De notre confrère radiofrance.fr
Ce dimanche 3 août 2025 France Culture rediffusait l’émission du dimanche 4 mai dernier. C’est l’occasion de vous présenter cette émission.
Le grand maître du Grand Orient de France, Nicolas Penin, est notre invité ce matin. Il analyse les raisons pour lesquelles la principale obédience française s’engage pour inscrire dans la constitution les deux premiers articles de la loi de séparation des églises et de l’État.
L’objectif de cette initiative, a expliqué Nicolas Penin, est de défendre la liberté de conscience, mise en danger par les obscurantismes, ainsi qu’une laïcité non édulcorée. Il a pris l’exemple des États-Unis, soulignant que la liberté républicaine est toujours un acquis précaire, à la merci de l’arbitraire d’un pouvoir illibéral.

En deuxième partie d’émission, interrogé sur les outre-mer, Nicolas Penin a souligné le rôle fondamental des ateliers maçonniques dans les départements et collectivités ultramarins pour refonder avec le ministre d’Etat Manuel Valls l’articulation entre ces territoires et la métropole.
très peu de succès de la pétition envoyée aux membres du godf, dont je fais partie. envirion 18 000 signatures sur 50 000 membres
Pourquoi ?
Les plus nombreux ne s’intéressent a l’aspect politico syndical du godf pas et ne veulent faire de la franc-maçonnerie et rien d’autre
Leur sujet est la construction du temple intérieur qui doit être faite avant de se mêler du temple extérieur
Les instances dirigeantes du godf ne veulent pas voir a quel point on en a marre ce cette orientation corps intermédiaire qui se mêle de tout , au point d’en oublier les fondements et les buts de la franc-maçonnerie
Article 1
La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l’intérêt de l’ordre public.
Versions
Article 2
La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. En conséquence, à partir du 1er janvier qui suivra la promulgation de la présente loi, seront supprimées des budgets de l’Etat, des départements et des communes, toutes dépenses relatives à l’exercice des cultes.
Pourront toutefois être inscrites auxdits budgets les dépenses relatives à des services d’aumônerie et destinées à assurer le libre exercice des cultes dans les établissements publics tels que lycées, collèges, écoles, hospices, asiles et prisons.
Les établissements publics du culte sont supprimés, sous réserve des dispositions énoncées à l’article 3.
Ce serait bien d’avoir un rappel de ces deux articles