L’hyperempathie est la capacité surdéveloppée à se mettre à la place de l’autre de façon consciente ou inconsciente. Les nombreux témoignages, conseils et exercices proposés dans cet ouvrage aident le lecteur à identifier les émotions qui ne sont pas les siennes pour mieux ressentir et percevoir sans douter de ses compétences. Objectif : faire de l’hyperempathie une force et un atout dans tous les domaines et à chaque étape de sa vie. Révéler et développer ce don extraordinaire qui est une merveilleuse boussole afin de sentir ce qui est juste.
ANNE LANDRY est psychanalyste holistique. A travers les consultations qu’elle donne, elle met en évidence le lien étroit qui relie les troubles de ses patients à leur hyper-empathie, jusque là ignorée. Elle consulte en cabinet et anime des ateliers qui ont pour but d’accompagner les personnes hyperempathiques à développer leurs capacités et à s’adapter dans leur singularité.
Pour nos SS & FF qui en connaîtrait le métier de psychothérapeute, ce dernier a pour rôle de « soigner par la parole » les personnes en souffrance psychologique. Il possède un diplôme délivré par une formation de psychothérapie reconnue par l’État. Les consultations ne sont pas de prise en charge et ne donne pas droit à remboursement.
Enfin, il existe, a priori, différentes approches : les thérapies cognitivo-comportementales, la PNL, les thérapies humanistes, l’Eye Movement Desensitization and Reprocessing (EMDR), etc. Chacune fait appel à un ensemble de théories et pratiques qui lui sont propres. Mais toutes sont une manière d’aider une personne en souffrance psychique à aller mieux, à évoluer voire à changer. Elles sont complémentaires.
Quant à cette médecine non-conventionnelle qu’est la thérapie holistique, elle s’appuie sur un sens dérivé du holisme, désignant des méthodes qui seraient fondées sur la notion d’un soin apporté en tenant compte de la « globalité de l’être humain » : physique, émotionnel, mental et spirituel, ou corps-esprit et prétendrait se distinguer de la médecine conventionnelle en considérant le patient « comme une personne et non comme un malade ».