À partir du 5 janvier 2025, tous les dimanches matin, vous allez pouvoir suivre un feuilleton co-écrit par Solange Sudarskis et Frédéric Beatrix qui vous emmènera dans une aventure à clefs avec des personnages dont les actions nous apparaissent aussi trompeuses que, par temps de brouillard, la mer a l’air d’être dans le ciel.
Vous y découvrirez le combat entre deux réseaux. L’un pour mettre l’esprit humain et l’intellect au service d’un humanisme, l’autre convaincu que le salut de l’humanité n’interviendra que par la foi et la crainte de Dieu où des fanatiques ont décidé d’éradiquer des œuvres d’art exprimant leur désapprobation.
Le feuilleton se déroule, comme une épopée initiatique de Paris à Londres, Prague, Istanbul, Lyon, … mêlant l’imaginaire du mystère artistique à la découverte scientifique et spirituelle.
Au fil des pages, Alexander, accompagné d’amis, se consacre à la recherche du mystère qui se cache derrière la position particulière des mains dans des portraits. C’est une posture étrange, où le majeur et l’annulaire sont soigneusement joints. Non seulement cette position n’était pas courante, mais elle était également spécifique à des personnages qui avaient joué un rôle crucial dans la transition entre la Renaissance et l’âge classique.
Ces portraits ont de commun qu’ils représentent des hommes de sciences d’une érudition extraordinaire, embrassant des disciplines aussi variées que la médecine, l’astrologie, l’astronomie, les sciences de la nature, la chimie, les mythologies, les lettres, la poésie, la philosophie, la kabbale et la théologie. Leur savoir encyclopédique semble délivrer un message lié à cette mystérieuse position des mains.
Les indices disséminés à travers les siècles et les œuvres d’art conduisent Alexander à une révélation surprenante : la position des mains était un symbole codé transmis secrètement à travers les générations. Ce geste particulier, absolument anodin, contient une signification profonde liée à la compréhension du monde.
Les clefs du roman vous seront données à la fin du feuilleton.
Ça promet d’être captivant !
Quant à l’illusion de croire que le ciel et la mer se confondent par temps de brouillard, tout comme croire que le ciel touche la mer par temps clair, c’est une réalité avérée et vérifiable depuis là où nous sommes en regardant le large.
À moins qu’il ne s’agisse que d’une illusion d’optique qui m’aura encore leurré?
En fait tout est illusion et apparence, être ou paraître?. On ne voit avec les yeux que ce qu’ils veulent bien nous faire voir. Comme dit Saint Exupéry , l’essentiel se voit avec le cœur.
Merci pour votre travail et votre site