De notre confrère Mos Majorum avec le commentaire de la GLFF au dessous
Nous vous proposons tout d’abord un reportage vidéo de « Mos Majorum » (qui date un peu) sur les liens présumés entre la GLFF et plusieurs personnalités du féminisme institutionnel. Selon lui, il s’agit d’un féminisme devenu institutionnel en république, car transpirant directement des loges.
Ensuite, vous pourrez découvrir l’intervention de la GLFF qui commente la situation après avoir pris connaissance de ce reportage.
La Grande Loge Féminine de France, présidée par Catherine Lyautey, (photo ci-dessous) a pris connaissance de cet étonnant documentaire qui de manière caricaturale met l’accent sur son supposé rôle « d’influenceuse ».
Elle tient à rappeler que des femmes de progrès, ont souvent rejoint les loges maçonniques et sont des militantes éprises de liberté. Elles combattent avec ardeur les inégalités et les injustices et veulent être actrices de leur vie.
Si la GLFF est auditionnée par les instances gouvernementales pour certains sujets comme les droits des femmes, la fin de vie, la laïcité, etc.… c’est parce que les Sœurs de la GLFF travaillent depuis des années sur ces sujets, afin d’œuvrer au respect des droits des femmes, condition indispensable à l’universalité des droits humains.
Dans les lieux de réflexion que sont les loges, les femmes francs-maçonnes de la Grande Loge Féminine de France s’efforcent de contribuer à l’édification d’un monde plus juste et plus éclairé.
Depuis la création de la Grande Loge Féminine de France, leur engagement dans une voie pour l’émancipation et l’épanouissement des femmes, a ouvert le champ des possibles
Nous remercions toutes nos Grandes Maitresses qui, inlassablement, au fil des années, avec une égale douce obstination, ont défendu les droits des femmes et qui continuent !