De notre confrère brésilien folhadolitoral.com.br
La vraie justice doit rechercher l’égalité entre les citoyens, étant définie comme « la qualité de ce qui est conforme à ce qui est juste ; la manière de percevoir, d’évaluer ce qui est juste, juste ; ça peut être aussi “la reconnaissance du mérite de quelqu’un ou de quelque chose”.
Le 8 décembre (mercredi dernier) est, au Brésil, la Journée de la justice, et cette date a été instituée dans les années 40 du siècle dernier pour ce qu’il serait plus approprié d’appeler la « journée judiciaire », l’instance qui la célèbre notamment comme un jour férié. La vraie justice doit rechercher l’égalité entre les citoyens, étant définie comme « la qualité de ce qui est conforme à ce qui est juste ; la manière de percevoir, d’évaluer ce qui est juste, juste ; ce peut être aussi « la reconnaissance du mérite de quelqu’un ou de quelque chose ».
En Franc-Maçonnerie, la « Justice » est un concept qui non seulement doit être rappelé, mais doit être présent chaque jour, chaque heure, en permanence ancré dans les profondeurs du vrai Franc-Maçonnerie. Elle est présente dans la devise « Science, Justice, Travail », représentant l’équilibre et la valorisation des relations humaines. Il est dit que « la franc-maçonnerie ne considère le progrès possible que sur la base du respect de la personnalité, de la justice sociale et de la solidarité la plus étroite entre les hommes ». De l’homme maçon est toujours exigée « la pratique de la morale, de l’égalité et de la solidarité humaine et de la justice dans toute sa plénitude ».
C’est un concept abstrait, présent dans l’histoire humaine depuis l’antiquité. Les Hébreux ont légué, à travers le livre biblique de la Sagesse (ch. 8, verset 7), que « Et si quelqu’un aime la justice, qu’il sache que les vertus sont des fruits de la Sagesse : elle enseigne la tempérance et la prudence, la justice et la forteresse, qui sont les biens les plus utiles de la vie ». Avec le courage (courage et force), la prudence (sagesse) et la tempérance, c’est l’une des quatre vertus cardinales (du philosophe Platon) ou cardinales (de la théologie) qui polarisent toutes les autres vertus humaines.
Selon la doctrine de l’Église, elle consiste « dans la volonté constante et ferme de donner aux autres ce qui leur est dû », concept qui trouve son origine dans le droit romain. Dans la Rome antique, la justice (“Iustitia”) était représentée par une statue aux yeux bandés, dont les valeurs maximales étaient “tout le monde est égal devant la loi” et “tout le monde a les mêmes garanties juridiques”, ou encore, “tout le monde a les mêmes droits”. Ulpien, grand juriste romain dont les travaux ont fondamentalement influencé l’évolution du droit, érigés en préceptes du droit : « vivre honnêtement », « n’offenser personne », « donner à chacun ce qui lui appartient » (« Juris praecepta sunt haec : honnête vivere , alterum non laedere, suum cuique tribuere »).
La justice fait référence à un état idéal d’interaction sociale dans lequel il existe un équilibre qui, en soi, doit être raisonnable et impartial entre les intérêts, la richesse et les opportunités d’un groupe social donné. Il est présent dans l’étude du droit, de la philosophie, de l’éthique, de la morale et de la religion. (…) « Désigne le respect des droits des tiers, l’application ou le remplacement de leur droit parce qu’il est supérieur en vertu morale ou matérielle.
La justice peut être reconnue par des mécanismes automatiques ou intuitifs dans les relations sociales, ou par la médiation par les tribunaux, par le pouvoir judiciaire. La Franc-Maçonnerie est essentiellement démocratique, et dans son organisation elle observe également la séparation des pouvoirs, ayant son propre Pouvoir Judiciaire. Or, en Franc-Maçonnerie « l’exercice du pouvoir de juger et d’appliquer les peines doit s’exercer avec une grande sérénité, équilibre, bon sens, tolérance et responsabilité accrue, afin de ne pas transformer l’opportunité de récupérer un homme en un instrument de révolte et de désenchantement. avec l’Ordre. (Kretschmer).
Reste que la Justice fait l’objet d’études pour le franc-maçon depuis son entrée dans la franc-maçonnerie, comme le « sens du jugement, l’évaluation de la conduite et la prise de décision par le franc-maçon ». Tout au long du voyage maçonnique, on apprend que la sagesse ne consiste pas à punir les erreurs, mais à rechercher les causes et à les chasser. Le droit et la justice sont opportunément étudiés, conduisant à comprendre que les lois et règlements doivent être fondés sur des valeurs éthiques et morales ; dans chaque procès, une défense pleine et entière doit être assurée ; les droits et les devoirs doivent être appréciés ; les décisions doivent être impartiales, sans parti pris, que ce soit par amitié, par peur ou par récompense ; La justice doit être égale pour tous, et la justice maçonnique répond également à l’appel, à la considération et au pardon.
D’après l’Oxford Dictionary, Wikipedia, des informations de GOB-PR, du site Web de Jusbrasil, du site Web de TSE et d’un article de V. Kretschmer (à l’ adresse freemason.pt).
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