De notre confrère brésilien folhadolitoral.com.br
Il s’agirait d’un plat très concave, presque un vase, destiné aux repas. Le mot dériverait du latin gratus, qui signifie « reconnaissant », car l’utilisateur serait un fin gourmet reconnaissant donc aux mets succulents qu’il pouvait contenir.
Le Saint Graal est la base d’une légende qui a émergé aux premiers jours du christianisme ; on connaît les Chevaliers de la Table Ronde qui, ensemble, auraient bu dans le Saint Graal – un vase sculpté en or et serti de pierres précieuses qui serait la coupe dans laquelle Jésus aurait bu le vin lors de son dernier souper. Certaines Loges maçonniques adoptent à la place de la « coupe sacrée de la bonne et de la mauvaise boisson », un équivalent du Graal. C’est aussi une expression médiévale qui désigne normalement la coupe utilisée par Jésus-Christ lors de la Dernière Cène. Il est présent dans les légendes arthuriennes, il est l’objet de la quête des Chevaliers de la Table Ronde !Ce serait le seul élémént capable de rétablir la paix dans le royaume d’Arthur. Cependant, dans une autre interprétation, il désigne la descendance de Jésus (le Sangraal ou sang royal), selon la légende, liée à la dynastie mérovingienne. lEnfin, il y a aussi une interprétation dans laquelle il est la représentation du corps de Marie-Madeleine, la supposée épouse de Jésus et son héritière dans la conduite de la nouvelle religion.