humaine.
La croix est l’archétype du partage. Aussi la retrouve-t-on investie dans les valeurs de justice, de connaissance et d’éthique.
C’est elle qui articule les schèmes cognitifs ou symboliques de partition, répartition, position, opposition.

On retrouve la croix derrière tous les symboles d’union, de communion, de complétude, de réciprocité, de symétrie, d’équilibre. Elle est ainsi la forme privilégiée de la coïncidence des opposés.
Elle détermine un partage ontologique de l’être entre l’horizontalité de l’immanence et la verticalité de la transcendance. En fait, elle est tout autant l’archétype de la totalité.

Rose-croix brodée sur une nappe d’autel.

Il n’est en tous cas pas interdit aux Francs-Maçons du 18ème degré, Chevaliers Rose-Croix, de réfléchir sur ce qu’est le TOUT, c’est-à-dire la diversité apparente sous laquelle il faut reconnaître l’unité de la Création.
Le Temple de Salomon en est- et lui seul – la figuration, au moins sous nos latitudes et pour nous, Francs-maçons écossais, qui avons le Bible sur l’autel de nos Loges et de nos Ateliers.
Pour conclure et répondre à la dernière interrogation « Tout se vaudrait-il en matière de construction initiatique ? » Il est évident que tout ne se vaut pas.

Notre culture méditerranéenne, judéo-chrétienne, déiste sinon théiste, nous propose des mythes, des allégories…
Mythes et allégories sont des narrations d’événements qui n’ont pas de fondement historique. On peut donc les qualifier d’inventions ayant une certaine prétention à la vérité.

Le mythe, s’il narre un passé indéterminé, s’enracine dans un passé culturel parfois opaque, en tout cas imprécis. L’allégorie est plus précise, elle n’est pas héritée mais créée.
Surtout, le mythe, à défaut de se prétendre vrai, veut être cru en son sens premier, Sa valeur narrative ne doit pas être remise en cause. L’allégorie, quant à elle, se présente comme un instrument, un vecteur pour une vérité autre qu’elle-même. Son contenu narratif est présenté ouvertement comme donnant pâture à la représentation imaginaire, et c’est cette représentation imaginaire qui va donner accès à un contenu intellectuel.

Le parcours initiatique du franc-maçon écossais lui donne l’occasion de découvrir un univers symbolique où se trouvent mythes et allégories, les uns volontiers collectifs, les autres plus individuelles. Mais qu’importe…
Même si nous invoquons le Grand Architecte de l’Univers, reconnaissant à chacun le droit de croire comme de ne pas croire, nous sommes tous, par notre culture, imprégnés des enseignements mythiques ou allégoriques de la Bible, tant dans l’Ancien Testament que dans le Nouveau Testament.

Dès lors, les lieux comme les personnages auxquels nous attachons une valeur singulière ne peuvent être confondus. Ils ont tous une valeur symbolique exemplaire, une valeur en quelque sorte didactique.
Pour conclure en m’inspirant de l’excellent auteur qu’est Marc Halévy, le grand trépied mythique et mystique sur lequel repose tout l’édifice symbolique et spirituel de la Franc-maçonnerie se résume en trois idées qui ont entre elles des relations extraordinairement riches : le roi Salomon qui incarne la Sagesse la plus profonde et représente le Divin parmi les hommes, Hiram, l’architecte parfait et initié accompli, et le Temple voulu par le premier et construit par le second à Jérusalem.
Pour le Maçon Ecossais, le Temple de Salomon est donc bien irremplaçable dans la construction de lui-même et de sa relation au monde autour de lui, à laquelle il a librement choisi de se vouer.

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Jean-Jacques Zambrowski
Jean-Jacques Zambrowski
Jean-Jacques Zambrowski, initié en 1984, a occupé divers plateaux, au GODF puis à la GLDF, dont il a été député puis Grand Chancelier, et Grand- Maître honoris causa. Membre de la Juridiction du Suprême Conseil de France, admis au 33ème degré en 2014, il a présidé divers ateliers, jusqu’au 31°, avant d’adhérer à la GLCS. Il est l’auteur d’ouvrages et de nombreux articles sur le symbolisme, l’histoire, la spiritualité et la philosophie maçonniques. Médecin, spécialiste hospitalier en médecine interne, enseignant à l’Université Paris-Saclay après avoir complété ses formations en sciences politiques, en économie et en informatique, il est conseiller d’instances publiques et privées du secteur de la santé, tant françaises qu’européennes et internationales.

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