dim 24 août 2025 - 02:08

Le Dalaï-Lama célèbre ses 90 ans

Le 6 juillet 2025, Dharamsala, la ville himalayenne qui abrite le gouvernement tibétain en exil, s’est transformée en un épicentre de ferveur spirituelle pour célébrer le 90e anniversaire de Sa Sainteté le 14e Dalaï-Lama, Tenzin Gyatso. Des milliers de bouddhistes tibétains, accompagnés de dignitaires indiens, de diplomates occidentaux, de moines en robes safran et de figures comme l’acteur Richard Gere, se sont réunis au temple Tsuglakhang pour rendre hommage à ce leader spirituel, lauréat du prix Nobel de la paix en 1989.

Dalaï Lama

Malgré les pluies torrentielles de la mousson, l’enthousiasme des fidèles a illuminé l’événement, rythmé par des danses culturelles, des prières et des chants, avec un message de compassion, d’unité et d’espoir. Cette célébration, marquée par des déclarations sur la réincarnation du Dalaï-Lama et son souhait de vivre jusqu’à 130 ans, a aussi ravivé les tensions avec la Chine, qui revendique un contrôle sur sa succession. Bien que le Dalaï-Lama n’ait jamais explicitement abordé la franc-maçonnerie, ses enseignements bouddhistes partagent des parallèles profonds avec les principes maçonniques, notamment dans leur quête d’harmonie, de transformation intérieure et de fraternité universelle. Cet article explore les festivités du 90e anniversaire du Dalaï-Lama et tisse un dialogue entre sa voie spirituelle et les idéaux de la franc-maçonnerie.

Les Célébrations du 90e Anniversaire : Une Semaine d’Unité et de Résilience

Dalai Lama et Matthieu Ricard
Dalaï Lama et Matthieu Ricard

Le 6 juillet 2025, Dharamsala s’est parée de drapeaux de prières flottant dans le vent et d’effluves d’encens pour honorer le Dalaï-Lama. Au temple Tsuglakhang, cœur spirituel de la communauté tibétaine en exil, des milliers de personnes ont bravé la mousson pour participer à une cérémonie vibrante. Le Dalaï-Lama, vêtu de sa robe safran, a été accueilli par des danses traditionnelles tibétaines, des prières pour sa longévité et la coupe d’un gâteau à sept étages, symbole de la grandeur de l’occasion. Des enfants en uniforme, des résidents en costumes traditionnels et des dignitaires, dont des ministres indiens et Richard Gere, fidèle soutien de la cause tibétaine, ont ajouté une dimension internationale à l’événement.

À travers le monde, des célébrations ont eu lieu, de Tokyo à Katmandou, en passant par Taipei et les communautés tibétaines en exil. À Tokyo, des membres des communautés chinoise, ouïghoure et de Hong Kong se sont joints aux Tibétains pour rendre hommage au Dalaï-Lama, tandis qu’à Katmandou, le moine Chuwar Kyabje Kuntse Rinpoche a présidé une cérémonie empreinte de spiritualité. Le Premier ministre indien Narendra Modi a adressé ses vœux, saluant le Dalaï-Lama comme

« un symbole durable d’amour, de compassion, de patience et de discipline morale ».

Cette déclaration a provoqué une protestation de la Chine, qui perçoit le Dalaï-Lama comme une menace à son autorité sur le Tibet, soulignant les tensions géopolitiques qui entourent sa figure.Dans son discours, le Dalaï-Lama, se décrivant comme un « simple moine bouddhiste », a réaffirmé son engagement à servir les êtres sensibles et le dharma. Avec une pointe d’humour, il a exprimé son espoir de vivre jusqu’à 130 ans, déclarant : « Avec les bénédictions d’Avalokites hvara, j’espère vivre encore 30 ou 40 ans pour continuer à servir. » Il a également abordé la question sensible de sa réincarnation, affirmant que le prochain Dalaï-Lama serait choisi par le Gaden Phodrang Trust, une organisation qu’il a établie, rejetant ainsi les prétentions de la Chine à contrôler ce processus.

Cette annonce, qualifiée de « coup de poing au visage » par l’activiste tibétain Tenzin Tsundue, a renforcé l’autonomie spirituelle du bouddhisme tibétain.Le décor de la cérémonie, orné de portraits de Nelson Mandela, Gandhi, Martin Luther King Jr. et Mère Teresa, proclamait une « Année de Compassion », reflétant l’universalité du message du Dalaï-Lama. Rev. Ueda Shoudou, président de la Super Samgha au Japon, a partagé des anecdotes sur la simplicité du Dalaï-Lama, tandis qu’un projet de plantation de cerisiers (Sakura) avec Tibet House a été lancé pour commémorer cet anniversaire. Ces festivités, mêlant spiritualité et résilience, ont mis en lumière la capacité du Dalaï-Lama à fédérer des communautés autour de valeurs universelles.

Une Vie au Service de la Compassion

Dalaï-lama
Dalaï-lama

Né Lhamo Dhondup le 6 juillet 1935 dans le village de Taktser, dans le nord-est du Tibet, le Dalaï-Lama est identifié à deux ans comme la réincarnation du 13e Dalaï-Lama à travers des visions et des tests spirituels. Couronné à 15 ans en 1950, il assume la direction spirituelle et politique du Tibet au moment de l’invasion chinoise. En 1959, après un soulèvement raté contre l’occupation, il s’exile en Inde avec des dizaines de milliers de Tibétains, établissant son siège à Dharamsala. Depuis, il prône la « Voie du Milieu », une approche non violente visant l’autonomie culturelle et religieuse du Tibet, tout en diffusant un message universel de compassion, de paix et de dialogue interreligieux.Incarnation d’Avalokiteshvara, le bodhisattva de la compassion, le Dalaï-Lama a consacré sa vie à améliorer l’humanité. Ses dialogues avec des scientifiques, via le Mind and Life Institute, qu’il a cofondé avec Francisco Varela et R. Adam Engle, explorent les convergences entre bouddhisme et science. Ses rencontres avec des leaders religieux, comme lors de la Rencontre d’Assise pour la paix en 1986 avec le Pape Jean-Paul II, témoignent de son engagement pour l’harmonie interreligieuse. Son humilité, illustrée par son autoproclamation de « simple moine bouddhiste », contraste avec son influence mondiale, reconnue par des figures comme le président taïwanais Lai Ching-te, qui a salué son dévouement à la paix et aux droits humains.

Parallèles entre la Voie du Dalaï-Lama et la Franc-Maçonnerie

Bien que le Dalaï-Lama n’ait jamais explicitement commenté la franc-maçonnerie, comme le confirment les recherches effectuées, ses enseignements bouddhistes partagent des affinités profondes avec les principes maçonniques. Ces convergences, ancrées dans des valeurs universelles et une vision initiatique, permettent d’établir un dialogue entre la voie bouddhiste tibétaine et la franc-maçonnerie, notamment dans leur approche de la transformation intérieure, de la fraternité et de la quête de la lumière. Voici une exploration détaillée de ces parallèles.

1. La Transformation Intérieure : Une Quête de Perfection

Le bouddhisme tibétain, tel qu’enseigné par le Dalaï-Lama, met l’accent sur la transformation intérieure à travers la méditation, la pleine conscience et la compassion. L’objectif est de surmonter l’ignorance et les attachements pour atteindre l’éveil (bodhi), une conscience libérée des illusions du moi. Dans L’Art du bonheur (1998), il écrit : « La confiance en soi et la capacité de se tenir debout seul sont essentielles pour réussir notre vie. » Cette idée résonne avec la franc-maçonnerie, où l’initié travaille à « tailler sa pierre brute » pour atteindre une perfection intérieure, symbolisée par la lumière du Grand Architecte de l’Univers (GADLU).Le cabinet de réflexion maçonnique, où le néophyte médite sur sa condition humaine face à des symboles comme le sablier ou la formule VITRIOL (« Visite l’intérieur de la terre, et en rectifiant tu trouveras la pierre cachée »), évoque les pratiques méditatives tibétaines. Les deux traditions invitent à une introspection rigoureuse pour transcender l’ego, transformant les faiblesses humaines en forces spirituelles. Le Dalaï-Lama, en enseignant la discipline intérieure, partage avec la franc-maçonnerie l’idée que la transformation personnelle est un processus actif, exigeant effort et persévérance.

2. La Compassion et la Fraternité Universelle

La compassion (karuna), au cœur du bouddhisme tibétain, est une aspiration à soulager la souffrance de tous les êtres sensibles. Lors de son 90e anniversaire, le Dalaï-Lama a réaffirmé son engagement à « servir les êtres sensibles », un principe qui transcende les frontières religieuses et culturelles. La franc-maçonnerie, avec son idéal de fraternité universelle, partage cette vision d’un lien profond entre tous les êtres humains. Les tenues maçonniques, où les frères et sœurs s’unissent dans un égrégore, reflètent une forme de compassion collective, où l’on œuvre pour le bien commun et l’amélioration de l’humanité.Les agapes, repas partagés après les tenues, sont des moments de communion fraternelle, semblables aux célébrations tibétaines où danses et prières renforcent les liens communautaires. Le Dalaï-Lama, en prônant la tolérance et la bienveillance, incarne des valeurs maçonniques fondamentales, comme l’acceptation de l’autre dans sa diversité. Son message lors de la Rencontre d’Assise – « la vérité religieuse peut être unique, mais jamais exclusive » – pourrait être une devise maçonnique, où la tolérance est une clé de l’harmonie.

3. La Lumière et la Vérité

Dans le bouddhisme tibétain, l’éveil est la réalisation de la vérité ultime, une lumière intérieure qui dissipe l’ignorance. Le Dalaï-Lama, en tant qu’incarnation d’Avalokiteshvara, guide ses disciples vers cette lumière à travers l’étude du dharma et la méditation. La franc-maçonnerie, quant à elle, utilise le symbolisme de la lumière pour représenter la connaissance et la vérité, accessibles par l’initiation et le travail sur les symboles. Le passage de l’obscurité à la lumière, central dans le rituel maçonnique d’initiation, évoque l’éveil bouddhiste, où l’initié transcende les illusions pour atteindre une conscience supérieure.Le concept bouddhiste de prajna (sagesse pénétrante) trouve un parallèle dans la quête maçonnique de la vérité, où l’initié explore les symboles pour comprendre les lois universelles. Les rites égyptiens, comme Misraïm, influencés par l’hermétisme, intègrent des notions similaires à celles du bouddhisme, comme la correspondance entre le microcosme (l’homme) et le macrocosme (l’univers), reflétée dans la maxime hermétique « ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ».

4. L’Harmonie et l’Ordre Cosmique

Le Dalaï-Lama enseigne que la compassion et la pleine conscience permettent de s’aligner avec l’ordre naturel de l’univers, un thème central dans le bouddhisme tibétain, où les mandalas symbolisent l’harmonie cosmique. La franc-maçonnerie, avec son temple symbolique et son pavement mosaïque, représente également cet ordre, où les opposés (noir et blanc, force et sagesse) s’unissent dans une harmonie universelle. Les colonnes Jakin et Boaz, qui canalisent l’énergie entre le ciel et la terre, évoquent la vision bouddhiste de l’interconnexion de toutes choses.Dans les rites maçonniques, le travail collectif en loge crée un égrégore, une énergie spirituelle qui transcende les individualités, semblable à l’unité communautaire prônée par le Dalaï-Lama lors des cérémonies tibétaines. Les deux traditions valorisent l’idée que l’individu, en s’harmonisant avec les autres et avec l’univers, contribue à un ordre plus grand.

5. Le Dialogue Interreligieux et l’Universalisme

Le Dalaï-Lama est un champion du dialogue interreligieux, comme en témoignent ses rencontres avec des leaders chrétiens, musulmans, juifs et hindous. Sa conviction que toutes les religions mènent à la vérité résonne avec l’universalisme maçonnique, qui accueille des membres de toutes croyances pourvu qu’ils adhèrent à l’idée d’un principe supérieur (le GADLU). La franc-maçonnerie, dans ses obédiences libérales, prône une spiritualité non dogmatique, un trait partagé avec l’approche du Dalaï-Lama, qui insiste sur la convergence des traditions spirituelles vers des valeurs communes comme l’amour et la compassion.

6. Les Rituels et la Transformation par l’Action

Les pratiques bouddhistes tibétaines, comme la méditation sur les mandalas ou les prosternations, sont des rituels visant à transformer l’esprit. De même, les rituels maçonniques, avec leurs gestes précis et leurs symboles, sont des actes transformateurs qui éveillent la conscience. Les danses culturelles lors des célébrations du 90e anniversaire du Dalaï-Lama, chargées de significations spirituelles, trouvent un écho dans les processions maçonniques, où chaque mouvement est porteur de sens. Les deux traditions utilisent le rituel comme un moyen d’aligner l’individu avec une réalité supérieure.

En guise de conclusion :

Une Convergence Spirituelle

Les célébrations du 90e anniversaire du Dalaï-Lama, marquées par une ferveur spirituelle et un message de compassion universelle, ont mis en lumière sa capacité à unir les cœurs et les esprits à travers le monde. Bien qu’il n’ait jamais abordé directement la franc-maçonnerie, les parallèles entre sa voie bouddhiste et les principes maçonniques sont frappants. La transformation intérieure, la fraternité, la quête de la lumière, l’harmonie cosmique et l’universalisme sont des ponts entre ces deux traditions, qui, chacune à sa manière, invitent à transcender l’ego pour s’élever vers une vérité plus grande.Comme le Dalaï-Lama, qui voit dans chaque être sensible une opportunité de compassion, la franc-maçonnerie considère chaque initié comme une pierre dans l’édifice universel. Entre les prières tibétaines et les rituels maçonniques, entre le mandala et le pavement mosaïque, se dessine une quête commune : celle de l’amour, de la sagesse et de l’unité, guidée par la lumière d’un idéal supérieur. À 90 ans, le Dalaï-Lama continue d’inspirer, et son héritage, tout comme celui de la franc-maçonnerie, invite à construire un monde où l’humanité s’élève ensemble vers la paix et l’harmonie.


Sources :

  • René Lachaud, L’invisible présence, Les dieux de l’Égypte pharaonique Kybalion.
  • Articles sur le 90e anniversaire du Dalaï-Lama, notamment The Hindu, Phayul, Central Tibetan Administration (CTA).
  • Dalaï-Lama, L’Art du bonheur (1998).
  • Mind and Life Institute, www.mindandlife.org.
  • Françoise Bonardel, L’hermétisme.
  • Pierre Gordon, Le Mythe d’Hermès.

2 Commentaires

  1. Le Dalaï-Lama ne s’est jamais rendu aux rencontres organisées par Karma Ling. En revanche, dès 1993, le dialogue entre voie bouddhique et franc-maçonnerie fut établi, via un colloque sur « Bouddhisme et Franc-maçonnerie », lequel se déroula en Savoie à l’initiative de l’Institut bouddhique Karma Ling. Par la suite, des rencontres régulières furent organisées. Entre temps, fut fondée une association, « L’Acacia et le Lotus », destinée à « réunir les Bouddhistes Francs-maçons afin d’étudier approfondir et conjuguer les convergences entre ces deux spiritualités ; œuvrer à l’émergence d’un Orient Bouddhiste en Occident » (Déclaration à la Préfecture du Rhône).
    En tant Président de ladite association, j’aimerais apporter ma pierre au sujet des points communs que l’on peut trouver entre bouddhisme et franc-maçonnerie. Aussi, en plus des similitudes mises en exergue par Alice Dubois, j’aimerais signaler :
    1) une même idée de perfectibilité. En effet, un pratiquant bouddhiste, comme un(e) franc-maçon(ne), partent du principe qu’il nous est loisible de nous améliorer à qui le souhaite. Avec cette différence toutefois que, dans un cas, le travail sur soi se fait plutôt en solitaire (malgré la présence d’un guide spirituel) et dans l’autre, en groupe.
    2) Une vocation universaliste analogue dans la mesure où la franc-maçonnerie propose une forme de spiritualité pouvant convenir à des croyants comme à des non croyants ainsi que des valeurs humanistes qui, si elles ne sont pas universelles, en fait, n’en restent peut-être pas moins universalisables, en droit. Par ailleurs, elle considère que ses méthodes et les outils qu’elle offre facilitent le travail intérieur, moral, intellectuel et spirituel de tout un chacun et ce quelle que soit sa culture. Or, le bouddhisme, lui aussi, s’adresse à tout Homme. Point besoin, par conséquent, d’être indien ou d’avoir les yeux bridés pour être bouddhiste. Né en Inde, au VIème siècle avant notre ère, la pratique du Bouddhisme s’est répandue dans toute l’Asie avant de gagner, au XXème siècle, l’Europe et les Etats-Unis du fait de l’émigration de populations venues d’Asie ainsi que de l’intérêt manifesté par quelques occidentaux.
    3) Une absence de dogme et de vérité révélée. Il n’existe pas, à proprement parler, un corps de croyances unifiées propres au bouddhisme, pas plus qu’au sein de la franc-maçonnerie. En témoigne, du reste, la multiplicité des écoles bouddhiques et des obédiences.
    4) Une éthique assez proche avec, côté bouddhisme, la compassion comme vertu cardinale, cela a bien été rappelé par Alice Dubois, et, côté franc-maçonnerie, la fraternité et la solidarité. A quoi s’ajoutent, en pays bouddhiques, trois poisons principaux ou émotions perturbatrices (avidité, colère, ignorance) et, en terrain maçonnique, ignorance, hypocrisie et fanatisme auxquels se voient opposer travail, loyauté et tolérance.
    5) Un souci identique de l’égalité. Il faut savoir que le Bouddha a eu des disciples de toutes castes, castes qu’il a rejetées. Semblablement, la franc-maçonnerie d’Ancien Régime a admis en son sein et, sur un pied d’égalité, des individus de la noblesse, du clergé comme du tiers-état.
    6) Le bouddhisme, surtout dans sa version tantrique (les Tantras sont des textes censés contenir les instructions les plus ésotériques du Bouddha. De l’école tantrique n’existe plus aujourd’hui que deux formes : le bouddhisme tibétain et le bouddhisme japonais Shingon), comme la franc-maçonnerie, est un courant initiatique. L’initiation y est vue, des deux côtés, comme une graine placée dans le cœur du néophyte.
    7) Il y a utilisation de symboles en franc-maçonnerie, comme à l’intérieur du bouddhisme, surtout, là aussi, sous son aspect tantrique.
    J’arrête là les rapprochements entre franc-maçonnerie libérale et bouddhisme, car, s’il existe bien des similitudes, il serait, cependant, erroné de vouloir les joindre. Ne serait-ce que parce que le bouddhisme s’apparente davantage à une religion qu’à un courant spirituel laïc. Suffit, pour s’en convaincre, de songer à ses temples, ses autels, ses objets sacrés, ses rituels, ses moines et ses moniale, etc. Pour terminer, je ne saurais que trop conseiller aux personnes désireuses d’approfondir similitudes et différences entre bouddhisme et franc-maçonnerie, la visite du site de l’association L’Acacia et le Lotus (acacia-et-lotus.org).

    Christophe RICHARD

  2. Petite rectification : le dalaï-lama s’est rendu il y a quelques années au temple de karma ling en Isère pour des rencontres entre bouddhistes ☸️ et maçons de différentes obédiences…

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Alice Dubois
Alice Dubois
Alice Dubois pratique depuis plus de 20 ans l’art royal en mixité. Elle est très engagée dans des œuvres philanthropiques et éducatives, promouvant les valeurs de fraternité, de charité et de recherche de la vérité. Elle participe activement aux activités de sa loge et contribue au dialogue et à l’échange d’idées sur des sujets philosophiques, éthiques et spirituels. En tant que membre d’une fraternité qui transcende les frontières culturelles et nationales, elle œuvre pour le progrès de l’humanité tout en poursuivant son propre développement personnel et spirituel.

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