mar 08 juillet 2025 - 19:07

Georges Gurdjieff : « Une vie, une philosophie et un héritage initiatique en dialogue avec la Franc-maçonnerie »

Georges Ivanovitch Gurdjieff : Une Vie, une Philosophie et un Héritage Initiatique en Dialogue avec la Franc-MaçonnerieGeorges Ivanovitch Gurdjieff (c. 1866-1877 – 29 octobre 1949) est une figure énigmatique du XXe siècle, dont l’héritage en tant que mystique, philosophe, professeur spirituel, compositeur et chorégraphe continue de fasciner et de diviser. Né à Alexandropol (aujourd’hui Gyumri, Arménie), dans l’Empire russe, et mort à Paris, Gurdjieff a développé un enseignement unique, la « Quatrième Voie », visant à éveiller l’humanité de son « sommeil éveillé » pour atteindre une conscience unifiée et un plein potentiel humain.

Cet article explore sa biographie, sa philosophie, sa méthode du « Travail », et examine les parallèles et influences possibles entre son œuvre et la franc-maçonnerie, une tradition initiatique partageant des affinités avec ses idées sur la transformation intérieure et l’harmonie universelle.

Biographie :

Une Quête d’Origines et de Vérité – Enfance et Premières Influences

Georges Gurdjieff naît dans une famille greco-arménienne à Alexandropol, une ville située à la croisée des cultures orientales et occidentales, entre la Russie, la Turquie, l’Arménie et la Perse. Son père, Ivan Ivanovitch Gurdjieff, un Grec descendant d’une famille ayant fui Byzance après la chute de Constantinople en 1453, est un ashugh (barde) renommé sous le pseudonyme d’Adash, connu pour réciter des poèmes, des chansons et des légendes, notamment l’Épopée de Gilgamesh. Georges Gurdjieff naît dans une famille greco-arménienne à Alexandropol, une ville située à la croisée des cultures orientales et occidentales, entre la Russie, la Turquie, l’Arménie et la Perse. Son père, Ivan Ivanovitch Gurdjieff, un Grec descendant d’une famille ayant fui Byzance après la chute de Constantinople en 1453, est un ashugh (barde) renommé sous le pseudonyme d’Adash, connu pour réciter des poèmes, des chansons et des légendes, notamment l’Épopée de Gilgamesh. Sa mère, probablement arménienne, bien que certains chercheurs spéculent sur une ascendance grecque, joue un rôle moins documenté mais fondamental dans son éducation. La date exacte de sa naissance reste incertaine, oscillant entre 1866 et 1877, avec des témoignages comme celui de sa nièce Luba Gurdjieff Everitt et de son petit-neveu George Kiourtzidis suggérant 1872, tandis que les archives officielles penchent pour 1877.

L’enfance de Gurdjieff est marquée par une éducation rigoureuse dans un environnement multiculturel. La ruine de sa famille, causée par une épidémie de peste bovine en 1873, les conduit à s’installer à Kars, une ville récemment reconquise par les Russes. Son père, devenu menuisier, l’imprègne de récits oraux anciens, tandis que l’archevêque de la cathédrale de Kars le guide vers une éducation scientifique et religieuse, suscitant chez le jeune Gurdjieff une fascination pour la connaissance ésotérique. Cette dualité entre science et spiritualité façonne sa quête future.

Les Années de Voyage : À la Recherche des Vérités Oubliées

Entre 1887 et 1907, période souvent qualifiée de « vingt années manquantes », Gurdjieff entreprend des voyages à travers l’Égypte, le Moyen-Orient, l’Inde, le Tibet et l’Asie centrale, cherchant les « vérités oubliées » des traditions spirituelles. Selon son propre témoignage, il se joint à un groupe de « Chercheurs de Vérité », explorant monastères, écoles mystiques et traditions comme le soufisme, le bouddhisme tibétain et le yoga. Il raconte, dans Rencontres avec des hommes remarquables (1963), une rencontre en Afghanistan vers 1897 avec un derviche de la secte Sarmouni, qui l’aurait conduit à un monastère secret au Turkestan où il découvre l’ennéagramme, les danses sacrées et des pratiques psychiques. Bien que certains considèrent ces récits comme partiellement mythiques, ils reflètent son effort pour transmettre des principes spirituels à travers des paraboles.

Pour subvenir à ses besoins, Gurdjieff affirme s’être engagé dans des activités variées, allant de la vente de tapis à des entreprises fantaisistes, comme teindre des moineaux pour les vendre comme « canaris américains ». Ces anecdotes, qu’elles soient véridiques ou symboliques, illustrent son approche pragmatique et son sens de l’humour, souvent utilisé pour défier les conventions.

Carrière et Enseignement : De Moscou à Paris

En 1912, Gurdjieff émerge à Moscou, où il attire ses premiers disciples, dont son cousin, le sculpteur Sergey Merkurov, et le philosophe Piotr Demianovitch Ouspensky. Il épouse Julia Ostrowska la même année et annonce son ballet The Struggle of the Magicians, un projet symbolisant les luttes intérieures de l’âme. La révolution russe de 1917 le pousse à quitter Petrograd pour retourner à Alexandropol, où il apprend la mort de son père, tué par les Turcs en mai 1918.

Entre 1917 et 1920, Gurdjieff établit des communautés d’étude temporaires à Essentuki, Tiflis (Tbilisi), et Constantinople, fuyant les troubles de la guerre civile. En 1919, il fonde l’Institut pour le Développement Harmonieux de l’Homme à Tiflis, qu’il réinstalle à Fontainebleau, en France, en 1922. Ce centre, situé au Prieuré des Basses-Loges, devient un laboratoire pour ses enseignements, combinant travail physique, exercices psychologiques, danses sacrées et lectures de ses textes. Parmi ses disciples figurent des figures influentes comme Thomas de Hartmann, compositeur, et sa femme Olga, ainsi que Jeanne de Salzmann, qui deviendra sa principale héritière spirituelle.

En 1924, Gurdjieff voyage aux États-Unis, où ses démonstrations de danses sacrées attirent l’attention de personnalités comme Sinclair Lewis et Jane Heap. Un grave accident de voiture la même année le conduit à fermer temporairement l’Institut et à se consacrer à l’écriture de son œuvre majeure, All and Everything, comprenant Les Récits de Belzébuth à son petit-fils (1950), Rencontres avec des hommes remarquables (1963) et La Vie n’est réelle que lorsque « Je Suis » (inachevé).

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Gurdjieff reste à Paris, enseignant dans son appartement malgré l’occupation nazie. Ses dernières années, marquées par un second accident de voiture en 1948, voient une consolidation de son enseignement, avec des groupes français, britanniques et américains convergeant vers lui. Il meurt le 29 octobre 1949 à l’Hôpital américain de Neuilly-sur-Seine, laissant à Jeanne de Salzmann la mission de perpétuer son œuvre. Son enterrement a lieu à la cathédrale orthodoxe Saint-Alexandre-Nevsky à Paris, et il est inhumé à Fontainebleau-Avon.

Philosophie et la Quatrième Voie : Éveiller l’Homme Endormi

Le Concept du « Sommeil Éveillé »Au cœur de la philosophie de Gurdjieff se trouve l’idée que l’humanité vit dans un état de « sommeil éveillé », une condition hypnotique où les individus, dépourvus d’une conscience unifiée entre esprit, émotions et corps, agissent comme des « machines » soumises à des automatismes. Selon lui, l’homme est fragmenté, dominé par de multiples « Je » conflictuels – « Je veux », « Je pense », « Je suis fatigué » – qui l’empêchent d’atteindre une conscience véritable. Gurdjieff affirme que cette fragmentation piège l’âme, la rendant inerte à la mort du corps, sauf si un travail conscient permet de la libérer.

La Quatrième Voie : Une Synthèse Initiatique

Pour surmonter cet état, Gurdjieff développe la « Quatrième Voie », qu’il distingue des trois voies traditionnelles : celle du fakir (maîtrise du corps), du moine (maîtrise des émotions) et du yogi (maîtrise de l’esprit). La Quatrième Voie intègre ces approches, mais se pratique dans la vie quotidienne, sans retraite ni ascèse extrême. Appelée « Le Travail » ou « La Méthode », elle repose sur deux piliers : le labeur conscient (agir en pleine présence) et la souffrance volontaire (lutter contre les automatismes, comme la rêverie ou les plaisirs instinctifs).

L’outil central de cette méthode est l’auto-observation, qui consiste à observer ses pensées, émotions et sensations sans jugement ni analyse, pour prendre conscience de sa fragmentation. Gurdjieff insiste sur l’effort soutenu : « L’éveil résulte d’un effort constant et prolongé, même lorsque l’on est épuisé ». Il utilise également l’ennéagramme, un symbole ésotérique qu’il attribue aux Sarmounis, pour cartographier les processus vitaux et les états de conscience.

Danses Sacrées et Musique

Les « Mouvements » ou danses sacrées, développés avec Jeanne de Salzmann, sont une composante clé de son enseignement. Ces chorégraphies, exécutées en groupe, visent à harmoniser le corps, l’esprit et les émotions, chaque geste portant une signification spirituelle. Accompagnées de musiques composées avec Thomas de Hartmann, elles s’inspirent des traditions soufies, bouddhistes et chrétiennes orientales. Gurdjieff et Hartmann produisent environ 200 pièces, allant de mélodies pour piano à des improvisations sur harmonium, notamment lors des « Toasts aux Idiots », des repas rituels où il provoquait ses élèves par des dialogues incisifs.

Œuvres LittérairesL’œuvre écrite de Gurdjieff, bien que complexe et souvent cryptique, est conçue pour défier les habitudes de pensée. Les Récits de Belzébuth à son petit-fils (1950) utilise un style allégorique pour critiquer la condition humaine, tandis que Rencontres avec des hommes remarquables (1963) mêle autobiographie et parabole pour illustrer sa quête spirituelle. La Vie n’est réelle que lorsque « Je Suis », inachevé, explore l’expérience de la conscience. Ces textes, souvent lus à haute voix lors des sessions au Prieuré, exigent un effort actif du lecteur pour en extraire le sens, conformément à la philosophie de Gurdjieff sur le « paiement » pour la connaissance.

Gurdjieff et la Franc-Maçonnerie : Parallèles et Influences Possibles

Bien qu’aucune preuve documentaire n’atteste une affiliation directe de Gurdjieff à la franc-maçonnerie, son enseignement et ses méthodes présentent des parallèles frappants avec les principes et pratiques maçonniques, en particulier dans leur approche initiatique, symbolique et transformative. Ces convergences, probablement influencées par des sources ésotériques communes (comme l’hermétisme, le soufisme et les traditions orientales), suggèrent un dialogue implicite entre la Quatrième Voie et la franc-maçonnerie. Explorons ces liens à travers plusieurs dimensions.

1. La Quête de la Connaissance de Soi

La franc-maçonnerie, tout comme la Quatrième Voie, place la connaissance de soi au centre de l’initiation. Le cabinet de réflexion maçonnique, où le néophyte médite sur sa condition humaine face à des symboles comme le sablier ou la formule VITRIOL (« Visite l’intérieur de la terre, et en rectifiant tu trouveras la pierre cachée »), résonne avec l’auto-observation de Gurdjieff, qui invite à scruter ses « multiples Je » pour unifier la conscience. Les deux traditions considèrent l’ego comme un obstacle à surmonter par un travail intérieur rigoureux, transformant la « pierre brute » (le profane) en une « pierre taillée » (l’initié éveillé).

2. Le Symbolisme et l’Ésotérisme

L’ennéagramme de Gurdjieff, qu’il présente comme un outil de divination et de compréhension des processus vitaux, partage des similitudes avec les symboles maçonniques comme l’équerre et le compas, qui représentent l’équilibre entre matière et esprit. L’ennéagramme, avec ses neuf points interconnectés, peut être vu comme une cartographie de l’harmonie cosmique, un thème cher à la franc-maçonnerie, où le temple symbolise l’ordre universel. De plus, les influences soufies et hermétiques dans l’enseignement de Gurdjieff – notamment sa vision du microcosme (l’homme) reflétant le macrocosme (l’univers) – rappellent la maxime hermétique « ce qui est en haut est comme ce qui est en bas », omniprésente dans les rites maçonniques, en particulier le Rite Écossais Ancien et Accepté et les rites égyptiens comme Misraïm.

3. Le Travail Collectif et l’Égrégore

La franc-maçonnerie et la Quatrième Voie valorisent le travail collectif comme un catalyseur de transformation. Les tenues maçonniques, où les frères et sœurs s’unissent dans un rituel pour créer un égrégore (une énergie collective), trouvent un parallèle dans les sessions de groupe de Gurdjieff, notamment les danses sacrées, qui exigent une coordination parfaite pour harmoniser le corps et l’esprit. Les « Toasts aux Idiots », repas rituels où Gurdjieff provoquait ses élèves pour briser leurs automatismes, évoquent les débats maçonniques, où la parole circule pour stimuler la réflexion et l’éveil.

4. La Souffrance Volontaire et l’Initiation

La notion de « souffrance volontaire » dans la Quatrième Voie, qui consiste à lutter contre les automatismes comme la rêverie ou les désirs instinctifs, résonne avec les épreuves initiatiques maçonniques, où le candidat doit affronter des défis symboliques pour dépasser ses limites. Gurdjieff, comme la franc-maçonnerie, insiste sur l’effort personnel et le « paiement » pour la connaissance, une idée illustrée par son affirmation : « On ne peut valoriser la connaissance si on ne fait pas d’effort pour l’obtenir ». Cette approche reflète le principe maçonnique selon lequel l’initiation exige un engagement actif et une discipline intérieure.

5. Influences Ésotériques Communes

Gurdjieff et la franc-maçonnerie puisent dans des traditions ésotériques similaires, notamment l’hermétisme, le soufisme et les écoles des mystères orientales. Gurdjieff affirme avoir été influencé par les Sarmounis, une confrérie soufie mythique, dont les pratiques rappellent les structures initiatiques des loges maçonniques, avec leurs grades et leurs enseignements progressifs. De plus, son lien avec la théosophie, via des figures comme Helena Blavatsky, qui a également influencé certains courants maçonniques, suggère une convergence dans la quête de connaissances universelles. Bien que Gurdjieff critique les systèmes rigides, son rejet des institutions permanentes (« La Quatrième Voie n’a pas de formes définitives ni d’institutions ») contraste avec la structure maçonnique, mais reflète une volonté commune de dépasser le dogmatisme.

6. Les Danses Sacrées et les Rituels Maçonniques

Les danses sacrées de Gurdjieff, conçues comme des « textes en mouvement » portant des vérités spirituelles, partagent une affinité avec les rituels maçonniques, où chaque geste et parole est chargé de symbolisme. Les Mouvements, nécessitant une discipline collective et une présence totale, rappellent les processions et agencements rituels dans la loge, où l’ordre et l’harmonie sont essentiels. La musique, composée avec Thomas de Hartmann, joue un rôle similaire à celui des chants ou des hymnes maçonniques, qui élèvent l’âme et renforcent l’unité du groupe.

7. Absence de Preuves Directes mais Convergences Culturelles

Aucune source ne confirme que Gurdjieff ait été franc-maçon, et son enseignement, axé sur une pratique ésotérique indépendante, semble éloigné des structures formelles de la franc-maçonnerie. Cependant, son séjour à Constantinople en 1920-1921, où il s’intéresse aux danses soufies des derviches tourneurs, coïncide avec une ville historiquement liée à la franc-maçonnerie ottomane, suggérant une possible exposition indirecte. De plus, ses disciples, comme P.D. Ouspensky, qui fréquentait des cercles intellectuels ésotériques, auraient pu établir des ponts avec des maçons ou des sociétés secrètes similaires.

Héritage et Controverses

Gurdjieff reste une figure controversée, admirée par certains comme un maître charismatique ayant réintroduit des vérités anciennes en Occident, et critiqué par d’autres comme un charlatan manipulateur. Ses disciples, tels que P.D. Ouspensky, Jeanne de Salzmann et Thomas de Hartmann, ont perpétué son enseignement à travers des fondations comme la Gurdjieff Foundation, fondée en 1953 à New York. Ses idées ont influencé des artistes, écrivains et penseurs, de Katherine Mansfield à Aleister Crowley, bien que ce dernier ait eu une relation ambivalente avec lui.

Son legs littéraire, musical et chorégraphique continue d’inspirer, tout comme sa vision d’un homme capable de s’éveiller par un travail conscient. La franc-maçonnerie, bien qu’indépendante, partage avec Gurdjieff une quête universelle : celle de l’harmonie, de la vérité et de la transformation intérieure, reliant l’individu au cosmos à travers un effort soutenu et une fraternité spirituelle.

Pour conclure…

Un Pont entre l’Orient et l’OccidentGeorges Gurdjieff, par sa vie, son enseignement et sa méthode, incarne une synthèse des sagesses orientales et occidentales, une quête pour dépasser la condition humaine par l’éveil de la conscience. Sa Quatrième Voie, avec ses danses sacrées, son ennéagramme et son insistance sur le labeur conscient, offre une voie initiatique qui, bien que distincte, dialogue avec les principes de la franc-maçonnerie. Les deux traditions partagent une vision de l’homme comme un être inachevé, capable de s’élever par l’effort, le symbole et la fraternité. Si Gurdjieff n’a jamais été maçon, son œuvre résonne avec l’esprit maçonnique, invitant à construire un temple intérieur où l’amour, la discipline et la lumière s’entrelacent pour révéler la vérité universelle.

Sources :

  • Gurdjieff Foundation, www.gurdjieff.org.uk.[](https://www.gurdjieff.org.uk/life-and-work) (http://www.gurdjieff.org.uk.[](https://www.gurdjieff.org.uk/life-and-work))
  • Gurdjieff, G.I. Les Récits de Belzébuth à son petit-fils (1950).
  • Gurdjieff, G.I. Rencontres avec des hommes remarquables (1963).
  • Ouspensky, P.D. In Search of the Miraculous (1949).
  • Moore, James. Gurdjieff: The Anatomy of a Myth (1991).
  • De Hartmann, Thomas & Olga. Our Life with Mr. Gurdjieff (1992).
  • Bennett, John G. Gurdjieff: Making a New World (1973).
  • Wikipédia, « Georges Gurdjieff », fr.wikipedia.org.
  • Theosophy Wiki, « Georges Ivanovich Gurdjieff ».

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

Alice Dubois
Alice Dubois
Alice Dubois pratique depuis plus de 20 ans l’art royal en mixité. Elle est très engagée dans des œuvres philanthropiques et éducatives, promouvant les valeurs de fraternité, de charité et de recherche de la vérité. Elle participe activement aux activités de sa loge et contribue au dialogue et à l’échange d’idées sur des sujets philosophiques, éthiques et spirituels. En tant que membre d’une fraternité qui transcende les frontières culturelles et nationales, elle œuvre pour le progrès de l’humanité tout en poursuivant son propre développement personnel et spirituel.

Articles en relation avec ce sujet

Titre du document

DERNIERS ARTICLES