La parole perdue et la mort du maître Hiram, c’est un peu comme l’histoire de la télécommande de votre télé. Un jour, Hiram, le super architecte, décide de se taper une sieste éternelle sans laisser le mot de passe du paradis des maçons. Donc, on a tous ces gars avec des tabliers, qui cherchent désespérément ce mot magique qui semble avoir été kidnappé par le même type qui a volé votre chargeur de téléphone.
On raconte que ce mot, c’était la clé pour atteindre le nirvana maçonnique, un peu comme le code ultime pour débloquer le niveau secret de la vie. Mais, oh surprise, Hiram emporte le secret dans la tombe, et depuis, tous les francs-maçons essaient de rejouer “Cluedo” en espérant découvrir qui a fait le coup et où est passé ce fichu mot. Est-ce que c’était le compagnon dans la loge avec le marteau ? Mystère.
Donc, maintenant, chaque maçon passe son temps à chercher ce mot, ce qui est un peu comme chercher un tweet de votre ex qui a été supprimé. On sait qu’il était là, mais maintenant, c’est juste un grand trou dans l’univers. On a un mot substitué, un peu comme un code de secours pour votre Wi-Fi, mais ce n’est pas la même chose. On est comme des enfants qui ont perdu leur bonbon préféré et qui doivent se contenter d’un bonbon de seconde zone.
En attendant, la légende de la parole perdue continue de faire tourner les rouages des discussions maçonniques, prouvant que même dans la mort, Hiram continue de donner du travail aux autres. C’est le genre de mystère qui fait dire : “J’aurais dû prendre des notes pendant que j’avais encore la chance.”
parole, parabole, fabuler, raconter des histoires, hableurs que sont les FF MM ! Ne cherchez plus car on l’a retrouvée dans le XVIII°( arrondissement ) entre la rue de la Rose et le chemin de Croix !