Une seule journée pour célébrer l’autre moitié de l’Humanité,
365 jours où, partout dans le monde, des femmes luttent pour exister
EXISTER
En criant leur désespoir et leur colère contre ceux qui continuent de penser que les femmes ne sont qu’ignorance, servitude, obéissance, créatures écervelées, citoyennes de seconde zone.
PARTOUT DANS LE MONDE
- Premières victimes des guerres, brutalisées pour neutraliser leur foyer et pays,
- Victimes d’agression sur la place publique
- Victimes de féminicides
- Victimes de harcèlement sur les réseaux sociaux
- Victimes d’exploitation sur les affiches publicitaires
- Victimes des réseaux de prostitution
- Victimes de lois misogynes
- Victimes économiques
- Victimes d’un silence assourdissant.
Des femmes, des citoyennes, des citoyens se mobilisent pour dénoncer, soutenir, engager des actions, réclamer la justice.
Nous nous devons de soutenir ces femmes qui revendiquent le droit à la vie, le droit à l’égalité, à la liberté d’être et de penser. Elles dénoncent, elles hurlent, elles chantent et elles meurent pour qu’aucune femme, aucun homme ici ou ailleurs ne puisse dire « nous ne savions pas » ou, pire encore, garde les yeux fermés.
Francs-Maçons de l’Ordre Maçonnique Mixte International LE DROIT HUMAIN nous nous joignons à tous les combats, à toutes les voix qui réclament avec force un monde équitable et une humanité apaisée où chaque HUMAIN peut exercer ses droits fondamentaux sans entrave ni violence.
Répétons avec Christiane Taubira :
« Nous, les femmes, nous sommes la moitié du ciel et même un peu plus. Nous entendons être la moitié de tout, pas vos moitiés, la moitié de tout. Et surtout, surtout être au moins la moitié partout où se prennent les décisions » (8.3.20219).
Et Maria Deraismes :
« L’infériorité des femmes n’est pas un fait de la nature, nous le répétons, c’est une invention humaine, c’est une fiction sociale ».
Élevée dans un milieu visiblement d’initiés Droit Humain dans les années 1940,dans un milieu modeste, Après des études universitaires j’ai fait une découverte littéraire extraordinaire chez un écrivain du 19e siècle et depuis 33 ans je galère pour me faire entendre. Je vous ai même écrit le 17 janvier dernier , et à ce jour vous ne m’avez toujours pas répondu.
Alors oui, le chemin des femmes ressemble toujours à un parcours du combattant !