Et si c’était un socle initiatique universel ?
La Voie maçonnique (de style « français »)est assise sur tun trépied de splendeur : trois : un rite de passage, un parcours de sagesse et un engagement citoyen. Le rite de passage, de l’initiation aux réceptions à tous les degrés, est peint en fresques symboliques, rituelles. De même la reptation vers la sagesse demeure fière et immobile le degré et le rite., à Bangkok, à Pernambouc et à Vertigenne. L’engagement social est le fruit exsudé d ce travail
Les deux s’appuient sur le gabarit enchanté sous les vêtements de notre culture de plein ouest.;
TOUTES LES TRADITIONS SON NUES SOUS LEURS ORIPEAUX
Chez nous les arcanes, une fois déshabillées claironnent en douceur ; ne varietur du 1er au dernier degré. Elles sont délivrées, en fanfare dans la réception à chaque degré. Voici la substantifique moelle logée, sans catimini, dans nos vertèbres de chair et d’esprit :
- Les officiers et leur fonction
- Un lieu, un temps pour la tenue
- Des mots sacrés, de passe
- La marche, les pas pour entrer
- Le début ou ouverture et la fin ou fermeture
- Les voyages
- Des épreuves
- La circumambulation
- Un tableau de loge au centre du local
- Une mise à l’ordre et un signe
- Une batterie et une acclamation
- La technique de prise de parole
- Des nombres, non liés à l’âge, de valeur arithmologique
- Un âge
- Un attouchement
- Une ou des couleurs
- Des lumières
- Des colonnes, des piliers
- Des outils ou des instruments
- Des formes géométriques.
Un gabarit sacré, profond en tous lieux, à tout âge.
C’est lui, le coffret empli d’une vingtaine de diamants, la couronne de perles claires, lumineuses de la Maçonnerie En sonance à chaque saut initiatique Des ajouts en fioritures sacrée dans tel ou tel degré, starifie un élément du gabarit. Ces luisances habillent en effet, le cheminement sacré universel ; Mais à chaque fois, dans la robe sociologique du lieu et de ses péripéties. Pour nous la symphonie est entonnée à plusieurs voix: La chrétienté, les Lumières, l’alchimie, les Rose-Croix ; les Forestiers. Faites une incursion dans d’autres paysages :éclats de jouissances semblables dans les rites orientaux, les hindouismes, le taoïsme Dans ce scherzo universel, le rêve maçonnique appelle le début et la fin impossible d’un engagement bipède, c’est le connais-toi toi-même, la grande œuvre de la vie humaine:
QUI SUIS-JE ? LA RÉPONSE : UN MYSTÈRE
Les chemins initiatiques, religieux chantent l’entrée dans le palais des mystère L’entrée dans le lieu sacré ou qui va s’emparer de la draperie du silence, élargit les têtes et les corps. ? Chez nous l’ouverture et la fermeture des travaux. Autre joliesse de l’unisson. Louer ensemble par des litanies ou des bruits colorés d’unisson. La batterie et l’acclamation, sont des éléments de notre pratique – on la ronronne partout : les voix s’escamotent dans le local, en pompeuse et discret aria; Je ne suis plus seul dans cette communion fredonnante qui nous alignent sur les mêmes cordes de chanvre transparent. Ce n’est pas tout : la circumambulation est la réserve des audacieux. Pas tous à la fois. Mais dès l’initiation les mystères de pays africains surgissent dans nos voyages de peur et de nudité assénée Des vêtements sans réalité matérielle pour claironner, après la délivrance de ce besoin pour les initiés, les croyants, de descendre en soi, dans le laborieux travail sans écho de l’éclosion de l’Unité.
L’habit maçonnique pour tendre vers l’Un
Oui, on peut prétendre que la saga initiatique, partout et nulle part, glisse, voiles rabattues vers l’horizon invisible. Oui, voici l’attirance gourmande de l’UN Oh, du calme plus que de l’Un assurons nous l’ombre plus douce, de l’Unité.
L’ULTIME DEVOIR ? LE RAYONNEMENT
Cette liste des arcanes es orpheline, pour nous les Maçons. Le devoir de faire éclore nos valeurs dans les jardins de l’humanité. Et cela, en grand coup de trompett exige la fraternitéetous ; celui sans lequel tous les éléments du gabarit ne sont pas efficients. Cet élément, c’est la fraternité. Elle est la cause et la conséquence de notre Voie, l’alpha et l’oméga du chemin, le toit et les fondations du temple. Que la frérocité soit chassée des replis cérébraux et En permanence, dans les tenues et en dehors. Nous serions les uns avec les autres dans une relation périlleuse : elle commence à se dégrader en loge et uau dehors Sous les nuées qui courent de l’individualisme et de l’uniformisation, nos anciennes et fières lanternes d’affection s’obscurcissent
Rêvons un peu : La fraternité est immuable dans sa toge
Pas de conditionnel et ouste, le futur imaginé. L’afrèrement[1] est la clef de voûte, en pierre polie de notre édifice. Une indéniable réussite des troupes en goguette : De Pittsburg à Ankara, et du Cap à Helsinki, bouillonne dans l’athanor la qualité de cette fraternité. Cueillons d’abord ce bouton d’or et luisons-le dans le soleil Nous pourrions ruisseler de rayons en caresse des cherchants toutes et tous, au-delà de nous.
À partir de là, la Voie maçonnique ouvrira grand ses portes à la jouissance du gabarit initiatique Nourrice sèche hélas encore aujourd’hui est à la fois initiée, et consolidée. Tant que la fraternité, retrouvera la vigueur de ses jeunes printemps. Notre fraternité scintillera de nouveau comme un joyau Parce qu’elle répond à deux empreintes psychiques qui remontent à la petite enfance : le soin et la loi, ou encore : l’amour et les limites.
C’EST PAR LE TROIS QUE NOUS NOUS INITIONS
Les pierres précieuses du gabarit, enrobées dans la fraternité, brillent d’une philosophie hors pair, le gabarit. Elles cautionnent tous les degrés, ici et là. Aussi bien dans les Loges férues symboliques, que dans celles enchantées par la société Foin des nuances portées par les obédiences et les rites. bien sûr, que ce visa n’a rien à voir avec les querelles picrocholines de reconnaissance et de régularité, cet amour meurtrier du pouvoir sur les autres, aux prétextes fallacieux et gonflés de vanités. Ce ne sont que de tristes et funèbres oripeaux de cette cratophilie. Cet amour planqué ou acclamé, dénoncé sans relâche, par Daniel Béresniak. Et d’autres parèdres
La fraternité est un hymne à trois voix : le gabarit symbolique qui se donne à tout bon entendeur. Celui-là est vivifié, du fond de son âme par la quête de l’unité fantasmée. Le temple de la splendeur sombre, enfin s’érige sur un socle de valeurs d’airain. En chaperon donc, la fraternité, cette monnaie qui sonne sans trébucher. Avançons en pensives et silencieuses enjambées vers le cœur de notre Être.
Un style d’écriture aussi numineux que le regard porté sur le chemin maçonnique éblouissant d’espérance. Merci