mer 25 décembre 2024 - 02:12

Et la parole fut perdue…

L’expression la parole perdue apparaît dans des rituels du 3e degré, où l’on parle aussi de la perte des secrets véritable du maître maçon. Il semble toutefois que les deux expressions soient relativement interchangeables ; ainsi le document Prichard de 1743 et l’instruction au 3e degré au rite écossais de la Mère Loge Écossaise de l’Orient d’Avignon de 1774 disent-ils : «Q : Pourquoi vous a-t-on fait voyager ? – R : Pour chercher ce qui a été perdu. Q : Qu’est ce qui a été perdu ? – R : la parole de Maître. Q : Comment la parole fut-elle perdue ? – R : Par la mort de notre respectable maître Hiram.»

Un homme meurt, refusant de livrer un banal mot de passe connu de tous les maîtres pour se faire payer,  et un secret dont il était détenteur, par ailleurs, disparaît. Le secret n’est donc pas le mot de passe. Alors, est-ce un savoir que lui seul possède ? La parole d’Hiram serait-elle autre chose que celle d’un seul homme ? Que peut-être cette parole  pour le franc-maçon d’aujourd’hui ? N’oublions pas que le mot Hiram porte en lui-même des mystères et parmi ses nombreuses traductions de l’hébreu, il peut aussi être lu comme HaReM qui désigne la chose cachée.

Était-ce donc un savoir personnel ?

Quel serait ce savoir ?

Au Rite York, à la mort d’Hiram, il est dit : «Il n’y a pas de plans sur la planche à tracer pour permettre aux ouvriers de poursuivre leur travail, et le Grand  Maître  Hiram a disparu». Sur la planche, le maître d’œuvre modifie le plan selon lequel la construction du Temple devra s’effectuer. Cette planche sert en permanence de point de repère pour l’ouvrage qui va être réalisé au fur à mesure de l’avancée des travaux. Lorsque l’ouvrage est terminé, il doit se superposer exactement au tracé qui est sur la planche. La conception théologique de l’art de la construction peut se résumer en une recherche de médiété parfaite entre la beauté pure qui n’appartient qu’à Dieu et le miroir que doit lui offrir, par son œuvre, l’architecte afin qu’elle se révèle aux yeux des hommes. Il s’agissait d’œuvrer sur la matière pour la laisser être pénétrée par l’énergie universelle afin que cette harmonie soit transmise aux hommes. Concrètement, ce qui fut perdu serait-ce cette capacité architecturale de concevoir l’édifice et de terminer l’œuvre ?

Mais allons plus loin. Hiram, a été envoyé par le roi de Tyr à Salomon pour ses savoirs aussi particuliers que ceux que possédait Betsaléel, le constructeur de l’Arche d’alliance du désert : il était habile pour les ouvrages en or, en argent, en airain et en fer, en pierre et en bois, en étoffes teintes en pourpre et en bleu, en étoffes de byssus et de carmin, et pour toute espèce de sculptures et d’objets d’art qu’on lui donne à exécuter (II Chroniques, 2, 13 et 14).

C’est grâce à 3 vertus que le premier temple fut construit par Betsaléel car il est écrit en Exode 31,3 : «Je [dieu] l’ai rempli de l’esprit d’Élohim en sagesse, en intelligence et en savoir», vertus que l’on retrouve en Hiram dans I Roi 7, 14 «rempli de sagesse, d’intelligence et de savoir». Ces trois vertus, concepts, attributs divins, types de forces, ou niveaux de conscience, sont les processus à l’œuvre des structures vivantes, correspondant aux 3 séphiroth :  Hokhmah, la sagesse ; Tébouna (alias Binah), l’intelligence ; Daath, le savoir, la connaissance.

La somme de leurs valeurs guématriques, après réduction, est équivalente à ce qui relie les 2 colonnes Yakin et Boaz qu’Hiram a fondues. La parole perdue serait-elle l’esprit d’Élohim, cette capacité de création, comme celle du Maharal de Prague avec son Golem, dont aurait été doté Hiram ?

Cependant la connaissance semble avoir été partagée ?

John Yarker, mort en 1913, franc-maçon, occultiste

John Yarker qui, dans un article sur Le rite d’York et l’ancienne Maçonnerie en général, remarque qu’«en vérité, des ouvriers complotèrent illégalement pour extorquer d’Hiram Abif un secret, celui de l’animal étonnant qui avait le pouvoir de couper les pierres.  Le secret qui a été perdu par les trois Grands Maîtres est celui de l’insecte shermah (shamir), qui a été employé pour donner un parfait polissage aux pierres.Considérant cette remarque de Yarker, le secret opératoire du shamir serait-il «ce qui a été perdu» ?

Et si la « parole » était un ensemble d’éléments répartis entre plusieurs détenteurs dont la méconnaissance d’un seul entraînerait l’inefficacité du tout ? Un morceau de code en somme, un morceau de symbole !

Dans la légende, de fait, trois personnes forment un triangle : Salomon, le roi de Tyr et Hiram, les trois grands maîtres, chacun assigné à un rôle particulier et indispensable dans la construction du Temple. La légende dit que le Roi Salomon, Hiram le Roi de Tyr (1 Rois: 7:13), et Hiram Abi de la tribu de Dan (2 Chr.: 2:13) se sont réunis pour concevoir les plans de la construction du Temple, Salomon conçut, Hiram de Tyr fournit les moyens et Hiram réalisa l’œuvre. Nous apprenons que le grand savoir devait être gardé par ces trois personnes jusqu’au parachèvement du Temple. La parole leur aurait-elle été confiée en trois parties. Chaque membre du ternaire serait détenteur du mot sacré ou d’une fraction de celui-ci. Il fallait le concours des « trois premiers Grands-Maîtres », de sorte que l’absence ou la disparition d’un seul d’entre eux rendait cette communication impossible, et cela aussi nécessairement qu’il faut trois côtés pour former un triangle. Cela veut dire que chaque membre du triangle constitue la pointe d’une figure doté d’un centre commun. Ce centre, c’est le point de concordance des trois sensibilités magique, spirituelle et rationnelle qu’ils incarnent. Ce centre est donc l’essence de l’homme et de la nature c’est-à-dire l’essence de la vie qui se traduit concrètement en force de vie ou élan vital.

Comment se fait-il que, sachant que la parole ne pouvait être que par la réunion du 3 (le roi Salomon, le roi de Tyr et Hiram), comment se fait-il qu’aucun d’entre eux n’ait pensé à transmettre sa propre connaissance à un disciple pour que la chaîne ne se brise pas en cas de disparition? Était-ce se croire immortel ?

On peut aussi penser que la parole perdue serait une prononciation rituelle ?

Les exégètes des rituels assimilent la prononciation du Tétragramme à la « parole perdue ». Elle devait être trisyllabique. La syllabe est l’élément réellement indécomposable de la parole prononcée, même si elle s’écrit naturellement en quatre lettres. En effet, quatre (4) se rapporte ici à l’aspect « substantiel » de la parole et 3 à son aspect « essentiel ». Il est d’ailleurs à remarquer que le mot substitué  lui-même, dans sa prononciation rituelle, sous ses différentes formes, est toujours composé de trois syllabes qui sont énoncées séparément. On trouve dans Le vrai catéchisme des frères francs-maçons rédigé suivant le code mystérieux et approuvé de toutes les loges justes et régulières un long développement, à partir de la page 52, par questions/réponses expliquant ce que l’on entend par la parole perdue, la véritable prononciation  de l’éternel et ses mots substitués[1].

Considérant que chez les Hébreux, le grand prêtre, le Cohen Gadol, était seul détenteur de la prononciation recta dictio et totale du mot sacré qu’il vocalisait une fois par an dans le saint des saints, cela pourrait vouloir dire que la parole ne fut pas perdue et que si Salomon la substitua, c’est qu’il pensait que son Maître d’œuvre avait cédé à la pression de ses agresseurs en la dévoilant : il fallut donc changer cette parole. C’est ce que laisse aussi entendre le rituel Misraïm : le roi Salomon qui craignait que le maître dans les douleurs de l’agonie et espérant se soustraire à la mort n’eût laissé échapper les mots et les signes de la maîtrise… Pourtant, cet Hiram-là n’a pas pu avoir l’ultime tentation de prononcer, seul, l’imprononçable. Cela n’a été qu’un artifice psychologique pour nous interroger, car Hiram, en tant qu’initié, sait l’abomination que serait d’enfermer la transcendance dans la prononciation d’un mot. Tous les termes désignant le mystère, l’Esprit, l’être, la substance, le Un, l’Essence, l’alpha et l’oméga, sont des vocables chosifiant ou personnifiant. Seul existe le mystère immanent de l’existence, de l’organisation harmonieuse de l’univers et de l’émotion humaine devant cet aspect mystérieux auquel participe tout ce qui existe réellement (êtres et choses). Le nom «D.ieu», s’il n’est pas abusivement employé, ne signifie-t-il absolument rien d’autre que l’émotion devant l’inexplicable ?

Le degré de Royal Arche indique qu’il s’agirait du code crypté permettant la cantillation du nom divin. Il y est raconté : « avec une recherche systématique fut trouvé, près de l’endroit d’un grand triangle, un morceau de marbre sur laquelle étaient gravés certains hiéroglyphiques dont ils ont pris la possession, et qu’ils ont porté à Salomon. Salomon a envoyé quelques prêtres instruits qui ont déchiffré ces caractères, et  ils ont vérifiés qu’il s’agissait des ruines du temple d’Énoch, construction d’avant l’inondation du déluge qui avait balayé tout sauf ces neuf voûtes .Selon la légende, le haut prêtre a examiné les caractères du socle d’or et les a trouvés pour être le nom inexprimable de Dieu. Les Hiéroglyphes représentent la manière de prononcer le nom du plus haut, et ils ont été composés par Énoch, en souvenance du temps où il avait reçu l’initiation de certains secrets de la signification des trois lettres mystiques. Ce nom a été perdu et maintenant retrouvé. Alors le haut prêtre leur a expliqué que la promesse de Dieu, à Noah, à Moïse et à David, de révéler le nom de dieu sur un socle d’or, avait été accomplie. Mais, qu’il était  interdit de l’écrire, qu’il était seulement permis de le marquer en lettres pour leur consolation, mais qu’en aucun cas il ne fallait le prononcer et le parler. Le haut prêtre a composé un code pour crypter ce nom. Ce code était si complexe que la logique seule ne suffisait pas. Hiram Abif en eut la connaissance transmise par le haut prêtre. Ils furent les seuls à connaître ces messages secrets. En outre, le haut prêtre a donné l’ordre à Hiram Abif de graver cinq autres écrits différents. Les écrits ont été censés être insérés dans le mur du Saint des Saints.  Le peuple utilisa alors un autre nom de dieu. Quelques étudiants juifs, désireux de connaître la nature et la prononciation du nom saint, ont conspiré et ont eu recours à la violence envers l’architecte en chef Hiram Abif pour connaître l’endroit où le trésor est caché, les brutes l’ont frappé avec un coup sur le front, qui l’a étendu sans vie à leurs pieds. Après cet événement, le haut prêtre a fermé le passage.

Dans ce même registre, on remarquera que lors de la destruction du Temple de Jérusalem et de la dispersion du peuple juif, la véritable prononciation du Nom tétragrammatique fut perdue ; il y a bien eu des noms substitués, celui d’Adonaï, El shaddaï, Achem,  mais ils ne furent jamais regardés comme l’équivalent réel de celui qu’on ne savait plus prononcer.

En effet, la transmission régulière de la prononciation exacte du principal nom divin, désigné comme ha-Shem ou le Nom par excellence, était essentiellement liée à la continuation du sacerdoce dont les fonctions ne pouvaient s’exercer que dans le seul Temple de Jérusalem. La destruction du centre spirituel de la tradition hébraïque induit une diaspora ou « dispersion », terme qui définit l’état d’un peuple dont la tradition est privée de son centre normal.

Les circonstances de la perte de la parole maçonnique ne sont pas sans rappeler les secrets des rites initiatiques pour l’intromission des pharaons, véritables mystères de la lignée royale d’Égypte, qui furent définitivement perdus à la mort du roi Sekenenrê Taâ. La découverte de la momie de Sekenenrê Taâ, (en 1881 à côté de celle de Ramsès II plus jeune de quelques 300 ans), a mis en évidence que ce pharaon avait connu une fin violente. Le milieu de son front avait été enfoncé, un autre coup avait fracturé l’orbite de son œil droit, sa pommette droite et son nez, un troisième avait été porté derrière son oreille gauche fracassant sa mastoïde et terminant sa course dans la première vertèbre du cou.

Tête momifiée de Seqenenrê Tâa et indications de ses blessures.

Chistopher Knight et Robert Lomas  auteurs du roman La clef d’Hiram racontent comment les secrets du sacre royal égyptien disparurent avec Sekenenrê, l’homme que les auteurs appellent Hiram Abif (le roi perdu). Le roi Sekenenrê livrait une grande bataille mentale avec Apophis, le roi Hyksos, il avait donc besoin de la pleine puissance du dieu soleil Amon-Ré pour lui donner la force d’être victorieux. Siégeant à Thèbes, il quittait chaque jour le palais royal de Malkata pour se rendre au temple d’Amon-Ré à l’heure du grand midi, quand le soleil était à son zénith et qu’un homme ne projetait pratiquement ni ombre, ni zone de ténèbres sur le sol. À ce moment-là, le pouvoir de Rê atteignait son apex et celui du dieu Apophis, son point le plus bas. Sekenenrê fut probablement tué parce qu’il n’aurait pas voulu révéler les secrets des rituels (transmis par Horus) du sacre royal à Apophis, le roi Hyksos, son ennemi.

En somme, il s’agit de la perte d’une parole, caractérisant une certaine tradition et la représentant en quelque sorte synthétiquement. Ainsi René Guénon explique ; « la substitution d’un nouveau nom remplaçant celui-là marquerait alors le passage d’une tradition à une autre. Quelquefois aussi, il est fait mention de «pertes» partielles s’étant produites, à certaines époques critiques, dans le cours de l’existence d’une même forme traditionnelle : lorsqu’elles furent réparées par la substitution de quelque équivalent, elles signifient qu’une réadaptation de la tradition considérée fut alors nécessitée par les circonstances ; dans le cas contraire, elles indiquent un amoindrissement plus ou moins grave de cette tradition auquel il ne peut être remédié ultérieurement[2].» 

Plus largement, les mystères des sociétés initiatiques de l’Antiquité perpétuaient les premières traditions du genre humain et les nouveaux acquits des corps savants pour élever, au-dessus de leurs semblables, des initiés jugés aptes à en faire un usage utile pour tous. Cet enseignement leur était donné de bouche à oreilles après avoir pris l’engagement, par un serment menaçant, de ne le transmettre à d’autres initiés que sous les mêmes formes et conditions. Il est raconté qu’ils étaient possesseurs de secrets scientifiques redoutables et bienfaisants, dont leur haute morale imposait le respect, mais susceptibles, étant détournés de leur action bénéfique, d’être transformés dans un but malfaisant. Les initiations furent interrompues ; des initiés s’éteignirent, emportant dans la mort les secrets qui leur avaient été confiés. La plupart des hiéroglyphes égyptiens, nous conte le rituel Misraïm des travaux de Maître de 1820, présentaient des êtres animés formés quelquefois de parties appartenant à des êtres forts peu ressemblant par leurs formes extérieures et par leur inclinations ; les combinaisons numériques et géométriques dans leur résultat étaient hiéroglyphique ; les nombres 3, 4, 7, 9, et le générateur Un étaient des emblèmes respectés. Cette Tradition secrète fut transmise par les sages de la Chaldée aux égyptiens, puis à Moïse jusqu’à Salomon. À la suite d’une indiscrétion, il fut convenu que les anciens hiéroglyphes seraient remplacés par des figures d’instruments propres à la construction matérielle.

Toutes les traditions parlent d’un âge heureux où les êtres pensants, dans la paix et dans l’innocence, vivaient dans le sein de la vérité. Dans cet âge, dont nul voile ne couvrait la réalité, une parole universelle pénétrait uniformément tous les degrés de l’intelligence. La quête souvent évoquée de la Parole perdue est celle de la révélation première. Le symbolisme de la langue primordiale en est un autre synonyme. Selon la tradition musulmane, il s’agit de la langue syriaque, ou solaire, expression transparente de la lumière reçue dans le centre spirituel primordial. Il est significatif que la langue paradisiaque ait été comprise des animaux. L’introduction chamanique au langage des animaux est, à l’inverse, un symbole du retour à l’état édénique. Plus précisément encore, cette langue est parfois celle des oiseaux. Or, la langue des oiseaux est une langue céleste ou angélique, symboliquement analogue à la langue syriaque, et qui ne peut être perçue que par l’atteinte de certains états spirituels».

Que peut-être la parole perdue pour un franc-maçon d’aujourd’hui ?

Les remarques que nous venons de faire montrent que la parole perdue serait soit un savoir, soit une prononciation, soit une connaissance spirituelle ou magique soit encore la trace du passage d’une tradition à une autre.

La parole perdue du franc-maçon me paraît un peu différente. Nous ne pouvons faire l’erreur des mauvais compagnons qui croyaient que le secret du maître maçon relevait de la communication d’un savoir ; notre recherche est bien différente puisqu’elle se place sur le plan de la Connaissance, celui de l’être et du spirituel, de l’immanence et de la transcendance.

Dans l’exotérisme judaïque, le mot qui est substitué au Tétragramme qu’on ne sait plus prononcer est un autre nom divin, Adonaï, qui est formé également de quatre lettres, mais qui est considéré comme moins essentiel ; il y a là quelque chose qui implique qu’on se résigne à une perte jugée irréparable, et qu’on cherche seulement à y remédier dans la mesure où les conditions présentes le permettent encore. Dans l’initiation maçonnique, au contraire, le «mot substitué» est une question qui ouvre la possibilité de retrouver la «parole perdue», donc de restaurer l’état antérieur à cette perte[3].

La parole perdue met en relief la nécessité d’une nouvelle perception et d’un nouveau langage relatif à la notion d’essence et de présence au-delà de la forme. Elle n’est pas à comprendre comme uniquement une perte dans la transmission, mais comme le commencement d’un apprentissage d’autres éléments de langages qui mènent à l´Unité du Aleph Divin, pour que du Silence à la parole, nous retrouvions le Souffle de la Création.

Il nous reste à nous interroger sur comment trouver cette parole ou comment lui en substituer une autre de même puissance.


[1] À découvrir dans le Rituel de Luquet

[2] René Guénon,  Parole perdue et mots substitués.  

[3] Rite émulation : V.- (au ler S.) Qu’est-ce donc qui est perdu ? 1er S . – Les véritables secrets des MM. MM. V.- (au 2e S.) Comment se sont-ils perdus ? 2° S. – Par la mort prématurée de notre M. H.A.V. V.- (au ler S.) Où espérez-vous les trouver ?  l er S.- Au Centre. V. – (au 2e S.) qu’est-ce que le Centre ? 2e S.- Un point à l’intérieur d’un cercle qui se trouve à une distance égale de toutes les parties de la circonférence. V.- (au ler S.) Pourquoi au centre ? ler S.- Parce que c’est le point où le M.M, ne peut faillir. V.- Nous vous aiderons à réparer cette perte.

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Solange Sudarskis
Solange Sudarskis
Maître de conférences honoraire, chevalier des Palmes académiques. Initiée au Droit Humain en 1977. Auteur de plusieurs livres maçonniques dont le "Dictionnaire vagabond de la pensée maçonnique", prix littéraire de l'Institut Maçonnique de France 2017, catégorie « Essais et Symbolisme ».

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