mer 04 décembre 2024 - 07:12

Lieu symbolique : Montsaunès, le sanctuaire secret des Templiers

Les Templiers, arrivés en Midi-Pyrénées au début du XIIe siècle, ont rapidement établi des commanderies, des bases logistiques et économiques essentielles pour soutenir leurs activités militaires et spirituelles. Ces établissements servaient de centres d’exploitation agricole, de lieux de commerce et de refuges pour les pèlerins.

La région de Midi-Pyrénées abrite plusieurs commanderies templières, chacune jouant un rôle crucial dans le réseau de l’Ordre. Parmi les plus notables, nous trouvons la commanderie de Montsaunès, fondée vers 1140, l’une des plus importantes de la région.

Au cœur du Comminges, nichée entre les villages pittoresques de Salies-du-Salat, Saint-Martory et Saint-Lizier, se trouve une merveille cachée de l’architecture médiévale : l’église romane de Montsaunès. Ce joyau du XIIe siècle, construit par les Templiers, est non seulement un édifice religieux mais aussi un témoin privilégié de l’histoire et de l’art de cette époque.

Dès leur installation à Montsaunès, les Templiers, ces chevaliers mystiques aux desseins sacrés, s’emploient à fortifier leur position avec une ardeur inébranlable. Bien que le cartulaire de l’époque ne mentionne pas la construction d’un fort ni l’achat de matériaux, il témoigne en revanche de l’enrichissement constant de la préceptorie durant la seconde moitié du XIIe siècle. Vers la fin de ce siècle, les Templiers possèdent des terres à Bartère, Castans, Vidalets, Figarol, Sainte-Mayronne de la Pajole, à Saint-Martory, et bien d’autres lieux stratégiques, formant ainsi un réseau puissant de propriétés qui assurent leur prospérité et leur influence.

Notre-Dame de Montsaunès, ainsi nommée à l’origine, incarne un statut triple : chapelle de commanderie, église paroissiale et chapelle seigneuriale des comtes de Comminges. Ces derniers, reconnaissants et dévots, gratifient l’église de nombreux biens, et deux d’entre eux trouvent leur dernier repos dans des tombeaux majestueux au sein de la façade occidentale, aujourd’hui disparus. Le chrisme scellé sur l’extrados de cette façade témoigne de l’empreinte spirituelle indélébile laissée par ces nobles âmes.

Enrichis et bien installés, les Templiers se muent en seigneurs influents, rendant justice et percevant des redevances de leurs nombreuses possessions. Toutefois, en 1312, après un procès interminable, ils sont dépossédés de leurs biens, marquant la fin d’une ère.

Les chevaliers de Saint-Jean, héritiers de la commanderie de Montsaunès, entreprennent alors de grands travaux à la fin du XIVe siècle pour renforcer la sécurité du village. Raymond de Lescure, Grand Prieur de Toulouse, en concert avec les consuls, décide de la construction d’un fort pour protéger la population en cas de danger, acte officialisé le 11 février 1397 et confirmé par le chapitre provincial du Grand Prieuré de Toulouse.

L’église de Montsaunès, dédiée à Saint-Christophe, édifiée vers 1180, se dresse majestueusement avec sa nef rectangulaire divisée en quatre travées et son chœur semi-circulaire à l’intérieur, polygonal à l’extérieur. La façade occidentale et le portail nord, ornés de sculptures datées de 1190-1220, évoquent l’art et la dévotion des bâtisseurs de l’époque. Le portail ouest, surmonté d’un chrisme, présente un bandeau figuré où s’alignent cinquante-deux têtes humaines : au centre, les élus aux visages paisibles, et vers les extrémités, les damnés aux traits déformés par la terreur et la souffrance.

À l’intérieur, les murs étaient entièrement crépis et peints à fresco secco, illustrant des scènes figurées à l’ouest. Sous les arcades proches du chœur, apôtres et prophètes veillent, figés dans une éternité silencieuse. La voûte, véritable ciel terrestre, se pare de motifs géométriques : étoiles, rosaces, croix du Temple, damiers, chevrons, rubans et festons. Sur la première travée, une croix de procession peinte resplendit, illuminant l’espace sacré. Dans la quatrième travée, un faux jubé peint orne les murs gouttereaux, ajoutant une touche de mystère et de grandeur. À l’entrée de l’espace liturgique, les vestiges du chancel du XIIe siècle, avec son armoire et sa piscine eucharistique, demeurent comme des témoins silencieux d’un passé glorieux, où l’art et la foi se confondaient en une harmonie sacrée.

Ainsi, l’église des Templiers de Montsaunès, avec ses fresques et ses sculptures, raconte une histoire de pouvoir, de foi et de beauté, une symphonie visuelle et spirituelle qui résonne encore dans les pierres et les cœurs.

Sa façade austère contraste avec la richesse et la complexité de ses ornements. Le portail occidental, d’une finesse sculpturale exceptionnelle, présente des figures ciselées dans un calcaire blanc éclatant. Les chapiteaux, parmi les plus beaux de la région du Comminges, sont décorés de scènes du Nouveau Testament, notamment l’enfance de Jésus et la vie des apôtres, illustrant la crucifixion de Saint Pierre et la lapidation de Saint Étienne. Les arcs du portail sont ornés de masques sculptés représentant, au sommet, les élus aux visages sereins et en paix, en contraste frappant avec les faces grimaçantes des damnés aux extrémités.

Voûte

En pénétrant dans l’église, le visiteur est immédiatement saisi par la splendeur des fresques qui recouvrent les murs intérieurs. Ces peintures, datées de la fin du XIIIe et du début du XIVe siècle, sont un exemple remarquable de l’art médiéval. La voûte de l’église, constellée de rosaces et d’étoiles, évoque la voûte céleste, tandis que les murs de la nef sont décorés de prophètes et de saints confesseurs, abrités sous des arcades peintes avec une grande minutie. Les décors géométriques, les frises de damiers et les représentations symboliques, telles que la Pesée des âmes où un démon à tête de chien rappelle les traditions égyptiennes, ajoutent une dimension ésotérique et mystérieuse à l’ensemble.

Soleil
Lune

La commanderie templière de Montsaunès, jouissait d’une position stratégique sur les routes reliant Toulouse à Bayonne et les vallées pyrénéennes à la Catalogne et l’Aragon. Les Templiers, célèbres pour leur rôle protecteur des pèlerins et des marchands, avaient fortifié ce site pour en faire un refuge sûr et un centre de commerce et d’échanges. Grâce aux nombreuses donations de terres et de biens par les seigneurs locaux, la commanderie de Montsaunès devint rapidement l’une des plus importantes de la Haute-Garonne.

L’église romane de Montsaunès est le seul vestige subsistant de cette commanderie fortifiée, qui fut détruite pendant la Révolution. Ce bâtiment religieux est aujourd’hui reconnu comme le témoin le mieux préservé et le plus atypique de l’architecture templière sur le versant nord des Pyrénées. Son importance réside autant dans sa valeur historique que dans la qualité exceptionnelle de ses décors.

Outre les fresques et sculptures, l’église abrite également des éléments plus rares et énigmatiques. Par exemple, les masques sculptés sur l’arc du portail occidental sont uniques en leur genre, combinant des influences locales et des symbolismes templiers. À l’intérieur, les représentations géométriques et astrales suscitent fascination et curiosité, laissant entrevoir des interprétations multiples, souvent ésotériques.

L’église de Montsaunès est ouverte aux visiteurs sur demande auprès de la mairie, offrant une occasion précieuse de découvrir ce patrimoine exceptionnel. Chaque pierre, chaque fresque raconte une histoire, invitant à un voyage dans le temps, à l’époque où les chevaliers du Temple veillaient sur ces terres. En visitant ce lieu, on ne découvre pas seulement un monument, mais on plonge dans un passé riche de légendes et de mystères, où spiritualité et histoire se rencontrent.

Ainsi, l’église romane de Montsaunès, joyau mystique des Templiers demeure un trésor inestimable, un témoignage vivant de l’héritage des Templiers et de l’art médiéval, une invitation à la découverte et à la contemplation.

Les fresques murales de l’église de Montsaunès, témoins silencieux de l’art médiéval des XIe et XIIe siècles, se dévoilent comme des récits picturaux envoûtants, empreints de mysticisme et de dévotion. Leurs nuances subtiles et motifs élaborés murmurent des histoires anciennes, invitant le spectateur à plonger dans un monde où la spiritualité se mêle à l’esthétique.

La croix, trônant au cœur des fresques, émerge avec une solennité indéniable. Elle n’est pas qu’un simple symbole, mais un pont sacré reliant le terrestre au divin. La croix évoque la crucifixion du Christ, réminiscence de la rédemption et de l’espoir d’une vie éternelle. Sa présence omniprésente rassure et protège, rappelant aux fidèles la promesse d’un salut divin.

Les motifs géométriques ornent les murs avec une régularité hypnotique. Losanges et cercles dansent en une harmonie parfaite, chaque forme portant une signification cachée. Les losanges, symboles de la terre et du monde matériel, se mêlent aux cercles, incarnations de l’infini et de la perfection divine. Ces motifs, bien plus que de simples décorations, incarnent une philosophie cosmique, une vision où chaque ligne et chaque courbe s’intègrent dans un tout universel.

Au milieu de cette symphonie visuelle, les étoiles et rosaces scintillent avec une beauté céleste. Les étoiles, messagères des cieux, évoquent l’illumination divine et les âmes des dévots. Les rosaces, éclats de perfection gothique, symbolisent l’infini et la splendeur de la création divine. Elles captivent l’œil et l’esprit, invitant à la contemplation et à la méditation.

Les figures animales surgissent des fresques avec une vitalité mystérieuse. Chaque créature, qu’elle soit lion, cerf ou autre, transcende sa simple existence pour devenir un symbole sacré. Le lion, incarnation du Christ et de la force divine, et le cerf, âme en quête de Dieu, enrichissent la toile d’un bestiaire sacré, offrant des leçons visuelles et spirituelles aux fidèles.

Les éléments décoratifs, tels des bordures délicatement ciselées, encadrent les scènes principales, ajoutant une touche d’élégance et de richesse. Ils servent non seulement à embellir, mais aussi à souligner l’importance des images centrales, guidant ainsi le regard et l’esprit vers les récits sacrés.

Les couleurs vibrantes, bien plus que de simples pigments, sont porteuses de significations profondes. Le rouge, éclatant comme le sang du Christ, parle de sacrifice et de passion. Le bleu, serein comme le ciel, murmure des promesses de pureté et de divinité. Chaque teinte, choisie avec soin, renforce le message spirituel et esthétique des fresques.

Ainsi, les fresques de Montsaunès se révèlent comme une tapisserie vivante de symboles et de beauté. Elles transcendent le temps, parlant aux âmes modernes avec la même force qu’aux fidèles médiévaux, unissant passé et présent dans une communion spirituelle et artistique.

À 3 km de Montsaunès, dans le petit village de Mazères-sur-Salat, les Templiers possédaient également une petite chapelle dédiée à Sainte Matrone. Cette chapelle fut acquise à l’abbaye d’Alet (Aude). C’est une chapelle de style roman se présentant sous la forme d’une nef unique de plan rectangulaire, dont un des côtés se termine par une abside plus étroite terminée en cul-de-four. En dehors de la porte, seules quatre archères donnent un peu de lumière dans l’édifice.

Après avoir traversé l’épreuve des siècles, la chapelle est démantelée lors de la Révolution. En 1975, une association obtient le classement de l’édifice et en 1993, un important chantier de restauration permet de remettre la chapelle sous toit et de réparer les maçonneries les plus endommagées.

Sainte Matrone, martyre à Thessalonique vers l’an 304, est une figure de foi et de dévotion inébranlable. Servante chrétienne dans une famille juive de cette cité, elle pratiquait en secret son adoration du Christ. Sa maîtresse, découvrant son attachement à la divinité du Christ, Fils de David, réagit avec une extrême cruauté. Matrone subit de rudes flagellations, son corps martyrisé sous les coups de bâton infligés par sa maîtresse. Déterminée et pleine de foi, Matrone endura des tourments multiples, chaque coup renforçant sa résolution. Finalement, c’est dans ce déferlement de violence qu’elle trouva la délivrance. Sa vie terrestre se termina sous les coups, mais son âme rendue à Dieu resta pure et innocente, son dernier souffle étant une confession fervente du Christ.

Olivier

Ainsi, à Thessalonique en Macédoine, au début du IVe siècle, la figure de sainte Matrone émerge comme un témoignage poignant de la foi chrétienne. En dépit de la persécution et de la souffrance, elle resta fidèle à son Seigneur, offrant sa vie en un ultime acte de dévotion et de courage. Les écrits du martyrologe romain préservent la mémoire de cette sainte, dont le martyre continue d’inspirer par sa force et sa pureté.

La présence templière en Midi-Pyrénées, région riche en histoire et en légendes, s’étend sur plusieurs siècles, marquée par la construction de commanderies, d’églises et de fortifications. Cette présence témoigne de l’importance stratégique et religieuse de la région pour l’Ordre du Temple, fondé au début du XIIe siècle pour protéger les pèlerins se rendant en Terre Sainte et les territoires chrétiens d’Orient.

L’église de Montsaunès, abside

Photos © Yonnel Ghernaouti YG

Église située place des Templiers
En haut du clocher, point de coq…

Mais comment ne pas évoquer, ici et maintenant, le roman de Florence Ferrari Le chevalier du temple

Ce livre relate l’histoire d’une des neuf mille commanderies d’Occident. Elles ont été à l’origine d’une œuvre civilisatrice importante, défrichant, mettant en valeur et organisant le territoire, modernisant les conditions agricoles, tout en prévoyant des statuts libéraux et démocratiques s’agissant du Droit des Gens.

C’est à travers la vie quotidienne et les péripéties du commandeur de Montsaunès responsable temporel de la  « Maison », que l’on découvre celle des templiers.

 Nous suivrons également le parcours d’un jeune chevalier qui choisit de rentrer dans l’Ordre où l’abnégation, l’humilité et le renoncement sont les maîtres mots. Guillaume traversera beaucoup d’épreuves qui seront autant d’enseignements initiatiques visant à la transformation intérieure. Épris d’honneur, de pureté et d’absolu, il veut se perdre en Dieu mais, chargé d’escorter les pèlerins jusqu’à Compostelle, il s’éprend d’une jeune femme, Alissende, contre laquelle le destin semble s’acharner. Cet amour parviendra-t-il à remettre en cause la pérennité de ses engagements vis à vis du Temple ? Comprendra-t-il que la quête doit être un pèlerinage et non une errance ?

Florence Ferrari

« Auteur de romans historiques dans lesquels l’aventure, les intrigues, les rebondissements sont indissociables de la pédagogie… » (Midi-Libre),  écrivaine, poète et conférencière, titulaire d’une licence de droit public (option Histoire), membre d’honneur de l’association Histoire et Information, Florence Ferrari vit à Montpellier et donne habituellement des conférences sur le catharisme, les Templiers, l’Égypte ancienne.

Revenons sur la première de couverture représentant un adoubement, cette cérémonie par laquelle une personne est élevée au rang de chevalier

Il était une fois, dans un royaume lointain, une cérémonie empreinte de noblesse et de grandeur, magnifiquement capturée par l’artiste Edmund Blair Leighton en 1901. Sa toile, intitulée “The Accolade” ou “L’Adoubement”, immortalise ce moment empreint de solennité et de beauté.

En un lieu sacré, baigné par une lumière dorée filtrant à travers des vitraux ornés, se tenait une scène d’une majesté inoubliable. L’atmosphère, empreinte de respect et d’admiration, semblait suspendue dans le temps, chaque murmure et chaque souffle d’air s’arrêtant pour ne pas troubler le moment sacré.

Sur une estrade de marbre blanc, au cœur de cette salle grandiose, une noble dame se tenait droite et majestueuse. Elle était vêtue d’une robe immaculée, richement brodée d’or et d’argent, et sa chevelure dorée, couronnée de gemmes précieuses, tombait en cascades harmonieuses, ajoutant une aura de pureté et de grâce à sa silhouette. Dans ses mains délicates mais assurées, elle tenait une épée d’une beauté exceptionnelle, dont la lame scintillait sous la lumière, reflet de sa puissance et de son autorité.

À ses pieds, agenouillé en signe de dévotion et de loyauté, un chevalier en armure. Son heaume posé à côté de lui révélait un visage empreint de courage et de détermination. Vêtu de son haubert étincelant et d’une tunique rouge brodée d’emblèmes noirs, il se tenait dans une attitude de profonde révérence, prêt à recevoir l’honneur ultime. Le silence pesant, empli d’une intensité presque palpable, rendait chaque détail plus vibrant, chaque geste plus significatif.

Le moment fatidique arriva. La noble dame leva l’épée, la maintenant un instant au-dessus de l’épaule du chevalier, comme pour bénir son avenir et sceller son destin. Puis, avec une grâce mesurée et un mouvement empreint de solennité, elle abaissa l’épée sur son épaule droite, puis sur la gauche, en prononçant des paroles de bénédiction et d’allégeance. Chaque mot résonnait comme une promesse de bravoure et d’honneur, chaque mouvement était empreint de dignité et de gravité.

Autour d’eux, les nobles et les chevaliers, témoins silencieux de cette cérémonie, observaient avec une dévotion palpable. Leurs regards étaient fixés sur cette scène, absorbant chaque instant, chaque détail, comme une leçon de noblesse et de vertu. Les anciens, aux barbes blanchies par le temps, se souvenaient de leur propre adoubement, tandis que les jeunes écuyers rêvaient du jour où ils seraient à la place de ce chevalier.

La cérémonie s’acheva, laissant dans l’air une aura de sacralité et de grandeur. Le chevalier, désormais adoubé, se releva, ses yeux brillants de fierté et de détermination. Il avait été choisi, il avait été béni, et il porterait désormais le titre de chevalier avec honneur et courage. La noble dame lui sourit avec bienveillance, ses yeux exprimant une sagesse et une grâce infinies.

Ainsi, Edmund Blair Leighton, à travers son œuvre réalisée en 1901, nous offre une vision intemporelle de l’adoubement, rite ancien et sacré, symbole éternel de la chevalerie et de la noblesse d’âme. Dans ce geste simple mais solennel, se reflètent des siècles de tradition, de bravoure et d’honneur, rappelant à tous les présents la grandeur et la beauté de l’esprit chevaleresque.

2 Commentaires

  1. article passionnant ! J’ai écrit un roman historique sur les templiers qui se déroule dans la commanderie de Montsaunes : Le chevalier du Temple, Florence Ferrari, Éditions TDO …Avis aux amateurs !

  2. Très intéressant article. Un grand merci pour la qualité de son contenu. Mais un extrait de carte Michelin pour localiser l endroit aurait été apprécié pour le lecteur que je suis mais qui est domicilié bien loin de cet endroit.

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Yonnel Ghernaouti
Yonnel Ghernaouti
Yonnel Ghernaouti, fut le directeur de la rédaction de 450.fm de sa création jusqu'en septembre 2024. Il est chroniqueur littéraire, membre du bureau de l'Institut Maçonnique de France, médiateur culturel au musée de la franc-maçonnerie et auteur de plusieurs ouvrages maçonniques. Il contribue à des revues telles que « La Chaîne d’Union » du Grand Orient de France, « Chemins de traverse » de la Fédération française de l’Ordre Mixte International Le Droit Humain, et « Le Compagnonnage » de l’Union Compagnonnique. Il a également été commissaire général des Estivales Maçonniques en Pays de Luchon, qu'il a initiées.

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